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Index du Forum » » Hors-sujet » » Vos critiques ciné : fantastique - horreur - SF
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Auteur Vos critiques ciné : fantastique - horreur - SF
dante2002
Déterreur de topics


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Joue à Le GamePass sur la Serie X

Inscrit : Feb 10, 2003
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De : METZ

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Posté le: 2018-09-21 09:18
Je plussoie pour Annihilation.

J'ai trouvé ce film victime du même snobisme que celui qui prime à Cannes contre Netflix.

J'ai personnellement trouvé ce film extrèmement joli, presque poétique en fait.
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gregoire01
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Inscrit : Oct 23, 2005
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Posté le: 2018-09-21 11:18
Citation :

J'ai trouvé ce film victime du même snobisme que celui qui prime à Cannes contre Netflix.


Perso je n'ai pas zappé Anihilation non pas par snobisme parce que "film Netflix" mais parce que le premier film d'Alex Garland : Ex Machina, ne m'avait absolument pas convaincu.

Laurent
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Joue à Super Mario Bros. Wonder

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Posté le: 2018-09-21 19:29
Je confirme que je suis sorti très mitigé de Annihilation, mais avec le recul mon allergie prononcée à Natalie Portman y est pour beaucoup, donc il ne faut pas tenir compte de mon avis. Ca reste un bon film de SF même si je suis de plus en plus preneur de propos clairs, de thématiques exploitées jusqu'au bout et de conclusions bien déterminées.
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Simbabbad
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Posté le: 2018-09-21 19:55
Juste un petit mot pour dire que j'aime beaucoup les interventions de François (son attachement à Lovecraft aide). J'ai accès à un compte Netflix et je ne manquerai pas de voir ça.
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François
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Posté le: 2018-09-22 18:01
Merci, Simbabbad, je suis toujours preneur de compliments Mais là, je crois que pour le coup l'essentiel est surtout de (Ré)animer le forum

Panda
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Joue à C'est compliqué

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Posté le: 2018-09-22 19:57
Citation :
Le 2018-09-15 19:04, François a écrit :
Annihilation méritait largement une sortie en salles obscures plutôt qu’en VOD.

Malheureusement, notre système de chronologie des médias rends impossible une sortie en salles chez nous d'un film comme Annihilation : cela signifierai que Netflix (qui a financé le film) ne pourrait pas le proposer avant 3 ans sur sa plateforme.

Quand tu parles d'une sortie ciné, c'est pour l'exposition/ la visibilité ?
Parce que je ne considère pas le cinéma comme les meilleurs conditions de visionnage (les pubs et des BA nuls avant, pas assez de place pour les jambes, lumières de smartphone dans mon champ de vision (bah oui, ça serait dommage de pas checker twitter ou je ne sais quoi pendant 2h).

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nicko
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Posté le: 2018-09-22 21:05
Apparemment le nouveau predator est une purge, ce qui ne m'étonne pas du tout ...

ryo95100
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Posté le: 2018-09-22 21:48
Nooooooooooooooooo.

Pourtant c'est shane black aux manettes

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gregoire01
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Posté le: 2018-09-22 22:35
Citation :
Le 2018-09-22 19:57, Panda a écrit :


Quand tu parles d'une sortie ciné, c'est pour l'exposition/ la visibilité ?
Parce que je ne considère pas le cinéma comme les meilleurs conditions de visionnage (les pubs et des BA nuls avant, pas assez de place pour les jambes, lumières de smartphone dans mon champ de vision (bah oui, ça serait dommage de pas checker twitter ou je ne sais quoi pendant 2h).


moi c'est le contraire, grand écran, son nickel, climatisation...

Par contre les type qui regarde leur téléphone, ça m'arrive surtout justement quand je regarde un film a la maison avec des pote, à chaque fois y en a au moins un qui passe 15 minute sur son téléphone et ça me rend dingue.
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RainMakeR
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Joue à Exoprimal, The Chants, Princess Peach : Showtime

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Posté le: 2018-09-23 11:51
Citation :
Le 2018-09-22 21:05, nicko a écrit :
Apparemment le nouveau predator est une purge, ce qui ne m'étonne pas du tout ...


