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Péricqlès
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River soft est détenteur des droits sur la propriété de la gamme console PC enge – avec HEC – et recherche un jeu qui puisse mettre en valeur les possibilités de sa machine à l'épreuve du format indépendant (objet qui diminue la capacité de mémoire-stockage dans les grandes largeurs et une manière significative de s'accorder avec les ficelles du marché où le jeu d'aventure et de stratégie régnait en maître parmi les branchés). La Pce avait ouvert le bal de la dix-huitième génération avec une étiquette de console nomade prête à employer le format de ses logiciels au son et support du laser vintage et discount et la vision d'un titre qui conserve les spécificités du jeu de stratégie en monde ouvert s'impose : “Néotopie” dont la première parution nous ramène à l'époque de la nouvelle vague des jeux procéduraux sur internet. Le produit était pourtant loin d'être nanti d'une originalité débordante mais sa combinaison astucieuse de pans entièrement jouables à la souris et d'autres séquences qui continuaient de faire la part belle au tour-par-tour commençait tout juste à faire des émules dans la haute-sphère vidéo-ludique. La localisation se fera en dehors de l'archipel l'année suivante et le fait étant plutôt rare pour être signalé, River soft qui venait d'acquérir les droits de la machine en vue d'exploiter sa notoriété commerciale à l'échelle de notre territoire, s'empresse à son tour de traduire un tel titre, de l'anglais au français, pour en faire l'argument de vente principal de compilations diverses en interne. Le méga-lecteur débarque alors chez l'oncle d'Amérique tout en étant accompagné d'une compilation remixant d'autres jeux de style équivalent, lesquels tiennent dans une micro-puce de 24 téra-bits (une première comme une autre) et c'est ici qu'intervient le développement d'un jeu de rôle maison au format RyCard (genre de carte à puce équivalent de la bonne vieille cartouche). Le scénario se complique peut-être pour River soft... Après s'être attelé (de manière opportune) à l'exercice de traduction d'une pépite issue de l'âge d'or du jeu nippon, la boîte décide enfin d'investir et de se focaliser sur le développement complet d'une suite (tardive) de leur premier succès sur la scène indépendante et régionale du rétro-gaming, seulement armée de son équipe de programmeurs sans expérience, de son mécène journaliste et scénariste ou (encore) de son publicitaire favori. Au programme, du porte-monstre-trésor, de la joie et de la bonne humeur, de la cohérence du servo-mécanisme, de l'impeccable et studieuse progression qui se contente encore et toujours de nous faire accrocher. Il est temps de débuter sous un nouveau ciel étoilé ! Avant de déposer la suite de “Néotopie” dans le haut du panier de la nouvelle vague de jeu indépendant qui consiste à butiner du hack'n'slash en améliorant son effectif et où une résolution du puzzle s'empresse de surenchérir à cette brique de jouabilité (avec un sentiment de liberté imposant et ce semblant de scénari qui ne se limite pas de nous ramener au local de réception une fois la mission terminée). Le titre s'ouvre sur un rêve prémonitoire de la compagne du héros dans le premier opus tandis que vous incarnez la progéniture et il s'agit alors pour le joueur aux commandes de retrouver le daron (scénario provisoire) ! Le choix de la palette traduit d'emblée la volonté d'un aspect moins “fadasse” que dans la mouture qui précède et s'affirme de manière plus vive et colorée, avant de pousser plus loin la ressemblance avec un véritable dessin-animé interactif, car cette fois, le choc avec la vision du méga-lecteur s'effectue et il s'avère que si le titre soit sensiblement le même, on puisse le résumer par cette équation suivante : gameplay enrichi + narration étoffée = réalisme de la géographie + fun à décrire. Autrement dit, si la suite de “Néotopie” pouvait continuer de passer pour un petit jeu sympa, c'est parce qu'elle devait conserver l'appellation d'origine sous contrôle de la jeunesse à l'épreuve du sceau de qualité de la PC enge et de son moyeu de culture oléagineux : ne croyez pas qu'il aille autrement de notre capacité à juger un jeu vidéo et de son préjugé d'appartenance au bon goût qui est celui de l'appétence pour le genre de l'épopée – tel que l'on pouvait en dénicher à loisir dans les grands récits de l'antiquité... La pub se permettra même de dire que si vous avez déjà réussi de choisir entre l'épopée de G. et le récit initiatique de M, c'est qu'il était l'heure de jouer à “Néotopie” !




