BAh c'est super à la mode en ce moment les rajeunissements.

D'ailleurs c'est le même principe qui avait été utilisé pour captain america 1.
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Ghosts of Mars — 2001 — John Carpenter


En 2176, sur Mars colonisée par les terriens, une brigade se rend dans la colonie minière de Shining Canyon, chargée d'escorter un dangereux prisonnier. Mais c'est une ville fantôme qui l'attend... ainsi qu'un mal présent bien avant l'arrivée de l'homme sur Mars.

Surfant sur la (brève) mode martienne suscitée par l'épopée de la sonde Pathfinder, Ghosts of Mars est un projet tenant particulièrement à cœur pour Carpenter, premier long métrage pour lequel il met la main au script depuis Prince des Ténèbres. Loin d'un énième film de commande, c'est d'un projet totalement assumé dont il s'agit, doté d'un budget confortable et reflétant les obsessions « westerniennes » du réalisateur : attaque de train traversant des étendues sauvages, duels entre soldats et hors-la-loi pilleurs de banques, ville de mineurs construite autour d'une grande rue... et guerriers peaux-rouges auxquels se substituent ici les malheureux possédés par les fantômes martiens du titre.

Voilà pour le projet sur le papier. Transposé à l'écran... il y a du bon et du moins bon. La première partie du film, plutôt axée enquête et mystère, fonctionne pas mal. Le recours à la technique du flash-back et des récits rapportés instille une ambiance prenante, tout en permettant de recomposer les événements de la colonie, et au-delà : Mars est en train de sombrer toute entière au mal frappant Shining Canyon, teintant le film d'une atmosphère désespérée, pas si éloignée des grands films pessimistes de Carpenter.

Puis Ghosts of Mars enchaîne les morceaux de bravoure et autres explosions de violence... et c'est là que ça se gâte. Les possédés, grimés en fans de Kiss et gesticulant sur fond d'heavy métal, n'impressionneront pas grand monde — mis à part les hardos, pour ce qu'il en reste — et constituent le gros point faible du film, alors même que sa promotion a été exclusivement axée dessus. Pire, les affrontements donnent souvent lieu à des chorégraphies approximatives où l'on chercherait vainement la patte du réalisateur.

Une demi-réussite donc, ou un demi-échec, à chacun de voir. Je n'irai personnellement pas jusqu'à dire que c'est un navet, même si de l'avis général on s'en approche (voir les critiques lapidaires de la page 106). Dans tous les cas, un bide au box office signant pratiquement la fin de carrière de Carpenter.

Faudrait que je le revois, parce que je suis assez fanboy de toute ce qui concerne Mars. Et à l'poque j'aodrai Carpenter.
Du coup carpenter + mars ca me mettais l'eau à la bouche. Et j'ai été super decu.

Comme je l'ai dis faut que je le revois, mais tout ce dont je me rappelle c'est des décors en carton-pate, mais littéralement, ca se voyait que les décors étaient en carton. Le scenar bidon.... j'en ai un tres mauvais souvenir.

Surtout c'etait un espece de film de vampire en plus, mixé avec un shock trooper du pauvre (enfin le film de bourrin contre les mantes religieuse de veroeven)
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Miracle Mile (1989, Steve de Jarnatt)



Miracle Mile est un peu un film miraculé. Sorti dans l'indifférence générale en 1989, mal distribué en DVD, il a été ressorti de l'anonymat par Joe Dante sur Facebook il y a quelques années, peu après une sortie Blu-Ray qui avait commencé à le faire connaître. Cela a provoqué la curiosité des cinéphiles, au point qu'il est maintenant réhabilité, voire légèrement culte.

Pour info je suis tombée dessus totalement par hasard en parcourant la liste de films à la demande des bouquets Canal+ ^^

Le pitch : Harry (Anthony Edwards, le Dr Green de Urgences) a un rencard avec Julie (Mare Winningham, qui a surtout fait de la télé ensuite), qui est probablement la femme de sa vie. Une panne de réveil lui fait rater leur rendez-vous, et alors qu'il se rend sur son lieu de travail, un restaurant, il répond à un appel sur une cabine téléphonique : un homme travaillant pour l'armée, qui croit parler à son père, lui dit que des missiles nucléaires vont être lancés sur Los Angeles dans une heure. Après quelques tergiversations, les clients du restaurant décident de se casser, et Harry va chercher Julie pour partir avec elle.

