Sur le mur de la grange de Dante, un symbole païen a été découvert! C'est là le signe du démon!

Quelle en est la signification ? Quelle force maléfique a conçue cette chose ? Dans quel but ?

Les augures l'avaient prédit, notre village est maudit! Et pourtant, nous devons résister, tenir, découvrir et vaincre la bête qui a trouvé refuge dans nos foyers.

A demi-mots, la rumeur se répand, Thezis le tavernier serait l'auteur de cet infâmie. D'autres voix prétendent que la matrone Eowyn aurait convié le démon à prendre demeure ici même. Chacun soupçonne l'autre et seuls quelques braves osent encore accorder leur confiance.

A moins qu'il ne soit question de traîtrise ?... Car là où la vérité s'illumine se terre le mensonge.

La seule certitude qui m'habite reste la foi inébranlable du jeune Riki ainsi que la clairvoyance de Camite, celui-là même qui avait autrefois chassé l'incarnation du démon du village de Pouchensthartzën. Ma hache et le peu de confiance qu'il me reste me suffiront-elles à lutter pour notre survie ?

Tout ceci paraît en effet bien étrange, mais je voudrais d'abord vérifier ce qui est arrivé au curé.
Est-il toujours vivant ou s'est-il donné la mort ? Va-t-on enfin se décider à enfoncer cette fichue porte immense qui ferme l'Eglise ? ; elle semble avoir été barricadé.

- Venez mes amis, trouvons refuge dans ma taverne autour de son feu chaleureux. Je vous offre le premier verre, j'ai bien dit le premier seulement.

"Ainsi je pourrais les surveiller tous et déceler les mauvais chrétiens parmi eux, ceux qui dansent avec les loups la nuit venue."

- Nordine, mon vieil ami, prenez ce siège. Alors, racontez-moi votre dernière balade seul en forêt le nuit passée. Et vous, Zulios, prenez une bière pour une fois, votre femme ne vous en empêchera plus maintenant que la peste l'a emportée.

PS: Conserve-t-on les mp pour les afficher par la suite, à la fin de la partie? Quel est le rythme de la partie? La fréquence des votes et leur horaire? Pas trop rapide pour que tout le monde puisse suivre mais aps trop lent pour que les éliminés ne souffrent pas comme à Counter-Strike j'imagine

Le comte déchu Laszlo Serguei Frederich d'Hamittov de l'Astre Jouant (dit Camite ^^) accepte non sans intérêt l'invitation du tavernier, pas fâché de piquer du nez dans une bonne pinte en attendant que la nuit ne s'agite...

(à demain quoi).
_________________

Si loin une roue

Van Twipoleyen avait depuis longtemps quitté ses chères contrées artésiennes et jamais il ne les avait autant regrettées qu'en ce crépuscule glacial. Il y avait bien ce vieux baroudeur avec qui il trinqua jadis, mais, était-ce dû à l'abus de tartine de houblon ou à la consommation de viande canine suspecte, son cher voisin d'antan perdait la boule ou, au moins, la mémoire, car leur dernière beuverie était bien antérieure à l'époque où il se mit à la solde du seigneur Hyé.

Juché, comme à son habitude, et dans un souci récurrent de se tenir à l'écart, au sommet du silo à grains, il songeait ainsi à son récent et obscur passé. Il était parti en mission avec les troupes du Lokatest, chargée de veiller à la bonne tenue des colonies du sombre monarque. Il avait ainsi traversé la contrée verdoyante mais périlleuse du Tigre en Bois, où d'étranges voyageurs cognent les roches du sol avec des cannes de fer. Il avait survécu aux chevauchées des carioles diaboliques du Nidforzpid. Il avait même voyagé loin, en Namérik, et séjourné dans la province de Lêsimz, dont les habitants étaient moins farouches que dans les autres colonies, mais infiniment plus idiots.

