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Rappel des 10 derniers messages du topic (les plus récents en haut)
Bigby
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"Cette brêle de Mario"

"C'est qui, ce taré ? "

"Mon reup"

"c'est la mouise"

(ou à peu près, je ne me souviens pas de toutes les répliques à 100%, mais je me souviens des mots surprenants qui étaient utilisés)

Et Goombario me faisait trop délirer quand il parlait.

C'est clair que la VF du premier Paper Mario est réjouissante, ils se sont plus lâchés que dans les autres Paper Mario (ça faisait plus bébé dans TYD) et même que dans tous les autres jeux Nintendo où il n'y avait jamais de gros mots ! Je me demande ce qui leur a pris à l'époque : influence Conker's Bad Fur Day sorti à la même époque, ou bien syndrome de fin de vie la console "plus rien à foutre, le jeu ne se vendra pas, on passe à la console suivante" ? ^^

Erhynn Megid
Pixel planétaire
Je tiens à rappeler l'écriture de Paper Mario 64 et notamment la traduction française, qui nous a laissé des perles comme :

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Directement capturés du jeu sur la VC Wii U.

Bigby
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Je tuais absolument tous les ennemis dans Sticker Star et je n'étais jamais en manque de Stickers, perso. En plus, quand on le fait, on gagne beaucoup de pièces à la fin du niveau, ce qui permet d'en racheter si vraiment on en manque (mais on trouve déjà des Stickers dans les niveaux). Et puis comme dans Color Splash, après on est peinard, on n'est plus obligé de jouer à Benny Hill avec les ennemis quand on veut explorer tranquillement un niveau.

Non, pour moi les gros défauts de Sticker Star étaient ailleurs (manque de narration et de personnages marquants, manque de niveaux originaux, les trucs trop obscurs ou lourdingues dans leur utilisation et trop nombreux avec plein de doublons qui ajoutent à la confusion, boss trop fourbes qui invitent au die & retry, inventaire laborieux), ce qui a été corrigé dans Color Splash.

Sinon, le premier Paper Mario est des meilleurs de la série avec Color Splash (il a un déroulement et un rythme beaucoup mieux maîtrisés et des niveaux bien plus intéressants que dans Paper Mario Thousand Year Door, sinon Super Paper Mario était bien mais pas assez poussé dans son concept et avec des coups de mou). Il y a juste ses combats qui sont quand même un peu chiants à la longue, trop mous et longs (alors que c'est bien plus péchu et tactique dans Paper Mario TYD), sauf les boss qui sont cool.

yedo
Pixel imposant
Je joue justement à Paper Mario sur N64 en ce moment et je m'éclate.
Je ne pensais pas que le jeu était aussi réussi. Même si je ne l'ai pas encore fini il fait d'ores et déjà partie des indispensables de la console à mon sens.

En fait on retrouve la touche habituelle de la série des Mario RPG - à savoir l'utilisation des codes des Mario, son univers, ses personnages, sous un angle différent, forcément tourné vers l'aventure et le RPG - mais ça me surprend toujours de voir à quel point cette approche fonctionne à merveille. Et dans ce premier Paper Mario c'est très réussi. J'adore le système de combat hyper classique, voire très simple, mais avec suffisamment de petites choses à gérer pour s'éclater. La gestion des badges est une excellente idée, de même que le choix des caractéristiques à faire évoluer à chaque niveau (j'aime bien augmenter les points pour équiper les badges). Il y a aussi toute une stratégie dans le choix du back up de Mario durant les combats.

Et toute l'aventure est amusante, avec un univers attachant qui donc revisite parfaitement les classiques de la série. Chaque chapitre est l'occasion de découvrir un nouvel environnement et des personnages complètement différents. On retrouve beaucoup d'idées intéressantes dans les niveaux, avec un rythme différent, alternant temples classiques avec quelques mécanismes sympas (les Ruines du désert) et des lieux plus étonnants (le Manoir Boo et ses énigmes à résoudre ou bien le coffre à Maskass). Je suis agréablement surpris de la richesse et de l'originalité du jeu.

Dans mes souvenirs Paper Mario avait été accueilli sans enthousiasme débordant par la presse de l'époque. Je vais attendre de le finir mais on n'est pas loin du chef-d’œuvre, une sorte de chef-d’œuvre minimaliste dans sa manière d'aborder le genre RPG mais un chef-d’œuvre quand même.


