Eh oui, mes chers grospixeliens, JPB est un vieux. 50 bougies, rien de moins. A ce qu’il paraît, ce truc là — la vieillesse — s’attrape encore plus facilement que le coronavirus et je crains d’avoir été moi-même infecté. Même que j’attends encore le vaccin contre cette cochonnerie, mais à ce qu’il paraît, ce n’est pas pour demain.
Allez, faut s’y faire. Comme disait PPDA, le soir de son dernier JT, en citant Shakespeare : « ce qui ne peut être évité, il faut l’embrasser ». Alors vive JPB et ses 50 balais !
Ce qui nous amène à l’article de la semaine, une découverte en ce qui me concerne. Un bon vieux classique Universal, avec sa part d’originalité et de déjà vu. Peut-être l’ai-je croisé, il y a bien longtemps, lors de mon passage dans le grand vestibule du casino des Sables d’Olonne, blindé de bornes, au début des années 80.
En tous cas, JPB peut s’estimer vernis : au Jean Bart (à Clermont-Ferrand), les bornes s’enchaînaient sur un rythme nettement plus effréné qu’au Surcouf (à Paris) où j’avais mes habitudes en tant que collégien. Il faut croire qu’un corsaire surclassait l’autre, ou, plus probablement, qu’il y avait une question de génération : JPB a vraiment connu l’âge d’or des bornes d’arcade ; quand je m’y suis mis, nous en étions déjà à
Double Dragon et
Shinobi, et la déferlante de l’arcade connaissait un premier ralentissement. D’un autre côté, cela m’aura laissé plus de temps pour savourer ces classiques que sont
Three Wonders,
Knights of the Round et autres
Blood Brothers.
Joyeux anniversaire, JPB de la part d’un (peut-être, j’espère) futur cinquantenaire !
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