Péricqlès
Pixel digne de ce nom
~ Toujours essayant de réviser la situation d'une banale direction fictionnelle et spontanée, le processus rupturiel et en ouverture conductible de la mise en abîme ne dérobe pas la seule et unique essence de ce qui ferait l'échange de bon procédé – une idée proverbiale qui requiert une discipline martiale des doigts et des méninges en exercice dans ce qui pourrait en faire une phrase toute faite et qui sonne bien à l'oreille. À partir d'une certaine résolution dans la manipulation des commandes, ce mode absolution d'écriture assure la continuité du dialogue filaire et réactif – le présent du genre en lui-même qui se conjugue à l'imparfait – d'après une configuration d'ordre aussi véhémente et non seulement éclatée ou hermétique au sursaut de la vieille morale circonvulescente.

Péricqlès
Pixel digne de ce nom



Avant c'était simple. La réussite d'un bien fondé sur le matérialisme absolu reposait avant tout sur un exploit technique. Non pas que celui du chercheur ou du scientifique – la moindre faute de frappe étant suffisante pour faire vaciller la puissance de calcul employée... Avant de pouvoir profiter du produit en lui-même, un titre savait s'appuyer sur la qualité de sa réalisation qu'il pouvait se contenter du bouche-à-oreille pour s'écouler comme des petits pains : le programme de l'ancienne époque consistait à faire bouger les lignes et dresser le portrait-type de tout ce qui aurait pu subsister au chevet des algorithmes et des études de marché (comme la peur du vide ou la recherche du profit). Au début c'était l'intronisation d'une simple amorce et la réalisation des bornes d'arcade à destination du grand-public représentait la dominante, ainsi qu'une vitrine technologique pour que les premiers ordinateurs de salon atterrissent dans les foyers. Mais n'y comptez pas avec votre épargne ! Car les constructeurs sont soucieux de conserver leur marge auprès de ces éditeurs susceptibles de vanter les mérites de leur plate-forme et une autre raison pour laquelle les distributeurs se sucrent sur le dos des développeurs. Mais de l'autre côté du miroir, les éléments de la libre-entreprise et du travail saisonnier correspondent néanmoins à l'émergence du jeu vidéo indépendant sur micro-ordinateurs. C'est alors que les concepteurs et autres génies de la programmation (après regain d'étonnement de la plus sérieuse impétuosité devant autant de dérivations successives et de tentatives infructueuses, des uns et des autres), se seraient tournés vers le développement à moindre coût grâce au financement participatif et à la diffusion numérique des échanges. Mais le jeu vidéo n'en finit pas de tomber tel ce cheveu filasse sur la soupe (hier encore comme il en avait été avec celle de l'avant-veille) et il n'en revenait pas autrement avec celle de nos grands-parents au temps de la musique noire et du rock'n'roll. Aussi inodore que parfaitement lyophilisé (avant d'arriver au potage qui fait tout en un), toujours du meilleur goût, garanti sans cheveu sur le bord, “Néotopie” était avant tout l'histoire d'une bonne soupe, coupable de relever l'étoffe d'un supplément d'âme dans une préparation étiquetée sans conservateurs. Et depuis lors cette vague confinée dans une sorte de pseudo-retraite des années covid' ressemble à celle des dernières années passées à établir une sorte de nouvelle covariance dans les jeux : concept seulement après concept et cette nouvelle instrumentation de son paysage non-calibré pour satisfaire la curiosité du média scientifique. C'est dans ce contexte que la suite de “Néotopie” devrait se contenter de faire de la figuration (ou bien être intronisé en tant que nouveau remake ?). Chose certaine demeure soit qu'ils aient tous les trucs et alors que le titre se cantonnait encore et toujours à l'entretien des bornes du jeu d'aventure orienté arcade (celui empreint d'une moindre dose de fun et suivez bien mon regard du côté de chez Swan). Il y avait déjà “Nécromancien” sur cette machine (légendaire) en provenance directe du soleil qui se lève mais (pour cette fois) le titre qui intéresse nos protagonistes étant disponible dans la langue de Kennedy Toole (qui n'est autre que l'anglais) il s'en était fallu d'un rien qu'on nous le présente comme un hit absolu du jeu d'aventure sur PC enge.