Pourtant j'ai vu sur quelques sites que le film fait partie des meilleures predator oO ?
Personne ne l'a vu encore ? j'aimerai bien avoir un debrief
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François
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Inscrit : Dec 25, 2007
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Posté le: 2018-09-26 17:46
Citation :
Le 2018-09-22 19:57, Panda a écrit :

Quand tu parles d'une sortie ciné, c'est pour l'exposition/ la visibilité ?



Oui, mais pas seulement. Garland avait prévu son film pour une sortie ciné qui a bien eu lieu aux USA et au Canada, voire même en Chine, mais pas en Europe. La Paramount en a cédé les droits à Netflix, suite à des projections tests partagées, certains spectateurs jugeant le film trop intello. Mais il semble que la véritable raison à ce brusque revirement est le méga fiasco de Mother! qui a quelque peu refroidi l'ardeur de la Paramount craignant d'enquiller sur un nouvel échec. Bref...

dante2002
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Joue à Le GamePass sur la Serie X

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Posté le: 2018-09-30 20:16
Citation :
Le 2018-09-21 19:29, Laurent a écrit :

Je confirme que je suis sorti très mitigé de Annihilation, mais avec le recul mon allergie prononcée à Natalie Portman y est pour beaucoup, donc il ne faut pas tenir compte de mon avis. Ca reste un bon film de SF même si je suis de plus en plus preneur de propos clairs, de thématiques exploitées jusqu'au bout et de conclusions bien déterminées.


Du coup, qu'as tu pensé de Interstellar?
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François
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Posté le: 2018-10-03 17:55
Burt Reynolds étant décédé il y a peu, revenons sur le film majeur d’un CV se distinguant par son éclectisme, entre grosses comédies d’action (Cours après moi shérif, l’Equipée du Cannonball) et drames (Boogie Nights).


Délivrance - 1972 - John Boorman

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Un groupe de citadins se rend dans les Appalaches afin d’y descendre en canoë une rivière appelée à disparaître pour laisser place à un barrage. Partis à l’aventure dans une expédition montée comme un dernier hommage à la nature défigurée par l’homme, les quatre amis vont apprendre à leurs dépends que le véritable danger ne provient pas de la rivière déchaînée…

Si le genre du survival est né avec Les Chasses du Comte Zaroff, Delivrance lui apporte une évolution fondamentale : à l’affrontement traditionnel entre un héros aventurier et un ennemi grandiloquent, il lui substitue une traque à forte connotation sociale, celle des « bon » citadins civilisés contre les « affreux » rednecks, ou bouseux pour employer un terme bien de chez nous. La traque qui en résulte est aussi splendide dans sa forme — John Boorman à son zénith — que choquante dans ses pires moments.

Mais là où Delivrance se distingue de tous ses nombreux successeurs, c’est qu’il s’agit d’un film intelligent. Il ne porte pas de jugement définitif sur les populations défavorisées des régions isolées et invite au contraire le spectateur à se méfier des apparences (les fortes têtes au sein du groupe d’amis se dégonflent comme des baudruches à mesure que le danger s’accroît, le héros a peut-être abattu un innocent en croyant éliminer l’un de ses poursuivants…), comme des préjugés, notamment à travers la célèbre scène Dueling Banjos où le musicien du groupe se lance dans un duo effréné avec un enfant apparemment attardé mais se réveillant — et se révélant — au fil de la musique.

Oui, Delivrance fait preuve de subtilité et de poésie… tout ce dont Massacre à la tronçonneuse, sorti deux années plus tard, ne s’encombrera pas pour privilégier le spectacle viscéral à la réflexion sur la manière dont le monde libéral laisse sur le bas-côté des populations entières… avant de recevoir la monnaie de sa pièce de la façon la plus cruelle.