L'action du film se passe (un peu) sur une journée et (surtout) une nuit, dans une course contre la montre qui commence dans des rues désertes, puis de plus en plus animées, jusqu'au lever du jour. L'atmosphère du film est assez particulière, à la fois paisible, voire lancinante, et un peu angoissante, notamment grâce à la musique. C'est difficile de parler du film sans spoiler ou sans donner de fausses impressions (ce n'est pas un film catastrophe au sens classique du terme), mais je vous le recommande pour la qualité de l'écriture de ses personnages, pour ses changements de ton assez incroyables, pour sa photo et sa radicalité.. Bref, une chouette découverte
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Ce soir il y a Jupiter Ascending sur TFX. Je vous invite à le regarder.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

ou pas. J'en ai vu un bout et j'ai trouvé ça nul ... enfin bon les gouts et les couleurs...

Bon sinon je vais me lancer, ca fait longtemps que j'ai pas parlé de film que j'ai vu. Et comme je l'ai pas fait de suite je vais certainement oublier des trucs

Allez j'en balance ici parce que c'est pas du tout action

Donc j'ai vu les 2 dernier hunger game et bon sang je comprendrai jamais cette mode des films pour ado à la mord moi le noeud.
Je suis sur que des mecs d'hollywood se sont dit on va faire original avec une nana heroine de film, et zou on adapte n'importe quoi....
Bon les 2 derniers hunger game c'est assez atroce. Toujours aussi moche, j'ai toujours autant envie d'assommer l'heroine a coup de manche de pioche, et putain le design m'a fait saigner des yeux.
Le "scenar" est une vaste fumisterie à base de "je lance une telerealité dans un film, adapté d'un bouquin. Une mise en abyme de dingue. Mais bon tellement d'incohérence et de nawak....
Surtout que ce genre de film c'est un joyeux fourre tout. Des zombis sont à la mode ? hop on va en caser dans le film ...
Bref je voulais finir la serie parce que j'aime bien les nanars de temps en temps, mais là c'est une souffrance


Du coup j'ai voulu faire original et j'ai regardé les Labyrinthe

J’avais lu les spoils de l’odc avant de les voir, et j’avoue que ca me paraissait etre de sympathique nanar. Bon faut dire aussi qu’apres hunger game, on a eu des tonnes de clones plus ou moins malheureux, mais bon celui là est « assez » original vu que c’est un mix d’hunger gamer et cube.
Au debut je pensai que ca partira un peu en survival genre sa majesté des mouches, et en fait non. C’est les jeunes contre le labyrinthe.

Le film passe, bien que y’a des moments assez chelous. Genre à un moment y’a une fille qui entre dans l’aventure. Que ferait une bande d’ado qui n’en ont pas vu depuis des lustres ????? bah wai moi aussi pareil sauf que dans le film pas du tout, ils veulent juste lui poser des questions.
En plus le heros fais style je la connais et hop plus personne viendra tenter de la rejoindre dans sa case le soir… ok…..

Bon comme tout film us, on a quand même le quota de clichés qui va bien. La communautés etablit des règles, et forcément le heros c'est le 1er à les violer !
Surtout les mecs sont jamais allé dans le labyrinthe la nuit, mais ils savent ce qu'il s'y passe oO

J’ai surtout bien aimé le petit gros ^^ je l’aime pas ce petit gros, et vu que la communauté n’est composé que d’ado voire de jeune adulte, je voyais pas ce qu’il pouvait bien foutre là….

Bon après c'est la fête du slip. Les gamins ont 20-25a mini mais en fait c'est tous des ingénieurs... et puis bon comme je le disai c'est une repompe d'hunger game. Sauf qu'ils ont voulu faire original avec un scenario .... le twist est totalement débile. Je cherche toujours à comprendre l'interet....
Enfin bon le 1 passe bien le soir quand t'as pas envie de mettre un dvd dans la platine


Le 2 est plus bizarre, en fait. Il a quasi rien à voir avec le 1, et comme pour hunger game, les mecs ont casés des zombis histoire d'etre à la mode ....
Après ca part un peu en sucette sans vraiment de cohérence avec le 1. Moyen bof quoi...


