Bon d'accord, Xuelinom ils ne sont pas nazes, c'est juste qu'on ne se souvient pas d'eux. On se souvient des niveaux.

En fait ce n'est pas tant les boss par eux-même qui me gênent je crois. C'est le fait que je bloque sur eux. J'ai l'impression qu'ils me privent de la suite de mon jeu. Par exemple si à Sonic je galère pour arriver au boss qui me rétame mes 5 vies restantes en 30 secondes, je l'ai dur.

Les boss des PC Kid sont plutôt bons je trouve. Les jeux "à boss" me gênent pas, moi. Gunstar Heroes ou Radiant Silvergun fonctionnent comme ça, et c'est en partie ce qui fait leur grandeur. On enchaîne les morceaux de bravoure.

Megaman et Gunstar heroes c'est pas plutôt des shoot and run, un peu comme Contra ? C'est flou les distinctions de genre... En tous cas les jeux de plateformes style Mario n'ont pas besoin de bons boss. Bowser est là pour servir de carpette la plupart du temps.

Aria of sorrow a des boss oubliables, c'est pourtant un excellent metroid-like. (plateforme aventure ?)

D'ailleurs je l'ai presque fini... Et je bloque sur un satané boss.

C'était la Fureur du dragon avec le combat final dans le Colysée. Yataaaaaa ^^

Mes boss favoris sont en 3D par contre : Shub Nigurrath à la fin de Quake et l'increvable araignée volcanique de Devil May Cry (niveau boss, ce jeu tue !)

Je me suis mal exprimé sur Bonk et Sonic je crois, ah l'enflammade. Ce que je veux dire c'est que les boss sont loin d'être essentiels à l'expérience selon moi. Ils ne sont pas nazes mais ne constituent qu'un détail du jeu.

Par ailleurs j'espère que le remake de PC Genjin va sortir en Europe...

N'oublions pas le mémorable boss de fin de Parodius. Pour ceux qui ne connaissent pas, allez voir, c'est une surprise.

Lorsque je parle d'introduction au niveau du scenario, je parle des jeux qui en possede un, là tu fais référence au style, au charisme (si on peut parler de charisme pour un vaisseau) du boss, et de la mise en scène.
Moi je faisais plutôt référence à l'importance que le boss a dans le jeu, et pas "pouf", il y a un boss, on sait pas pourquoi, sinon que c'est la fin du niveau et c'est donc logique qu'il y ai un boss.

Cette remarque ne s'adresse évidemment qu'au jeu qui possède un scenario, un shoot en a très rarement un qui soit plus que décoratif.

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Ce qui signifie que les plate-formes et les beat them all en ont un ? ^_^
Les genres cités ont un scénario. Comme Arkanoïd. Dans ces cas précis, le boss arrive à la fin du niveau parce que c'est la fin du niveau aussi (bon, pour Megaman, c'est *un peu* plus subtil).

Je n'ai cité les shoots qu'à titre d'exemple.
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Quand ils sont bien faits, les boss sont des grands moments de jeu vidéo. C'est David contre Goliath et ça laisse la possibilité de grands moments de bravoure qui procure une intense satisfaction. Notamment quand c'est bien mis en scène avec pas seulement un boss qui fait tout le temps la même chose mais des évenements parallèles (Lyle me cite souvent le train de 19xx qui se voit rajouter des armements au cours du combat). Ca peut-être un boss aux formes multiples (7-forces de Gunstar Heroes) ou qui se transforme (Starfox le faisait très bien). Un boss "à la Konami" (car ils sont très fort pour ça), c'est un spectacle à lui tout seul. Un jeu dans le jeu. Je pourrais citer l'idée (certes repompée de Terminator) du 1er boss d'Undercover Cops qui peut être battu en un seul coup si on parvient à le coincer sous la presse hydrolique. Quand j'ai vu ça la première fois, je me suis dit "trop fort !" (j'étais jeune, je crevais de faim).
Tu ne peux pas rester insensible à l'affrontement contre le Dieu de la Guerre dans Forgotten Worlds et la formidable phase d'ascension qui le précéde. Je voudrais aussi souligner la qualité des boss de Chrono Trigger qui, si je ne m'abuse, nécessitent *tous* une technique particulière pour être battu. Ils ne sont pas foncièrement difficiles. Mais ils sont bien plus que des faire-valoir et il ne suffit pas de balancer toute la purée pour les butter.
Je te dis ça sans aucune agressivité. Mais franchement, je préfère être à ma place qu'à la tienne car si c'est ton vécu du jeu video vis à vis des boss, cette expérience me paraîtrait bien morne. Crois moi, tu es passé à côté de beaucoup de choses. En tout cas, je n'appelle pas ça un détail.
M'a donné envie de rejouer à Raiden 2 tout ça

Drôle d'argument sur le vécu en jeu vidéo, Xuelinom. Quand je parlais de "détail", je faisais expressément référence à certains genres comme la plateforme.

