J'ai préco l'édition de luxe avec les verres et les pierres à Whisky depuis Novembre ^^

Et j'aime même pas le whisky !
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

en plus il se fait dechirer sur gk ... bon bah je passe
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Comme indiqué dans un autre post, je trouve que Gamekult a une fâcheuse tendance à "descendre" les jeux
là où Jeuxvidéo.com fait dans le dithyrambique à outrage...

Je crois que la vérité se situe entre les deux...

Je suis pas fan des open worlds et je m'interessait a ce far cry parce que y'avait une ambiance amerique profonde çà la bioshock. Et je suis en manque de bioshock
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Juste en manque de Bioshock Infinite, ou en manque de Bioshock tout court ?
Si c'est l'option #2, il y a Prey, qui est assez proche.

Bien vu Kaede... PREY est très bon...

J'ai été un peu déçu. Bon après faut dire qu'on a pas arrêter de me le vendre comme le nouveau messie.
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Bon, j'ai craqué, hier soir je me suis acheté la version Digital Deluxe de Surviving Mars. J'ai démarré "pour voir" et je me suis retrouvé à jouer pendant 2h, ce qui augure du sympa pour la suite!

2 trucs que j'ai appris à la dure hier soir: ne pas construire son dôme trop loin des gisements de fer (qui requiert de la main d'oeuvre à l'inverse du gisement de béton), et bien positionner son premier hub de drones, là encore pas trop loin des gisements: j'ai pas réussi à construire sur un gisement de flotte parce que j'avais pas de drones à portée du coup j'ai été forcé de quitter la partie pour recommencer par la suite

Proche mais pas aussi bon. J'ai vu quelques tests et j'ai joué à la démo, ca m'a pas emballé plus que ça....
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Si tu es en manque de Bioshock, rejoue tout simplement à Bioshock, ça ne te fera pas de mal.

Dans ma volonté d'écrémer un peu ma bibliothèque Steam avant de jouer à Yakuza 6 (bien que je vais finalement sûrement faire le 5 avant), au moins pour l'histoire), j'ai lancé Layers of Fear, que j'avais obtenu gratuitement.



Il s'agir d'un jeu d'horreur à la première personne, qui prend place grosso modo à l'époque victorienne (ou alors le protagoniste a des goûts ultra vintage), et dans lequel on incarne un peintre qui, semble-t-il, a subi un fort traumatisme. Le jeu se déroule dans sa maison, qu'on explore au début assez normalement... et tout bascule.

Les interactions sont réduites au minimum : on marche, ou dirige son regard, on ouvre des portes et des tiroirs, et on observe des notes ou des objets. Il y a quelques petites énigmes vers la fin du jeu, mais c'est marginal. Elles rallongent surtout inutilement le jeu, qui a mon avis n'avait pas besoin de ça.

Car je ne peux pas dire que j'ai apprécié Layers of Fear. Bon, déjà, ça ne fait pas peur. Du tout. Peut-être en VR, mais sinon, non, même si la peut est subjective. En fait j'ai eu du mal à rentrer dans le jeu à cause des contrôles. A la manette, pour ouvrir une porte, il faut maintenir une touche et utiliser le stick droit pour pousser, tirer, aller à gauche ou à droite. C'est le même stick qui permet de diriger le regard, et non seulement on a donc tendance à décrocher de l'objet qu'on tient, mais en plus ça file la nausée.

D'ailleurs, à votre place je désactiverais les mouvements de tête, car j'ai vraiment eu la nausée après deux heures de jeu.

Bref, on passe le plus clair de son temps à se bagarrer contre les commandes, qui devraient pourtant être simples. Un simple clic aurait du suffire, je ne vois pourquoi ils sont allés pêcher ce genre de Davidcage-isation des contrôles.

L'histoire qu'on reconstitue à partir des notes et objets ramassés ici et là permettent de vite reconstituer l'histoire dramatique du peintre. C'est un problème car on recollé les morceaux au bout d'une heure de jeu, mais on va en passer encore deux ou trois à déambuler dans les couloirs et les pièces vides de la maison. Le jeu est donc bien trop long pour ce qu'il a à nous dire, s'étire en longueur, et se termine par une série "d'énigmes" franchement casse-couilles et qui n'apportent rien.

En revanche, la direction artistique est intéressante, et les développeurs ont réalisé un excellent job de déstabilisation du joueur en chamboulant sans cesse la topographie des lieux, parfois de façon abrupte, la configuration d'une pièce pouvant changer au détour d'un regard. L'ambiance sonore est également réussie.

Layers of Fear reste une expérience pas tout à fait inintéressante, mais il est au bas mot deux fois trop long. Je ne sais pas si c'est un choix délibéré des devs, qui pensaient vraiment que prolonger l'aventure apporterait quelque chose, ou s'ils se sont sentis obligés de rallonger la sauce pour se rapprocher des standards, mais ça, plus les contrôles loupés, c'est vraiment dommage. Du coup je suis un peu circonspecte devant le bon accueil du jeu par la presse et le public.

PS : je ne sais pas si c'est Unity ou quoi, mais j'ai du passer les réglages en medium pour tenir à peu près les 60FPS, alors que graphiquement on est loin d'un Gears 4.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

mwai, je sens que je vais le degager de mon dur quoi ....
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Ah mais toi tu vas te faire chier à t'en taillader les veines, c'est sûr !
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Non, non, c'est très bien Layers of fear.

Ca ne peut que déplaire à Rainmaker donc c'est très bien.