Il avait encore des comptes à rendre au souverain maléfique, mais dans son esprit, la page était tournée. Les temps étaient durs, mais sa vie devait décidément être celle d'un saltimbanque. Il évitait ainsi soigneusement le regard de Kamitt le fourbe, autant pour fuir son passé inavouable que par pure méfiance, car tout le monde se méfiait du Kamitt (et d'ailleurs, qui était ce frère qu'on lui prêtait ?).

Le froid piquant de l'hiver septentrional n'inhibait guère la tension parmi les villageois. Van Twipoleyen ne la mesurait que trop bien. Cela faisait trois semaines qu'il s'était égaré dans ce hameau inhospitalier alors qu'il tentait de regagner sa cité de lourds pavés et de briques rouges, et cela avait assez duré - qu'il le veuille ou non. Les prochains jours seraient décisifs, et il ne pourrait pas se tenir éternellement à l'écart... Pas cette fois.

Il entreprit de se réchauffer le coeur en soufflant quelques notes d'hamonica, mais ces terres désolées ne résonnaient que pour le sifflement lugubre des brises glaciales qui les balayaient, et du petit instrument métallique ne sortit qu'un gémissement lugubre.

D'un autre côté, Van Twipoleyen ne savait absolument pas jouer de l'harmonica.

edit : il avait aussi une fâcheuse tendance, lorsqu'il était trop occupé à s'enquérir de son petit nombril, à capter que dalle à ce qu'il se passait autour de lui. Voyant que la place du village avait été désertée et que les fenêtres de la taverne étaient illuminées, son sang ne fit qu'un tour et il amena ses fesses gelées dans l'établissement du vieux Thezisoglü - faut dire qu'il ne refuserait pas comme ça une tournée gratuite.

La nuit avait déjà immergé le village dans des ténèbres menaçantes lorsque le Français entra dans l'auberge.

- Désolé, mon brave, mais le dernier fut a été percé par le seigneur Laszlo Serguei Frederich d'Hamittov de l'Astre Jouant (qui me donne une pièce de cuivre chaque fois que je prononce son nom en entier) et vidé par Riki (qui a décidément la belle vie) et Nefka (dépité par l'absence de café). Je vous sers un jus de poireau?

"Qu'ils boivent seulement, qu'ils boivent, ça les amènera à dévoiler leur vrai visage."

Un huluement sinistre traversa le silence. La nuit serait longue...
_________________

Dans la vie, il y a 3 catégorie des personnes : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas compter. (Anonyme)

J'accepte votre invitation, Thezis, mais je n'en demeure pas moins méfiant.

La nuit dernière ? Je posais quelques pièges à petit gibier, aux abords de la clairière, j'en profitais pour ramasser du petit bois, quoi de plus commun!

La Lune était pleine ce soir-là mais rien ne présageait la damnation qui allait s'abattre sur notre paisible village.

Sur le chemin du retour, je croisais le charretier Nefka, qui semblait accablé d'un malheur profond, son cheval, vieux compagnon de besogne, était gravement tombé malade. Je discutais un peu avec lui, échangeant diverses banalités, mais j'appris alors que vous, Thezis, aviez eu un bien étrange comportement peu de temps avant que la fatalité ne s'abatte sur sa seule propriété. Auriez-vous tenté de vous venger du décès accidentel de vos deux neuveus qui, nous le savons tous, vous a profondément peiné ?

Pour être honnête avec vous, la confiance que je vous accorde reste très relative, sans compter que diverses voix portent à penser que la fourberie se masque derrière votre jovialité de bon tavernier, sans compter cette soudaine générosité, à plus forte raison dans un moment aussi terrible que celui que nous traversons...

Je préfère me retirer dans ma maison et attendre en priant que le jour se lève, la seule compagnie que je pourrai accepter cette nuit étant celles d'hommes de confiance, pas de personnages aux démarches étranges.
_________________

"Il n'est pas de lutte plus violente et déterminée que celle d'un homme face à son envie d'aller aux toilettes" - Karate Boy

J'accepte votre invitation avec plaisir mon cher Thezisoglü, ce vent me glace les os, et je préfère de loin la chaleur d'un feu de cheminée à la lumière blafarde de nos torches. Il sera plus sûr d'aller rencontrer notre bon vieux curé demain matin à la lueur du soleil...