Pour Chrono Trigger, je suis d'accord avec toi. De toutes façons les boss de RPG me dérangent pas, sauf les giga boss de fin qui m'ennuient et qu'en général je laisse de côté, car je considère étrangement le jeu comme fini. Par ailleurs tous les ennemis de Chrono Trigger sont bien pensés, et chaque combat est tactique vers la fin du jeu.

Je trouve juste que la convention du boss est assez usée, qu'on peut s'en passer. Je trouve aussi que les boss ne doivent pas être trop difficiles, et ce n'est pas parce que je ne veux que des jeux faciles.

J'avoue qu'une chose qui a changé dans les JV que je ne regrette pas, c'est le die and retry. Les combats de boss appartiennent trop souvent à ce genre de difficulté qui me fatigue. Même si parfois cela est bien fait.

Et puis ne mélange pas le gameplay et la présentation des boss, ce n'est pas la même chose.

Ne t'inquiète pas, on peut être un nerd heureux même si l'on aime pas les boss.

Disons que quand je repense à tous les moments formidables que j'ai passé grâce aux boss, j'ai du mal à immaginer être passé à côté. Je trouve ça tristounet.
C'est vrai, on peut faire un jeu légendaire sans boss. Probablement même dans un genre où il est dans les conventions. Mais les boss, s'ils sont réussis, sont une plus-value incomparable. Je concède que dans bien des jeux, les boss sont biens (sans plus) voire médiocre. Mais quand on voit, je ne sais pas, le Harrier dans MGS2, pinaise je ne peux m'empêcher de penser que le jeu aurait énormément perdu si la scène n'existait pas.
Je ne confond pas présentation et gameplay. Au début, j'évoque l'arrivée de certains boss (Raystorm, Contra, Forgotten Worlds...). Ces scènes se déroulent avant l'affrontement. Dans le cas du 7-Force, ce n'est pas le gameplay que je trouve si exaltant (même s'il est très intéressant) mais plutôt la situation, l'affrontement. Je trouve ça aussi beau à regarder qu'à jouer. Alors après, la question du pourquoi ils sont là pile à ce moment du niveau, comme par hasard... Ben, c'est leur job
Comme tous les diplômés du secteur, ils reçoivent leurs offres par Internet ("Grand éditeur japonais recherche boss niveau 4 minimum. Bon profil gauche exigé. Expérience dans le shoot'em up horizontal souhaitée. Tenir sur plusieurs écrans serait un plus. Sujets aux ralentissements ou aux clignotements s'abstenir.") et ils bossent en fonction de la qualité du joueur (ce qui amène une grande précarité chez les boss de haut niveau ; aux dernières nouvelles, le boss de fin de Ghosts'n Goblins est en dépression).
A part ça, moi non, je n'aime pas du tout le die and retry. Et les années passant, c'est de pire en pire.
Toujours est-il qu'on ne va pas faire un flan autour de cette histoire. On va pas s'engueuler là dessus quand même
Ah si, c'est XueNiLom ! (bouhouhou)
/me se pend

Mort de rire l'ANPE des boss.

Nan c'est clair on va pas s'engueuler pour ça.

Je m'demande si c'est pas mon origine secrète comme joueur ordi et PC. Les boss c'est encore des trucs eud' japonais comme leurs geishas et compagnie, c'est pas pour nous zau't.

Désolé pour le pseudo. Moi aussi on m'écorche le mien. On devrait se résigner et s'appeler Roger, Mario ou Boss du niveau 44.

Moi je considere plutôt les boss comme une récompense. Quand on a bien trimé, on a appris les trucs du jeu, on connait son perso, on peut passer à un monstre un peu plus difficile. Si le jeu est bien fait, on peut appliquer ce qu'on a appris avec un brin de reflexion (trouver les points faibles).

Je vais donner un exemple un peu tordu, mais qui résume bien mon idée : la reine du sabre de l'île de melée, qu'on doit battre en combat de répliques apres s'être entrainé contre moult pirates. Pour corser l'affaire, la reine du sabre n'a pas le mêmes vocabulaire que les pirates de base.

Les boss de super mario sunshine sont splendides, la technique pour battre poulpe m'a fait mourir de rire

Les boss de konami sont parfois un peu trop durs. Dans Aria of Sorrow, quand je ne joue pas pendant un moment, c'est toujours que j'en suis à un boss (le boss composé de deux mains est super bien pensé, mais il m'a l'air invincible !).
En plus, "il ne faut jamais poser son pad contre un boss de konami avant d'être certain qu'il est vaincu"

Les boss sont présents dans la plupart des jeux vidéo, sous différentes formes.

En général, quand on connait bien la mécanique d'un jeu, on reconnait de suite l'instant où l'on sait que ce machin là, ça va pas être une balade de santé.

Le face à face avec une entité en général à l'allure inquiètante et mystèrieuse, donnant une impression de puissance et de maîtrise, une sorte de sur-être dans le commun du jeu.