(joke, évidemment)

Il me semblait en avoir déjà parlé ici même, j'en avais même la certitude lors du bilan de cette année, et je n'en trouve pas de traces.

Je suis scié, à moins que ce ne soit un mauvais sort du jeu.

Pour reprendre quelques points de Shenron, puisque je suis en désaccord avec la plupart.

Je n'ai eu aucun problème avec les commandes. Cela peut surprendre au début, mais puisque ce sont toujours les mêmes, cela se fait très facilement et très naturellement. J'y ai joué sur console, donc pas le choix, mais à la réflexion je peux comprendre que cela peut sembler étrange sur PC. Aucune nausée non plus de ressentie, mais j'ai le pied marin, ça doit être pour ça.

La désorientation, si, mais pas à cause des commandes. Parce que le jeu se joue de notre perception des lieux, il suffit d'orienter son regard ailleurs pour que la pièce change. Et le jeu est très fort à ça. L'environnement est malléable, déformable, tourmenté à l'image de la psyché du peintre.

Et du coup, j'ai eu très peur. Peur parce que je ne savais jamais à quoi m'attendre. Parce que j'avançais dans l'inconnu. Pas peur parce que j'allais croiser un ennemi, pas peur parce que j'allais manquer de munitions, pas peur parce que l'angle de vue est trop anxiogène, rien de tout ça puisqu'il n'y a rien de tel dans le jeu. Le jeu est presque un walking simulator, sauf que l'on marche à nos dépens, on avance sans jamais savoir où on va, puisque rien n'est défini, rien ne dure.

Jamais je n'avais ressenti un tel lien avec le décor d'un survival-horror, le ressenti est complètement différent

Les énigmes ne m'ont pas marqué, je l'avoue, je ne me souviens pas que la fin en enchaîne plusieurs. Je me rappelle très bien de celle du phonogramme ou du téléphone qui sonne, car elles sont très futées, et que j'ai râlé avant de comprendre où le jeu voulait en venir, et ce avec intelligence.

L'histoire en elle-même n'est pas inintéressante, sur les drames qui se sont déroulés au sein de cette maison. Et qui en est le responsable. Il y a trois fins possibles, selon sa manière de jouer. Je suis d'ailleurs surpris de lire que les morceaux de l'histoire sont rapidement reconstitués, alors que c'est très embrouillé du début jusqu'à la fin, jusqu'à ce qu'on arrive à démêler les informations, et il m'a fallu plus d'un run pour le faire. J'ai suffisamment accroché pour refaire le jeu autant de fois que nécessaire. Malgré un peu de gras, mais rien d'aussi fort que celui ressenti par Shenren. Et bien que les ficelles me soient apparues de façon de plus en plus visibles, je suis toujours resté scié devant le travail de désorientation du jeu, devant son ambiance particulière.

Pour moi, le jeu est unique, car il a sa propre personnalité que ses petits défauts ne gênent en rien.

Layers of fear, c'est probablement mon coup de coeur de 2017. En reparler fait ressurgir des images très fortes, des sentiments même. Je ne pouvais que le défendre.
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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

Bah après ca peut me plaire comme Murdered Soul Suspect qui est un peu particulier comme jeu.

Mais bon j'ai pas beaucoup de temps pour tester des jeux. A une epoque j'aurai pu, mais là je suis obligé de me recentrer à fond sur les jeux que j'ai acheté parce que j'ai pas le temps de tout faire

Et globalement le jeu me parait un peu trop "intellectuel" ...

edit: bon je viens de checker ca


Donc en fait on fait tout ce que je deteste dans les jeux "d'action".. en ce moment je suis sur deus ex, je fini et je vous en parle mais pour le moment c'est super moyennasse
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Quel épisode de Deus Ex?

Nos ressentis sont diamétralement différents !

Honnêtement, je ne sais pas comment tu as pu ne pas t'énerver à la manette. J'ai commencé comme ça aussi, et j'ai craqué au moment du puzzle du gramophone.

ATTENTION JE VAIS SPOILER



Dans la mesure où on apprend dès la deuxième scène que le mec est fou, ou du moins très perturbé, on est forcément moins surpris par la façon dont l'environnement est souvent chamboulé. C'est très bien fait, hein, ce n'est pas la question, mais rapidement je me disais "ah, là il n'y a plus de porte, bon, je vais déplacer un peu mon regard, ça va déclencher un truc".

Idem pour l'histoire : effectivement on ne devine pas tout, tout de suite, mais dès le début on sent qu'il y a eu un drame avec son épouse, et que l'alcoolisme du personnage n'y est pas étranger. A vrai dire, je pensais même qu'il y avait eu pire que ce qui s'est passé réellement (genre la mère tue la fille), mais au bout de deux heures de jeu (en gros, 4 "ingrédients" récoltés), on a compris... Et il reste une heure à tourner en rond.


Les téléphones m'ont rendue dingue. L'énigme n'est pas compliquée, mais on fait juste 4 fois la même chose, et la symbolique (?) m'a échappée, donc j'ai très mal vécu cette séquence.

En fait je ne suis jamais rentrée dedans, et je voyais toutes les ficelles. Je pense qu'il faut être dans une disposition d'esprit particulière pour apprécier, tout de même.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

mankind divised
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Oui effectivement il est moins flou que le précédent niveau histoire, mais j'ai vraiment apprécié le jeu quand même

... ce qui est d'autant plus intéressant que tu n'es pas hermétique au genre par principe, puisque tu as adoré Silent Hill Shattered Memories.
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