(Thezisoglü connaît bien mon penchant pour la boisson, auquel je résiste bien plus difficilement depuis la mort de ma femme. C'est uniquement son amour -et sa force de caractère qui la rendait crainte par la plupart des hommes du village-, qui m'auront empêchés de partir à la dérive jusqu'à maintenant. Dieu aît l'âme de cette vieille mégère austère. Il faudra néanmoins que je pense à surveiller les manières de notre tavernier, un homme qui tient un débit de boissons ne peut être qu'attiré par le vice... inviter des gens à la fête dans un moment pareil, alors que nous aurions dûe entendre sonner ces maudites cloches depuis longtemps, c'est louche.)

-- edit --

Je ne quitterai finalement la taverne que tard dans la nuit, titubant sous l'emprise de l'alcool...

De retour de la forêt, je jette un dernier regard à l'église : dans la pleine lune, il émane d'elle comme une aura malfaisante... Qu'a t-il bien pû se passer à l'intérieur pour que ce lieu sacré me donne l'impression d'avoir été souillé définitivement ?

La réponse ne me sera pas donnée cette nuit-là et, la neige se remettant à tomber, je poursuis mon chemin vers le dernier endroit hospitalier du village, la taverne. Une fois à l'abri, je me fraye un chemin parmi les villageois et m'empresse d'aller me réchauffer auprès du foyer, tout en écoutant distraitement les dernières rumeurs. La journée a été rude et je ne rêve plus que d'un repas chaud et d'un bon lit.

Du peu que je sais des autres survivants, aucun ne m'inspire réellement confiance et je compte bien ne jamais laisser ma hache de bucheron trop éloignée de moi : elle sera toujours prête à fendre le moindre crâne un peu trop suspect à mon goût. D'ailleurs, ce Thezis, il ne donne pas de lui une très bonne impression ; oh, bien sûr il offre l'image du tavernier chaleureux, toujours en peine de satisfaire ses clients, mais il y a quelque chose..., un peu comme s'il semblait toujours prêt à profiter du moindre moment d'inadvertance pour vous sauter dessus et...

Et puis il y a Nordine, le braconnier qui a disparu pendant 3 jours et 3 nuits avant de réapparaître juste à temps pour voir le village en proie au chaos : pendant toutes ces journées que j'ai consacrées à la découpe de plusieurs stères de bois, je ne l'ai pas vu traîner une seule fois dans la forêt ni dans ses environs, alors même que plusieurs bêtes se sont prises dans ses collets et ont fini par mourir de froid ou d'épuisement... Un braconnier qui néglige ses prises, par ces temps de disette, qu'est-ce que cela peut bien signifier ?

Enfin, la femme... Une pêcheresse, sans aucun doute. Une sorcière ? C'est à voir. A ce qu'on raconte, son mari n'aurait pas survécu aux assauts impétueux d'un verrat en mal de truie pour se reproduire : Qui sait ? Peut-être le verrat a-t-il été ensorcelé...

L'aube pointe!
A la fenêtre de sa masure Eowynska est fatigué. La tension est palpable au hameau et elle a préférée décliné l'invitation de l'aubergiste. Elle avait de l'ouvrage cette nuit pour sa sauvegarde, mais ce soir, peut être ne s'isolerait elle pas! Il lui fallait un allié, quelqu'un en qui elle puisse avoir confiance, mais qui? Elle verrait en temps utile, pour l'heure trop de questions sans réponses.

Pourquoi le père n'avait il pas sonné les cloches? Un doigt vengeur se serait il enfin abattu sur la communauté?
n'en pouvant plus de réfléchir, Eowynska, quitta la fenêtre, intérieurement elle sentait qu'il allait se passer quelque chose.