Et on enchaine avec une repompe de repompe : divergente.... ca vous est jamais arrivé de voir les 1eres secondes d'un film, et vous dire que ca allait pas le faire direct ? etbah c'est mon cas.
Dès que j'ai vu la tronche de l'heroine j'ai compris que ca allait etre compliqué. La nana a encore moins de charisme que jennifer laurence. C'st balaise quand meme.
Bon après j'ai galéré pour suivre le film, les mecs ont filés des noms trop bizarres de factions. Des noms qui veulent rien dire, du coup comme moi je les renommais dans ma tête (hipster, yamakazi, paysans etc....) des fois je buggais un peu
Bon le scenario se voit arriver à des kms et ca sent vraiment le roman pour fille. Comme toujours avec ce genre de film pour ados, ca enchaine les clichés, les rebondissements à 2 balles, et les moment nian nian...
Et comme labyrinthe, les suite du 1er n'ont pas trop de rapport avec le 1.
Divergente 1 etait moyen -, les suites sont nulles.

Bon sang une tel niveau d'incohérence et de débilité c'est forcément volontaire ! quelqu'un avec un esprit minimum sain ne pourrait pas enchainer les conneries comme ça.....
Ca a été vraiment compliqué de me forcer à voir la suite, et c'etait dur de pas m'endormir....


Bref la series pour ados c'est plus de mon age



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Entre ça et "La nostalgie n'est plus ce qu'elle était", j'hésite à changer ma signature

Attention si tu me cites je veux toucher des $


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Shenron, je serais curieux d'avoir ton avis sur le film.

Moi et ma femme l'avons attendu un bon moment, entre l'esthétique de la bande annonce et le nom des réalisateurs (trices maintenant ???), on était bien hypé.
Et puis finalement on a été très déçu, peut être qu'on en a attendu trop...

C'est peut être le rôle d'eddie redmayne qui nous a fait décrocher...

Ah mais c'est un gros nanar, je vous le conseillais pour que vous vous tapiez une bonne rigolade
J'étais allée le voir en salle à l'époque, je c/c ma critique qui est une centaine de pages plus tôt :


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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

C'est super Jupiter Ascending. Y a des hommes lézards comme dans Mass Effect, des princes qui veulent tuer leur famille pour devenir rois comme dans Game of Thrones (mais dans l'espace, du coup), et il y a même toute une séquence qui refait "la maison qui rend fou" dans "Les 12 travaux d'Astérix".

Bon après, je suis un gros fanboy des Wachowski... mais franchement, c'est pas si ridicule que ça à côté de, au hasard, Star Wars VIII.
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Si loin une roue

C'est pas le film ou il te reserve la même situation qu'il y avait eue juste quelques minute avant dans le dernier tiers du fiilm ?
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L'héroïne se fait kidnapper 3 fois, et se fait libérer trois fois de la même façon : Channing Tatum fonce à travers des fenêtres.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Beh je suis sur qu'a un moment où un autre ils "compensent" en expliquant que l'héroïne est forte et indépendante...

Ah non non même pas.

Ceci dit pour rejoindre un peu camite, j'ai regardé une demie heure du film à la télé et ça m'a moins choquée qu'au ciné, où je voulais me cacher sous mon siège au bout de 10 minutes.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Les Wachowski, c'est toujours très kitsch et ado con-con.

Des fois ça passe (le premier Matrix, Cloud Atlas, V pour Vendetta), et des fois non. C'est déjà mieux que Luc Besson.
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Tiens, c’est marrant, le pitch me dit quelque chose : soit j’ai rapidement vu passer ce film dans mon champ de vision (peut-être un article dans un Ecran Fantastique, vu qu’en 89 je feuilletais surtout le Jules-de-chez-Smith-en-face plutôt que Mad), soit un autre film en a repris l’argument.


Tout autre chose : alors que je faisais quelques recherches sur Ronnie Cox, alias Drew le guitariste dans Délivrance, quelle n’a pas été ma surprise en apprenant qu’après ce rôle touchant, il a incarné deux beaux spécimens d’ordures dans Robocop (Le vice-président de l’OCP Richard « Dick » Jones) et Total Recall (Cohaagen, le tyran administrant Mars) ! Ça, c’est du grand écart plus fort que Van Damme

Et il a joué aussi le chef dans le Flic de Beverly Hills !
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

J'avais jamais tilté. C'est dingue parce qu'il fait quand même assez jeune dans Deliverance, et une décennie plus tard, il incarne des rôles de vieux.

Ronny Cox avait 34 ans sur Delivrance et 47 sur Robocop. Je t'interdis de dire qu'on vieillit significativement entre 35 et 47 ans

Blague à part, Ronny Cox est aussi chanteur :


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