Péricqlès
Pixel digne de ce nom
~ On se voit depuis l'intérieur du prisme d'une intellection extatique : l'action de la matière produite par l'énergie de notre noyau solaire au microscope et l'on doit s'assurer que chaque modèle du personnage en train d'écrire sur le processus d'intégration doive être à même de confondre les fulgurances créatrices avec les nervures filandreuses de la matière (mélangées d'après les modèles du réseau et de la bulle). Autant que l'on vienne à se demander si l'on est retourné (comme c'est l'usage) par le cœur consistant ou si c'est la simplicité de la découverte qui perdure dans l'intuition (comme le veut la tradition). Tout ça allant de sentir les poils qui se hérissent sous notre peau. Tout ça allant de pleurer (sur une chaîne de la toile en l'an 23 du quatrième monde).

Péricqlès
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Au tour de la raison qui se trouve sept fois dans le sujet du redressement et de la planification du moi et puis l'origine d'un contre-principe qui puisse extirper de la maladie chronique l'ensemble qui précède les visions aseptisées de notre environnement (ou extrapolation de bien d'autres anecdotes pures et évanescentes délivrées par la fraîcheur héliaque du tableau qui s'interpose). Et d'en avoir pu se prononcer de faire pencher la question si justement et de manière si déférente que cela aurait déjà du se tenir pour dit (en fait c'est juste l'officiant) : « Hipster punkoïde de la conscience athée ou geek de la techno croyance ? lequel d'être le plus subversif ? dans un degré de modulation infime et l'à peu près des exactitudes, voici l'effet d'une simili-dialectique d'entre les nations localisées qu'il nous faudrait pousser l'épreuve de distorsion de ces traits personnels qui ne sont plus du ressort de notre toute puissante outer-civilisation-mère... » « Séance tenante et réfléchie ouvrant les propriétés de l'argument... » « ...c'est à cause du brouillage intermittent... » « ...ou d'une mise à l'index de ces fantaisies édulcorées qui feront baisser la moyenne générale, du rendement de la masse salariale, de qui ferait le plein, en tout propos et toute espèce de certitude en passe d'être éludée, par ce fait d'en découdre avec un semblant de promiscuité à l'épreuve de cette productivité qui nous mène par le bout-en-train au service du travail... » « Fantaisie ... ? … Science-fiction ? …dans toute œuvre littéraire et dans n'importe quel film dramatique, il y a cette notion du fantastique qui s'embarrasse à peine de contourner le phénomène de l'anticipation, d'une certaine géo-politique contrastée et non point seulement du passé de la réminiscence qui n'a rien de folklorique, on choisit de s'inscrire dans notre réalité contemporaine en se fondant sur une réappropriation symbolique de l'histoire. » (respire et reprenant une gorgée de soda à la sauce piquante : ) « Autre palette de questionnement méta-psychologique qui rentre en compte et vient troubler la personnalité de l'en-soi : est-ce que je suis en bon terme avec mes collègues de bureau ? Est-ce que je m'accomplis dans mon travail ? Est-ce qu'il rayonne sur moi ? Est-ce que l'on peut parler de réussite professionnelle et est-ce que je m'embellis ? Comment sera mon prochain poste et ma prochaine opportunité de monter en grade ? » « Note que ces facteurs ne sont pas en prise directe avec le travail en lui-même d'où leur futilité et ce questionnement chronique encensé par le culte libéral de l'affranchissement salarial nous ramène à la maîtrise de soi et au charme guilleret de la société de conversation au lieu de nous faire redoubler et créer dans le cadre intuitif de l'intellect. » (chuchotant : ) « En définitive, qu'est-ce qui caractérise le Yakumo selon vous... ? » (pose un signe de la main vers le tableau : ) « Devant le fruit de la courbe qui va montrant de continuer à grimper après que d'avoir commencé de tisser les voies anti-naturelles du progrès technique qui nous maintient dans une sorte d'état cataleptique à l'intérieur du cocon domestique... » (Un blanc galactique devait suivre le ton de condescendance populaire de son invective.) – « Huh ? » (cette fois il coupe : ) « Quel signe probant délivre nous cette impression d'une impasse dans notre société ? » « …et si c'est une espèce de pouvoir psychique ou somatique, son attrait résiderait en quoi et de quelle manière cérébrale hors de propos pourrait-il y avoir là-dedans ce drôle de concept incompatible avec lui-même et l'époque ? » « Hou ! » – (haut et fort : ) « Quel putain de sens caché revêt ce truc pour finir ? » (clapotant : ) « Chut ! Taisez-vous tout le monde ! Ne les laissez-pas savoir ! » (en vue de conclure à cette entre-mission : ) « dîtes-vous que c'est une sorte de pont vers l'excédent dépréciateur de toute une industrie... » « ...et de toutes ces contraintes extériorisées émanant d'un manifeste de la technique ! »