Fatigué...

Je suis si fatigué...
_________________

Et moi qui suis je dans tes descriptions
_________________

J'ai bien assez bu et ce tavernier ne cesse de me resservir encore et encore. Les gens sont pauvres ici ; ce sont certainement moins des clients à fidéliser que ... oui, le doute m'envahissait depuis peu mais j'en suis sûr à présent. Je quitte la taverne de ce pas !
"Que cela ne vous déplaise Thezisoglü, je dois m'en aller coucher. Les temps sont durs et j'aurai besoin de mes forces demain. Merci et à (jamais !)".

"Oyé gens du village, un mot avant mon départ ; il/elle est calme, il/elle patiente et nous observe attentivement ... "

Evitez les coallitions hasardeuses, c'est un fourbe qui se lie facilement ; sympathique et plein de bonnes idées envers tout le monde ; ne lui montrez jamais votre dos !


VunRiki s'en va en courant.

Vous défoncez la porte de l’église à coups de hache. Devant l’autel, vous trouvez le père Brasov, en chasuble, allongé sur le dos. Il est pâle, et son cou porte des traces de morsure. Le collier de gousses d’ail, dérisoire, qu’il portait autour du coup ne l’a pas sauvé. Le flacon d’eu bénite, brisé à ses côtés, non plus. Dans sa main recroquevillée, vous trouvez une lettre. Son visage est marqué d’une terreur sans nom. Sans un mot, vous allez l’enterrer dans le cimetière attenant à l’Eglise. Vous savez tous ce que cela signifie. Ils sont parmi vous.

Vous vous regroupez dans l’Eglise, et l’un de vous, plus instruit que les autres, lit la lettre que Brasov a écrite d’une main hésitante:

« Villageois,

Pourquoi sommes-nous abandonnés ?

Je n’ai pas le temps de prêcher. Il n’est plus temps de prêcher. « Et il sortit un autre cheval, roux. Celui qui le montait reçut le pouvoir d'enlever la paix de la terre, afin que les hommes s'égorgeassent les uns les autres; et une grande épée lui fut donnée. » Il est là ! Le vampire ! Parmi nous ! Il a pris la place d’un de nous ! Il se cache ! L’Inquisition le cherche, mais ils ne le trouveront pas ! Il est là. Je demeure dans la maison du Seigneur, et j’accomplis les prières d’exorcisme. Si elles échouent, il boira mon sang, il se repaîtra de ma vie ! Si vous lisez ceci je suis mort ! Le paradis, le paradis, est-ce possible mon Seigneur ? Ils seront deux. Une fois par mois lunaire, la bête immonde peut se reproduire. Il a peur, il est la peur, il est la nuit. Deux. Oui, quand il se sera gorgé de mon sang, il en prendra un autre, et en fera un vampire. Ils seront deux. Terrés. Des parasites, nous volant la vie, les exécuteurs de la malédiction… La Providence est aveugle ! La nuit, la nuit… Des bruits… Ils sont parmi nous ! Le pieu, le pieu, c’est la seule solution ! Un pieu dans le cœur… Il… Il y a peut-être une solution… Dans ses rêves, l’un de vous saura, il est l’envoyé… Faites lui confiance… L’autre, il, il arrive… »

La lettre est inachevée. Peut-être la folie a-t-elle épargné à Brasov la conscience de mourir.

Vous êtes onze.

Parmi vous, il y a deux vampires.

La chasse est ouverte.



Ce soir, le village exécutera l'un d'entre vous. Qui doit recevoir un pieu dans le coeur ? Votez ! Pour ce faire, mettez en gras le nom de la personne que vous avez choisie. Si vous désirez changer votre vote, n'éditez pas votre post d'origine, mais écrivez-en un nouveau en écrivant en gras "je change mon vote, et je vote à présent pour..."

Amusez-vous bien !