Sans vouloir remettre de l'huile sur le feu Sticker Star est à des années lumières de tout cela. Je suis d'accord avec Erhynn quand il dit que le système de combat dans ce jeu est un non sens (j'ai aussi passé mon temps à les fuir car je perdais fatalement tout mon stock de stickers), et les boss sont juste affreux à cause de ce système de "trucs" abscons.
C'est pour cela que j'ai fait l'impasse sur Color Splash (surtout après avoir lu l'avis de MTF qui pointe des problèmes déjà présents dans Sticker Star). Mais bon, s'il corrige d'autres défauts, pourquoi pas à l'occasion, si jamais je trouve le jeu à pas cher...

Bigby
Pixel imposant
Mais d'où est-ce qu'elle sort, ton image des Toads de Color Splash ? C'est une blague ? C'est complètement faux ! Il y a plein de Toads différents dans le jeu (et pas seulement des changements de couleur) ! C'est de la pure mauvaise foi, cette image !

Voilà plutôt la réalité des Toads de Color Splash :

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Et je n'ai pas tout mis (il y a les Toads qui font des abdos, du tapis roulant ou des flexions, ceux planqués dans des cartons...).

En tout cas, les Toads m'ont beaucoup plus marqué et fait rire que dans les deux premiers Paper Mario réunis, ils ont un côté schtroumpf irrésistible (et il n'y a pas que les Toads, il y a aussi les Maskass, Snifits, les Koopalings qui m'ont plus marqué que dans n'importe quel autre jeu mario, d'autres sbires de Bowser, certains autres boss uniques, Kamek). Et puis honnêtement, les nouveaux personnages ou ennemis, ce n'était pas toujours une réussite (les X-Nauts, bof, le capitaine du bateau vers Tropatroce très moche ou certains vendeurs chelous, design très douteux pour les personnages de Super Paper Mario) : si c'est pour avoir ça, je préfère avoir des Toads et les ennemis classiques de Mario.

Et si on évite trop les combats dans Paper Mario 1 et 2, on se fait punir par les boss et en particulier le boss final (que ce soit Bowser ou La Reine des Ténèbres), donc tu es obligé de le faire (et justement, l'xp monte très lentement dans le 1, un peu plus vite dans le 2 mais il faut monter plus de niveaux, donc il faut beaucoup combattre). Et je ne parle même pas du puits aux 100 épreuves où, si tu ne farmes pas, je ne donne pas cher de ta peau.

Citation :
Et puis le coup du public qui interagit avec les combats dans Paper Mario GC, c'était très bon (surtout quand un boss s'en mêle... c'est pas original, ça ?).


Ca surprend au début du jeu et au premier boss, mais après on ne fait plus gaffe, ça se répète méchamment. Je préfère ce que fait Color Splash : on a UN passage du jeu où on combat avec un public autour de nous, qui nous acclame en nous jetant des pièces qu'on ramasse (et les Maskass qui nous huent), des Yoshi qui s'invitent pour nous faire chier, et des ennemis originaux qu'on ne reverra nulle part ailleurs dans le jeu, ça, ça marque le joueur durablement). Ou alors, autre mise en scène originale de Color Splash, une scène cachée que tout le monde n'a pas forcément vu à l'usine du train : on peut déclencher un "combat" où les passagers Toads manifestent leur mécontentement et se défoulent en nous frappant à tour de rôle alors qu'on n'y est pour rien, après ils se sentent mieux (ça m'a fait marrer, je ne m'y attendais pas, et c'est une scène cachée ! ).

Erhynn Megid
Pixel planétaire
@Bigby :
Fun fact : à aucun moment dans Paper Mario 64 et GC il n'est nécessaire de farmer de l'XP. De plus, le système du jeu va à l'encontre même du farm : à chaque prise de niveau, les ennemis donnent moins d'XP.

Les combats peuvent être très facilement évités dans ces deux opus, même en marchant bêtement (ou en faisant la toupie sur 64). Je ne dis pas qu'ils sont sans défauts (les multiples combats sur le ring dans l'opus GC par exemple ou les trois tonnes de combats sur Super Paper Mario dans le dojo).

Je ressens bien plus une "aventure" dans un monde où les personnages ne sont pas tous des clones d'un seul et même Toad avec quelques swap color (c'est vraiment navrant dans Color Splash, quand on voit la variété des personnages dans les trois autres opus).

Pour te donner une image de ce que je veux dire :
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Et puis le coup du public qui interagit avec les combats dans Paper Mario GC, c'était très bon (surtout quand un boss s'en mêle... c'est pas original, ça ?).

Bref, on aime ou pas mais les deux derniers Paper Mario ont pour moi été victimes d'une Miyamotose aiguë.