Laurent
Commissaire apolitique


Joue à Super Mario Bros. Wonder

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Posté le: 2018-10-10 19:44
Citation :
Le 2018-09-30 20:16, dante2002 a écrit :
Du coup, qu'as tu pensé de Interstellar?

J'ai adoré. Sauf peut-être l'épilogue, un peu difficile à croire. Mais le réalisateur a dû penser qu'il y aurait une vague de suicides s'il ne trouvait pas le moyen d'avoir un happy end, tant le film est déprimant jusque là.

Délivrance, c'est un vrai classique que j'ai vu des centaines de fois. Mais curieusement, j'ai l'impression que c'est très loin d'être le film des seventies le plus connu, les gens à qui j'en parle savent à peine de quoi il s'agit, en général. Ca vient peut-être de la violence de certaines scènes qui a retenu les chaînes de télé de beaucoup le diffuser en première partie de soirée.

Je suis particulièrement fan de la dernière demi-heure et la tension qui y règne. C'est un modèle d'écriture, de mise en scène et d'interprétation.

A noter que le morceau joué au banjo, "Duelling Banjos", est une composition de Arthur Smith, que les gens associent uniquement à "Guitar Boogie", en général, alors qu'il a aussi cet autre classique à son actif. La version du film était jouée par ces deux musiciens :


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RainMakeR
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Joue à Exoprimal, The Chants, Princess Peach : Showtime

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Posté le: 2018-10-10 20:34
Delivrance il est surtout connu pour avoir été parodié et surtout pas mal réutilisé dans des sketchs.
Moi par exemple je l'ai pas vu, mais je sais que y'a UNE scene particulierement violente visiblement
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François
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Posté le: 2018-10-16 19:24

Les chasses du Comte Zaroff (The Most Dangerous Game) - 1932 - Ernest B. Schoedsack & Irving Pichel

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Après Délivrance, remontons encore le temps jusqu’en 1932.

Quelque part dans le Pacifique, un yacht en route vers un safari s’échoue sur des récifs. Une attaque de requins plus tard, Rainsford, l’unique survivant, parvient sur une île en apparence déserte et réalise que les balises censées signaler les récifs ont été déplacées. Son errance le mène jusqu’au palais du Comte Zaroff, riche aristocrate blasé de tous les plaisirs, mais ayant repris goût à la vie depuis qu’il s’est mis en tête de chasser « le plus dangereux des gibiers »

L’anecdote est connue : produit par la RKO, Les Chasses du Comte Zaroff ont été tournées en même temps que le légendaire King Kong de Cooper et Schoedsack afin de rentabiliser le budget faramineux de ce dernier ainsi que ses décors. On ne sera donc pas étonné d’une certaine impression de déjà vu en apercevant miss Fay Wray errer dans une jungle inextricable ou traverser un gouffre en passant sur un arbre mort gigantesque, celui-là même que Kong finira par balayer d’un revers de patte.

Doté d’une magnifique photographie et d’une imagerie crépusculaire restée dans les mémoires — voir Zaroff appelant au cor sa meute de molosses tandis que les héros s’enfoncent dans un marécage brumeux — voici donc le film présumé être à l’origine du genre Survival. Mais plus qu’une question de paternité, Les Chasses du Comte Zaroff est le portrait délicieusement immoral d’un solitaire se cherchant un compagnon de traque, croyant le trouver en la personne de Rainsford, puis le prenant finalement pour cible comme ce dernier rejette ses instincts sadiques. On saluera à ce titre la composition remarquable de Leslie Banks.