Est-il possible de voter blanc?

On peut très bien s'abstenir. Mais les autres joueurs peuvent se demander pourquoi tu ne votes pas.

Une dernière précision des règles: les seules choses qui influencent la progression du jeu, les seules actions à votre disposition sont:

- Le vote désignant la personne à tuer le soir.
- Les actions des personnages spéciaux qui ont lieu durant la nuit: rêver pour le medium, sucer le sang d'un innocent pour le groupe des vampires.

Le reste n'est que paroles, pour convaincre les uns et les autres d'agir de telle ou telle manière

Ils sont parmis nous, ils sont nous. Tapis dans l'ombre, ils n'attendent que l'obscurité pour pouvoir frapper...
_________________

Les accusations mensongères de Sodom ne sont rien d'autre qu'un voile, destiné à masquer péniblement sa peur. Ou peut-être autre-chose...

Eowyn ? A plusieurs reprises, notre père Brasov - Dieu ai son âme - nous avait pourtant prévenu du danger qui rôdait, de celle par qui le démon voyageait pour exprimer son horreur. Car depuis que son mari avait disparu, elle se barricadait, seule, au plus profond de sa cave dont certains disent mener vers l'antre du démon. Et s'il s'agit d'un mensonge, gardons à l'esprit qu'il y a sans nul doute une part de vérité.

Et que penser des silences de Thundard l'érudit et Nefka le boulanger ?
Voici deux nuits maintenant qu'ils restent cloîtrés dans leurs demeures respectives, deux nuits où ils n'ont manifestés qu'indifférence à la situation du village.
Ce matin, accompagné du jeune Riki, de Zulios le rouge et Dante, nous avons frappé à leurs portes afin de leur annoncer la nouvelle mais aucun d'eux n'a daigné se manifester.
Le silence qui règne dans leurs maisons en dit peut-être long sur leur véritable nature, doit-on leur faire confiance ? Il est néanmoins difficile de s'abstenir de deux hommes valeureux s'ils sont innocents, nous aurons besoin de leur hardiesse ce soir, pour réaliser notre exécution de l'un des démons.
_________________

"Il n'est pas de lutte plus violente et déterminée que celle d'un homme face à son envie d'aller aux toilettes" - Karate Boy

Dans le matin glacial, chacun quitte le cimetière en pretextant divers taches quotidiennes à accomplir, mais tout le monde n'a qu'une seule question en tête : Lesquels d'entre nous ne sont pas ce qu'ils paraissent ? Qui sont en réalité des démons assoiffés de sang humain ?

Pauvre Brasov... Et pauvre de nous ! Si même un homme de foi n'a pu faire face aux créatures de la nuit, comment se protéger ? L'ail et l'eau bénite ont montré leur inefficacité ; Ces maudits nosferatus ont pu pénétrer sans crainte dans un lieu sacré : le crucifix ne saurait donc servir à les démasquer... Reste le pieu : il est aussi bien capable de transpercer le coeur d'un non-mort que celui d'un innocent...

Seul l'élu peut nous sauver. Mais qui est-il ? Et si jamais les nosferatus le débusquent et le vident de son sang, alors qu'adviendra-t-il du reste des villageois ?
J'ai un mauvais pressentiment en cette froide journée ; je crois bien qu'il est préférable de ne pas quitter le bourg, de laisser la forêt à l'abandon : elle ne me semble plus aussi acceuillante qu'autrefois et je crains désormais d'y faire de mauvaises rencontres...

C'est décidé, je reste parmi les habitants : j'aurai ainsi tout le loisir de déceler qui dit la vérité et qui se dissimule dans le mensonge... Certains d'entre nous gardent le silence depuis le début de la crise : Est-ce là le fruit de la terreur, la résignation à un destin tragique ou s'agit-il une manoeuvre pour échapper aux suspicions ? D'ici ce soir, j'en aurai le coeur net et pourrai faire un choix en mon âme et conscience...