Après les formes et procédés par lequel on reconnait un boss diffèrent selon le style.

Voilà pour ma définition personnelle, maitenant j'aime bien cette forme d'affrontement "homérique", c'est un élément classique mais vraiment efficace qui donne du plus et une impression d'avoir "le jeu dans la peau".
Mon dernier en date c'est le monstre de pierre dans Metroïd Prime : 3 secondes de plus et j'étais "game over", finir à 6 points de vie sur la dernière barre d'énergie alors qu'on en a 5 pleines au début (je suis pas économe dans ces circonstances ) c'est dans ces moments là qu'on aime le jeu pour le jeu.

Absolumment

Homer, disons que je ressens moins le côté homérique de l'affrontement quand c'est la 15 e fois que je dois subir la cinématique d'intro d'un boss. Et qu'il me latte en 15 secondes. J'ai galéré (c'est peut-être que je suis nul) pour battre presque tous les boss de Prime, et je peux te dire que je regrettais surtout d'être bloqué. Parce que pour moi l'intérêt du jeu est de progresser. Ce que j'aime c'est quand les éléments du gameplay s'enrichissent mutuellement et se combinent, dans le temps. Pour les boss de Prime, il faut surtout apprendre le bon tempo, et o n'a pas forcément le temps se poser de questions. Heureusement, il y a une sorte de bug contre caillouman qui fait qu'on peut le buter presque sans se faire toucher.

Celastus, les boss de Mario Sunshine sont très drôles, mais les vrais moments difficiles sont ailleurs. Tout de même, le mega boss final est le truc le plus hallucinant que j'ai vu. Ils prennent quoi chez Nintendo ? En tous cas les boss de Sunshine ne m'ont jamais bloqué, ils nécessitent une certaine maîtrise du gameplay, mais ne constituent pas un "mur".

Voui, mais admettez qu'il y'a parfois abus, qui a reussi à battre le boss composé de 3 têtes (bébé / adulte / troisieme age) dans Dynamite Heady ... quand au boss finale, gloups, .

Note que j'ai bien précisé à propos des boss : "s'ils sont réussis".

AAaaah, les bosses... Autant le dire tout de suite: un jeu d'action sans boss est, en ce qui me concerne, à la limite du concevable.
Ces horribles bestioles constituent à elles-seules la raison pour laquelle, à la fin des années 80, j'abandonnai quasi-totalement le monde de la micro pour celui des consoles.
Depuis le temps que je bavais devant les bornes d'arcade et leurs tonnes de bosses géantissimes aux effets destructeurs, je ne pouvais que succomber aux "énormes" sprites enfin rendus possibles par l'arrivée des consoles en France - 8 bits tout d'abord; 16 bits ensuite.
D'où cette question que je me pose depuis des lustres: quelles peuvent donc bien être les raisons expliquant pourquoi tant de jeux occidentaux refusèrent systématiquement la présence d'un boss à la fin de leurs niveaux? Différence de conception des choses? Ou tout simplement puissance technique trop limitée pour afficher un bon vrai boss de 20 cm sur 20?
Pour autant, un boss n'a pas nécessairement besoin d'être beaucoup plus gros que la moyenne des sprites d'un jeu pour être intéressant. Alors, pourquoi cette absence?
Sur C64 par exemple, je me souviens qu'il fallut attendre la quasi-fin de la vie de la machine pour enfin se voir donner l'occasion d'affronter des bosses dignes de ce nom. Avant ça, des classiques du shoot comme Delta étaient totalement dénués de boss. Impensable...
Pour moi, un boss représente avant toute chose une bonne occasion d'en prendre plein les mirettes. Xuenilom a déjà parlé de l'entrée en matière des bosses, souvent à même d'engendrer chez le joueur un pic de tension proche de 20. Mais c'est aussi une bonne occasion pour le joueur de mettre en branle toutes ses capacités d'esquives et d'attaques pour mettre à genou un ennemi en général bien plus coriace que le niveau qui l'a précédé.
Il n'est pas étonnant que les meilleurs souvenirs que je garde d'un jeu sont souvent des scènes d'affrontement avec un boss; je pense notamment, sans même réfléchir, à cette splendide bestiole verte vue dans Symphony of the Night, dont l'animation sur PSOne dépassait l'entendement, et qui déclenchait d'étranges déflagrations déformant le décor du sol jusqu'au plafond.
Je pense aussi aux bosses d'Ikaruga, tous à même de provoquer de sacrées suées chez tous les fans de shoot.

Avant de me sauver, 2 questions:
1. Quelqu'un sait-il pourquoi les bosses finaux de tous les Gradius sont d'une si grande facilité à anéantir? Aucune résistance ou presque - quand le boss ne s'auto-détruit pas de lui-même... TRES décevant.
2. A quand remonte l'apparition du PREMIER boss de l'histoire des jeux vidéo? J'avoue ne pas avoir fait de recherche à ce sujet, mais j'ai ma petite idée... J'attends les vôtres!