Le film est court, une heure tout au plus, mais ne saurait pour autant être considéré comme un simple amuse-gueule. Tout au contraire, mené sur un rythme enlevé et dénué du moindre bout de gras, Les Chasses du Comte Zaroff donnent à réfléchir sur le format des films actuels s’obstinant à avoisiner les 120 mn alors même que leur scénario peine à tenir la route sur une aussi longue durée et se retrouve ornés la plupart du temps d’un disgracieux ventre mou… En prenant l’exemple d’Annihilation, dont je ne remet pas en cause les qualités fondamentales, le film aurait ainsi probablement gagné à être abrégé des quelques flash-backs longuets sur les scènes de vie conjugale Lena / Kane alourdissant un plat autrement délicieux.



gregoire01
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Posté le: 2018-10-21 08:43
Citation :
Le 2018-10-16 19:24, François a écrit :


Les chasses du Comte Zaroff (The Most Dangerous Game) - 1932 - Ernest B. Schoedsack & Irving Pichel

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Après Délivrance, remontons encore le temps jusqu’en 1932.

Quelque part dans le Pacifique, un yacht en route vers un safari s’échoue sur des récifs. Une attaque de requins plus tard, Rainsford, l’unique survivant, parvient sur une île en apparence déserte et réalise que les balises censées signaler les récifs ont été déplacées. Son errance le mène jusqu’au palais du Comte Zaroff, riche aristocrate blasé de tous les plaisirs, mais ayant repris goût à la vie depuis qu’il s’est mis en tête de chasser « le plus dangereux des gibiers »

L’anecdote est connue : produit par la RKO, Les Chasses du Comte Zaroff ont été tournées en même temps que le légendaire King Kong de Cooper et Schoedsack afin de rentabiliser le budget faramineux de ce dernier ainsi que ses décors. On ne sera donc pas étonné d’une certaine impression de déjà vu en apercevant miss Fay Wray errer dans une jungle inextricable ou traverser un gouffre en passant sur un arbre mort gigantesque, celui-là même que Kong finira par balayer d’un revers de patte.

Doté d’une magnifique photographie et d’une imagerie crépusculaire restée dans les mémoires — voir Zaroff appelant au cor sa meute de molosses tandis que les héros s’enfoncent dans un marécage brumeux — voici donc le film présumé être à l’origine du genre Survival. Mais plus qu’une question de paternité, Les Chasses du Comte Zaroff est le portrait délicieusement immoral d’un solitaire se cherchant un compagnon de traque, croyant le trouver en la personne de Rainsford, puis le prenant finalement pour cible comme ce dernier rejette ses instincts sadiques. On saluera à ce titre la composition remarquable de Leslie Banks.

Le film est court, une heure tout au plus, mais ne saurait pour autant être considéré comme un simple amuse-gueule. Tout au contraire, mené sur un rythme enlevé et dénué du moindre bout de gras, Les Chasses du Comte Zaroff donnent à réfléchir sur le format des films actuels s’obstinant à avoisiner les 120 mn alors même que leur scénario peine à tenir la route sur une aussi longue durée et se retrouve ornés la plupart du temps d’un disgracieux ventre mou… En prenant l’exemple d’Annihilation, dont je ne remet pas en cause les qualités fondamentales, le film aurait ainsi probablement gagné à être abrégé des quelques flash-backs longuets sur les scènes de vie conjugale Lena / Kane alourdissant un plat autrement délicieux.





J'ai beaucoup aimé ce film, d'ailleurs je me demande si beaucoup avait compris la référence dans SMBC

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et je suis d'accord, certain film actuel sont trop long. Les auteurs devrait réfléchir a la citation "la perfection est atteinte non pas quand il n'y a plus rien a ajouter mais quand il n'y a plus rien a retirer"


Sinon j'ai vu The Predator

Citation :
Apparemment le nouveau predator est une purge, ce qui ne m'étonne pas du tout ...


Perso je n'ai pas trouvé que c'était une purge, j'ai même passé un bon moment devant.




Citation :
Nooooooooooooooooo.