Bigby
Pixel imposant
Combattre les ennemis, ça permet d'obtenir plein de cartes pour compléter le musée, ce qui permet d'obtenir de jolis artworks. Plus utile encore : ça permet d'avoir la paix dans les niveaux (il n'y a rien de plus chiant que de passer son temps à esquiver des ennemis ou subir leurs attaques alors qu'on veut explorer de fond en comble et repeindre les niveaux). Après, chacun fait comme il veut, si ça vous amuse vraiment de jouer à du Benny Hill dans les niveaux de Color Splash et Sticker Star (moi ça ne m'amuse pas, je préfère combattre, en plus les combats sont amusants, ce serait dommage).

Moi je préfère ça à Paper Mario 1 et 2 où on était obligé de se refaire des combats normaux sans intérêt parce qu'il fallait monter en niveau (surtout dans le 2, il y a des putains d'allers-retours trop chiants avec les ennemis qui repopent à chaque fois, c'était une grosse purge). Même dans le 1, c'était chiant, ces ennemis qui repopaient tout le temps au Champ de Fleurs alors que c'est un endroit où on fait plein d'allers-retours, mais voilà, ils étaient obligés de faire ça à cause du système d'xp et de leveling. Au moins dans Sticker Star et Color Splash, quand on tue un ennemi, on est peinard et ils ne reviennent pas tant qu'on ne quitte pas le niveau, on peut faire tout ce qu'on veut tranquille. Et puis ils sont longs, les combats dans le 1 et le 2, il faut en général deux ou trois tours pour tuer tous les ennemis (et ça peut être bien long si on utilise un pouvoir étoile comme le séisme), alors que dans Color Splash on peut les battre plus rapidement en un tour (ça a été conçu pour afin d'obtenir un score parfait).

Sur le long terme, je me suis bien plus amusé sur les combats de Color Splash que ceux de Paper Mario 1 et 2 : les ennemis sont plus charismatiques et vivants, mieux animés, ils se mettent dans des postures de pliage ou d'assemblage plus originales, ils disent des répliques marrantes, on a des Maskass qui peuvent nous piquer des cartes si on traîne trop, il y a ceux avec le Sombrero qui jouent de la musique pour buffer leurs compagnons, les dinos rhinos qui deviennent fous de rage si on tue leur dompteur, les coachs Snifits qui sifflent leurs élèves Maskass de la salle de muscu (pour ensuite se planquer derrière eux comme des lâches), il y a les frères chapiteau et jongleur ou les maskass dans leurs rouleaux, les Yoshi qui s'invitent pour nous faire chier en combat, il y a les taupes qui se planquent dans leur trou pour chercher leurs outils, etc. A côté, les ennemis du 1 et du 2 manquent un peu de folie (sauf les Maskass du 1 qui sont marrants justement, mais dans le 2 il n'y a aucun ennemi marrant ou original à part un ou deux boss).

Sinon, le timing pour le marteau est bien plus intéressant et exigeant (c'est chaud de faire "excellent" alors que c'est hyper simple dans Paper Mario 1 et 2), il faut avoir le bon timing pour les fleurs et les blocs pow (alors que dans les deux premiers jeux on n'avait rien à faire, aucune manip), idem pour les trucs où il faut le bon timing en combat, et on peut même se la jouer Mario & Luigi pour esquiver certaines attaques en sautant grâce au costume de grenouille. Il y a largement de quoi s'amuser, on retrouve vraiment les combats du 1 et du 2, mais en moins long et en moins contraignant (sans la contrainte du leveling).

Pour les boss, il y a tout ce qu'il faut comme indices ou PNJ dans le jeu pour ne pas utiliser les mauvais trucs contre eux, et quand tu n'as pas trouvé d'indice, le truc à utiliser contre eux paraît immédiat (le boss peut même carrément donner la réponse comme Wendy dès le premier combat). Et si vraiment on n'a pas trouvé d'indice, il y a un Toad dans la ville qui nous dit à chaque fois de quel truc on aura besoin pour le niveau suivant (il remplace Merlon en fait).

Bref, pour se planter sur le truc à utiliser contre un boss, il faut soit le faire exprès, soit avoir été inattentif. Le jeu n'est frustrant que si on le rushe (il n'a pas été conçu pour ça), mais si on prend son temps, qu'on prend la peine de parler à tout le monde et de bien explorer, il n'est pas frustrant pour un sou (alors que dans Sticker Star, c'était beaucoup plus obscur et donc frustrant), sauf deux ou trois passages de die & retry un peu relous (la Chompinette dans l'échaffaudage, la fin du temple Kiwano sur la plate-forme au-dessus de la lave, et un passage du niveau final).