Péricqlès
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~ Sommes-nous loin de l'exécution réfléchie que c'est devenu le cas de nourrir l'argument des possibles et/ou de ce que l'on doit énoncer à compter du moindre mouvement (la moindre tirade, le moindre aparté) et de qui passe son temps assis à écrire, puis à penser et à écrire (l'exploration d'un univers physique, d'un côté, l'explication de la fiction, de l'autre) ? On ne fait que s'accoutumer avec notre premier cas de conscience et l'on ne fait que remplir l'espace, dans une bulle incantatoire qui a tout de la création durable entre le sentiment de la voie et la marqueterie des systèmes (on ne chiffre pas a contrario dans la pratique du quotidien, de ce qui fait le propos des héros qui nous dirigent, autres couleurs rapportées, autres teintes relatives.)

Péricqlès
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Dans la lignée des précédents épisodes (charisme des personnages + profondeur de champ libre et canonique + versant de qualité d'une écriture où le scénario manque aussi en rappel), on allait maintenant entretenir certaines dimensions du réseau et de la connaissance encore capable de fantasmer sur le compte courant ou la question du genre littéraire au sommet de l'application (sur le fait qu'ils se verraient moins après les premières naissances – et encore seulement si – dans super longtemps) : l'air du refrain reposant autant sur la magie bleue de support que sur la volonté de renouer avec l'esprit de la ritournelle à l'origine de la mélodie (en tant que miroir magicite des choses de l'amour et de l'amitié...) On ne verra pas la sorte de suite inappréciable... qu'un nylon conductible, mettons semblable à mille et une autres attaches ornementées de battre la structure atonale mesurée des généralités (injonctions routinières et répétitions théoriques) qui tiennent du ressort de notre super civilisation : on vit assurément une époque formidable, tarabiscotée, sans chemise, sans pantalon ! Au même rang de ce détachement fonctionnel de la reconnaissance, la réalité du sujet avec rapport en tant que dérégulation nébuleuse de la netteté et des contrastes : « ...et d'où que tu saches cette lueur pâle évoque la clarté diffuse des dernières vapeurs sommeillantes de l'aurore... », toujours ceci grâce à son pouvoir d'érudition dans le domaine de la lettre artistique lequel n'allait pas sans jusqu'à poser l'ombre d'un doute d'ordre psychanalytique (injonction syllabique), de ce repli stratégique sur les valeurs sûres (répétition monotonique), de ce dualisme de la culture omniprésente (décalage lucidifiant), d'entre toutes ce que les couleurs moindres des excès coupables lui porterait à réfléchir sur la signification de ce principe que l'on s'octroie du phénomène au milieu du troupeau (ludiquation réciprocité) : « ...tu parles de cet équilibre qui précède au commandement de nos moindres faits et gestes... » « ...et ce serait comme de trouver un “où” et un “quand” dans le commandement de la force... ...ou de la raison posée en abîme qui nous bride au croisement de toutes les époques... » « ...jusque la fin de l'histoire... » À l'intérieur de sa tête, c'était comme être le premier de sa copine assise au premier rang (celle de l'entrée en faculté), avant que d'en être exclu : la suite ressemble à ces portraits imagés de notre jeunesse qui reviennent à l'originalité du tout, à la contre-critique du noyau de notre projection dans cet univers du milieu dans lequel on vit, lequel échouerait devant une bonne révélation de taille à balayer la marque du faux-semblant dans les propriétés de l'énoncé... Nous avons le même particularisme d'un retour sur investissement tout ce qu'il y a de plus commun : la rémission sans l'ordonnance d'une autre conversation à la lettre autre que « la sérigraphie de la connaissance... »




Péricqlès
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~ À l'égard de notre aîné ou de notre contre-parent, on n'adhère sinon plus à une société de l'homme qui procure le toit et le confort : on le modèle même en pareil que tout ceci inclut une possibilité méritante, ce qui serait l'apanage du proverbe ou de la ritournelle pour laquelle on s'évertue de continuer à plaire en dressant le portrait-type d'une idée reçue (si elle parvient à démontrer la possibilité de plaire au plus grand nombre cad en ignorant les voies d'un monde qui change au point d'incarner l'expression d'un modèle figé dans le temps). Ceci nous permet de saisir le type de préférence pour la formulation neutre et sans avantage de nouvelles règles de partage et de publication des tâches qui se rendent maîtres de notre espace (grâce à la gratuité publicitaire de cet écrin de réclame.)