Pourtant c'est shane black aux manettes


Ah ça, c'est clairement un film de Shane Black et il a appliquer le même traitement qu'il a appliqué à Iron Man 3, à savoir il y a appliquer son humour a base de punchline et tenter de renouveler l'univers quitte a casser quelque pot au passage.

Au passage je dirait que c'est rafraichissant de voir un film qui a une grande sortie ciné et où il y a pas mal de sang et de démembrement.

Après c'est pas un film parfait je me demande encore d'ou sort l'aprivoisement du chien predator mais il ne mérite pas le torent de haine qu'on peut voir ici et là.
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RainMakeR
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Joue à Exoprimal, The Chants, Princess Peach : Showtime

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Posté le: 2018-10-22 19:10
Ils etaient vraiment givrés les frères Wachowsky, ils voulaient digitaliser Jet li pour l’utiliser après
http://www.slate.fr/story/168842/jet-li-refuse-jouer-matrix-mouvements-arts-martiaux-propriete#xtor=RSS-2

Citation :
Dans une récente interview, Jet Li raconte qu’il avait réalisé que «les Américains voulaient que je sois sur le tournage pendant trois mois mais que je puisse être avec l’équipe du film pendant neuf mois en tout. Pendant six mois, ils voulaient enregistrer tous mes mouvements et les copier dans une bibliothèque numérique. Ensuite, ces enregistrements leur auraient appartenu».

Je me rappelle d’un episode de Microkids avec Boringer qui expliquait qu’ils allaient bientôt être remplacé par des acteurs 3d. On va vraiment y venir petit à petit.
Enfin bon quelque part, les tekken, mortal kombat etc…. proposent déjà ce genre de bibliothèque de mouvement, mais bon un « vrais » acteurs.


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François
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Posté le: 2018-10-23 19:40
Citation :
Le 2018-10-10 19:44, Laurent a écrit :

Délivrance, c'est un vrai classique que j'ai vu des centaines de fois. Mais curieusement, j'ai l'impression que c'est très loin d'être le film des seventies le plus connu, les gens à qui j'en parle savent à peine de quoi il s'agit, en général. Ca vient peut-être de la violence de certaines scènes qui a retenu les chaînes de télé de beaucoup le diffuser en première partie de soirée.



Délivrance est le prototype même de film multi-genre échappant à toute classification précise et dont les diffuseurs ont une sainte horreur : il y a de l’aventure, du thriller, du drame et même un soupçon de comédie sociale dans le décalage montré entre les gens de la ville et ceux de la campagne.

Néanmoins, les bonnes surprises arrivent et des chaînes de la TNT ont ainsi diffusé le film à plusieurs reprises ces dernières années, en première partie de soirée qui plus est C’est à cette occasion que j’ai enfin pu découvrir Délivrance dont j’avais entendu dire tant de bien sans jamais trouver une occasion de le mater. La violence y est réelle, mais son impact en partie désamorcée par presque cinquante ans d’évolution des médias ciné & TV vers l’étalage de boucherie XXL pour petits et grands en prime-time. Quant à la scène la plus pénible du film, à savoir l’humiliation doublée du viol de l’un des membres du groupe, elle se déroule en grande partie hors-champ.

Rousquilles
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Joue à Divers jeux

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Posté le: 2018-10-24 13:33   [ Edité le: 2018-10-24 13:35 ]
@Rain:
Article très intéressant qui nous rappelle que la technologie est en corrélation de choix moraux, philosophiques et de valeurs.

Sinon, c'est pas polémique, mais ca m'a fait pensé au film Marvel "Ant-Man" de 2015 avec Michael Douglas. Dans la scène d'introduction, ils l'ont recrée jeune. C'est fou ce que l'on peut faire maintenant.
Ça m'a fait un choc quand j'ai vu la scène, super bien fait en plus. Il y a un article pour en savoir un peu plus sur comment ils ont fait, ici:
http://www.premiere.fr/Tele/Ant-Man-comment-Michael-Douglas-a-ete-rajeuni-pour-le-film


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