En plus, tout a été simplifié par rapport à Sticker Star. Déjà, on ne nous demande plus de faire des allers-retours hyper relous à la ville pour transformer les trucs en papier (c'était horrible alors que dans Color Splash les trucs se transforment automatiquement en carte dès qu'on les ramasse), il y a deux fois moins de trucs à trouver (dans Sticker Star, c'était un bordel sans nom, il y avait plein de doublons, un seul type de boule servait à faire tomber les quilles, etc) et on n'a plus à gérer la taille des stickers (c'était chiant dans Sticker Star) vu que toutes les cartes ont la même taille dans Color Splash. Et enfin, on a la possibilité d'utiliser des trucs "spécimen" en combat et qu'on peut obtenir avec la roulette, donc plus besoin de gaspiller bêtement un truc contre des ennemis standard, on peut les garder en prévision d'un boss (où là, les trucs spécimen ne fonctionnent pas) et comme je l'ai dit on n'est plus emmerdé par le manque de places pour stocker quelques trucs. Après, si on n'a plus le truc en question, c'est très facile de revenir au quai de Port-Barbouille pour l'acheter pas cher.

Enfin, pour le scénario, ce que tu dis est valable uniquement pour Sticker Star où là, c'est clair, c'était vraiment abusé, il n'y avait rien (à part le Wiggler, le jeu télévisé Snifit et le manoir hanté). Mais non, ce n'est pas vrai pour Color Splash, on retrouve un scénario sympa et plein de personnages hauts en couleurs, ainsi qu'une structure plus linéaire chapitrée, chaque niveau raconte sa petite histoire, on retrouve le Paper Mario qu'on aime (et on retrouve un Bowser menaçant, et non pas un Bowser ringard comme dans Paper Mario 2, sans oublie des Koopalings géniaux). Le scénario ne volait pas plus haut dans le 2 (d'ailleurs ça parlait souvent trop pour un scénario pas intéressant) et dans le 1 (le scénario était juste ce qu'il fallait, avec plein de petits événements sympas ou personnages marquants). Il n'y a que dans Super Paper Mario qu'il y avait un vrai scénario un peu plus poussé, intéressant et original, mais pas dans les autres.

Edit : Oui, puis un autre truc : combattre, ça permet quand même d'augmenter son stock de peinture, c'est toujours ça de pris (ce n'est pas indispensable, mais ça aide quand même).

Erhynn Megid
Pixel planétaire
Mon opinion là dessus : Sticker Star et Color Splash se sont séparés de la composante RPG. Ergo, les combats sont rendus inutiles car te font perdre ton stock d'attaques. Finir un combat permet de gagner de l'argent pour racheter des stickers / cartes que l'on a dépensé pendant l'affrontement.

L'inutilité à son plus haut niveau. Le summum étant le fait de dépenser au mauvais moment un item pendant un combat de boss, pour au final se rendre compte qu'il fallait utiliser CET objet et pas un autre pour achever le boss. Ce qui est désormais impossible car tout sticker / carte utilisée est perdue.

Je voue une immense admiration à Shigeru Miyamoto mais je plains violemment Kensuke Tanabe quand il reçoit de Miyamoto un message lui disant que le scénario dans un Paper Mario n'a aucune importance, qu'il doit se débarrasser du système d'XP, que les Toad doivent tous se ressembler avoir à peu près tous le même comportement, que les alliés sont inutiles mais que Mario doit avoir un sidekick à la Navi (coucou Super Paper Mario), que Bowser DOIT être le boss et j'en passe.

Il y a des choses formidables dans Color Splash, les graphismes par exemple, les super attaques (qui rappellent les pires durées d'invocation de Final Fantasy VII et VIII), l'humour autour du papier etc, mais non, je regrette toujours que d'immenses qualités soient au service de deux jeux qui ont été castrés de leur composante principale : le J-RPG.

Dans un jeu d'aventure / de rôle, si les combats ne servent à rien sinon qu'à récupérer ce qu'on y a perdu, alors le jeu a un problème de taille.

Bigby
Pixel imposant
Peu importe que les deux premiers soient plus orientés "RPG" (d'ailleurs je connais des RPG qui ont un très bon level-design), je les cite parce que les autres jeux (Super Paper Mario, Sticker Star et Color Splash) vont quand même plus loin que les deux premiers Paper Mario sur le level-design.

RainMakeR
Chef de Rubrique Nécrologique
bah vu qu'ils ont tous un style différent, et que tu parlais de stickers stars, j'etais pas convaincu que tu parles des 2 1er qui sont plutot rpg et super sympa




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