Péricqlès
Pixel digne de ce nom



Au tour de la raison qui nous pousse d'échapper à cette matinée ambiante et par conséquent du contre-principe suivant (plus tard dans la journée) : Nouvelles dépêches. Grain du café à l'étude de la boisson qui incorpore. Cœur ajusté et ciblage conséquent. Roue libre d'attention ou non dédaigneuse de (re)trouver les gens. L'équation est à ce point d'une simplicité débordante – au moins pour celui d'entre tous qui voyait poindre l'opportunité de rejoindre la Nouvelle-Calédonie + copine là-bas. En fin d'après-midi (comme d'habitude), on passe le voiturer avant de se joindre avec les autres en vue de parlementer : toilette de chat, rafraîchissement des tiffes à l'eau claire, blue-jean couleur ceinturé t-shirt ras de cou sans effet notable avant de prendre un agrume et le chemin de la terrasse en attendant les différents autres convives (dont l'arrivée de la troupe dans sa totalité d'”alors”). Un peu plus tard, les groupes se déferont (un format de réseau plus étendu), et n'en prenant conscience qu'en partie sur le moment, avec le complément d'objet d'un instant panoramique, rédigé en tant que perspective d'occupation (conditions contextualisées). Elle n'y aurait plus trop de nous à jouer les sbires (à tort ou à raison) depuis la division du prisme de l'intellection – soit l'énergie produite par l'action de la matière [agissante] – autour de notre noyau solaire au microscope ou d'une autre conversation à la lettre... ou de ce dernier accessoire qui fait taire les préjugés – l'esprit commun de notre spécialité – et l'art de la scénographie de notre connaissance où, à cette heure, il échut désormais du comptoir le plus préférable un sujet de discussion préalable : celui de la prochaine étape qui n'est pas celle... ...celle d'après non plus... ...encore moins la dernière... Et que personne ne paraissait avoir été disposé de désigner une ligne de démaracation intime autour de celui (ou celle) qui se conforme au « principe de condensation » « – Lequel ? … » « ...celui de la force en tant que réseau social... » « ...carrément bleu turquoise... » « – ...de choisir une autre atmosphère... » « ...quand on sera d'humeur de parler alentour des spots fastidieux... » « ...de la théologie, du mythe, de la romance, à la gloire de nos héros les ancêtres... » « ...il faut un bon coup de talon pour effectuer un revers pivotant... » « ...cela ne se présente que sous la forme d'une petite ampoule, de la taille d'une algue marine... » « ...et c'est vendu dans le commerce par paquet de dix... » « ...ça s'appelle une pilule de caféine... » « Mais on nous a aussi proposé du vin jaune de Bailin ! » « ...pour le moment... » « ...même si cela nous renvoie aux prémices de la bulle internet... » « …les dernières glorieuses de la pop... » « ...mais si je viens de les apercevoir là-bas auprès des gens regroupés comme des sardines en boîte ! » « ...je veux juste effectuer un retour voir que tu puisses aussi accéder à une publication... » « ...un tableau suspendu pour décorer avec une urne à thé en céramique... » « ...l'autre jour tu m'a fait lire quelques uns de tes poèmes et j'avais trouvé ça plutôt bien, alors ? » Tout cela, à même d'en dépendre (au temps de la réaction et de la fonction suspendue par elle-même, de ce mouvement dans lequel doit être joué un morceau du tempo) durant la création du lien par segments interposés et qui porte la marque lénifiante, d'après laquelle on aurait aussi pu resté assis à écrire, puis à penser, à écrire et ainsi de suite. Avance droite gauche et puis sors. Attends. Relève de la tête. Choisis le thermos. Il faut se faufiler avant d'acquiescer devant la serveuse (menuet de la bise entre pairs et compagnons de fortune dissidents) car ne se range pas tout à chacun du même avis de tendre vers l'idée de publicité – pour le libre-court d'une lettre ouverte dont le lot syntaxique ne pourrait s'astreindre qu'au son et support de la vertu chez un armateur éclairé. Il est temps de quitter l'enceinte qui se prive de leurs bavardages en mêlée (on ne devait pas encore être loin de minuit tapantes et une partie du groupe s'était dispersée de nous traversant les pavés de la ville sans détours, avec leurs petites enseignes pittoresques où maintes promesses distinguées ne lassaient pas de divertir, au son d'une certaine clameur dissipée, ceux qui désirent prolonger la nuit en petit comité : de la fluctuation des perspectives à prendre au conditionnel et de la non-science inspiratrice des équipées les plus fumeuses encrées dans la mémoire collective (du rythme de la conversation de teintes désengorgées, bullayées, pétillantes, du souvenir de la nouvelle du Monde).




Péricqlès
Pixel digne de ce nom
~ Alors, on s'évertue de continuer ou supporter le creuset d'une côte de son idéal et on se soucie des tenants ou des aboutissants. C'est à dire que l'on se remet le héros susceptible de rehausser l'attrait pour la littérature et tant qu'elle se consume au concept de ruban étirable à la demande des portraits qui reviennent sans cesse à l'originalité du tout. Au-delà de nos classes de compétences et des tréfonds de la mémoire qui s'éloigne peu à peu des contraintes émanant du manifeste et puis après l'éternité du contrat implicite, nous avons la possibilité de remonter jusqu'au seuil de l'antiquité complice et partisane, de la modernité référentielle d'un passé luminescent, de ces nouveaux clins d'œil cyclothymiques (de la postérité de la culture pop.)




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