Un nouveau RPG sur DS? Tu veux dire, un autre que le pitoyable ASH qui n'est pas encore sorti du Japon? Ils nous la jouent Stakhanov chez Mistwsalker, ou quoi?


Sinon, j'entends dire ici ou là que si vous en avez marre des clichés et conventions du RPG Japonais, une petite boîte pas très connue (mais hélas occidentale) a sorti il y a peu un RPG confidentiel sur 360 dont il semblerait qu'il ne soit pas trop mauvais... Zut, j'ai oublié le titre, Mass quelque chose.

70 heures, voilà pourquoi je ne l'ai pas encore sorti de son blister. J'aime commencer un RPG et... le finir sans autre chose sur le feu.
Puis bon, même mon temps de jeu est hyper réduit ces dernières semaines.
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Le problème, c'est que Blue Dragon et les autres RPG japonais sortis sur 360 sont encore plus confidentiels que le jeu dont tu parles. Là sur ce topic il n'y a plus eu qu'un seul intervenant parlant du jeu, tandis qu'il y en a quand même plusieurs pour Mass trucmuche. Après, c'est un peu la tendance en ce moment en actu: on parle moins qu'avant des jeux auxquels on joue (que ce soit sur 360, Wii ou PS3), à part le topic Live Arcade qui s'en sort très bien.

Sinon, j'ai l'impression que je suis le seul à beaucoup attendre Lost Odyssey alors que je ne possède pas de 360.

C'est peut-être parce que tous les autres l'attendent mais *ont* une 360
Pour Mass Effect, je suis dessus. Il est encore trop tôt pour se prononcer.
Pour Blue Dragon, il faut que je pense à l'acheter en version Anglaise pour les voix. Je suis foutu d'oublier et de l'acheter à Micromania.
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@hyksem
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Rappellons qu'il n'y a pas que Mass Effect dans la vie.

Je ne dis pas le contraire. Cependant, quand quelques posts plus haut tu regrettes que Blue Dragon se complaise dans tout ce que tous les RPG Japonais nous ressortent depuis 20 ans (quelqu'un -- j'ai oublié qui -- a dit un jour que le JRPG est l'équivalent vidéoludique de la musique country: ce mec-là a tout compris) en croisant les doigts très fort pour que Lost Odyssey ne fasse pas la même erreur, et que juste en-dessous Laurent annonce que c'est vraiment dommage mais si, je me vois quelque peu obligé de rappeler ce qui n'est hélas pas une évidence pour tout le monde: il n'y a pas que les RPG japonais dans la vie.

J'irais même jusqu'à dire que les meilleurs RPG de ces dernières années (et de loin) sont occidentaux.

Pour Lost Odyssey, je n'en attends pas une révolution du genre: juste qu'il sorte un peu des sentiers battus.

Apparemment, sa fin est plus classique, mais le jeu tirerait une partie de son intérêt dans des textes nous relatant des histoires tristes et dont le style d'écriture nous rappelle que le jeu est tiré d'un roman.

Après bon, je vois plus souvent des amateurs de rpg occidentaux attaquer le rpg japonais que l'inverse. De même quand je lis des reproches sur une revue qui ne parle que du rpg japonais, je ne vois pas d'autres personnes reprocher à une autre revue de n'aborder que le rpg PC et Online (j'ai vu un magazine sur ça il n'y a pas longtemps).



Evidemment, si tu ne joues qu'à des Star Ocean 3.
Faut plutôt se tourner vers Final Fantasy XII ou Baten Kaitos Origins pour trouver certains des meilleurs rpg de ces dernières années (aux côtés de certains rpg occidentaux bien sûr).

Oui donc, Blue Dragon.

J'y joue de temps en temps avec le fiston, question de l'initier aux joies du RPG et des cacas agressifs. J'en suis à environ 12 heures de jeu, je prends mon temps, j'en suis actuellement à la vallée des fresques. Bilan :

Points positifs :
- Le système de combat est d'un classicisme rassurant. Mon dernier RPG remonte à lonnnngtemps (FF8 je crois - ah non je mens, j'ai bien fait plus de la moitié de FFX), j'apprécie de ne pas me sentir paumé dans une multitude de nouvelles règles à apprendre.
- Le système de combat se montre assez vite plus profond qu'il n'y paraît (l'omniprésence des jauges permet de bien belles choses).
- Pour peu qu'on soit sensible à la sensation de puissance que dégage un personnage gagnant en expérience et en objets de toutes sortes, Blue Dragon donne envie d'aller plus loin ("quelle sera la prochaine compétence de malade que je vais acquérir ?")
- La réalisation est agréable : le graphisme est dépouillé (décors souvent vides), mais parfaitement lisible et portant la Toriyama's touch ; la bande son comporte quelques superbes morceaux ; l'animation, bien qu'en 30fps pas toujours très stable, est détaillée.

Points négatifs :
- Le classicisme, c'est bien, mais pas trop quand même. Tous les défauts d'un genre que l'on connaît trop bien sautent à la figure : linéarité, déroulement binaire village-donjon, combats au tour par tour patauds (et 99% du temps inintéressants), personnages caricaturaux, scénario écrit pendant la grève japonaise des scénaristes ;
- VF moyenne ;
- La nature des objets que l'on obtient est très opaque : il est impossible de savoir à quoi ils servent, sauf en allant faire un tour dans les menus pour voir où ils ont été rangés ;
- Difficulté inexistante. J'ai toujours eu pour principe d'affronter tous les monstres qu'on m'envoie à la figure, partant de l'idée que s'ils sont là, c'est parce qu'ils sont nécessaires au levelling raisonnable de mon équipe. Grosse erreur : dans Blue Dragon, on a (très très) vite dans les mains une équipe de tueurs (mes monks viennent d'obtenir une compétence qui m'a bien fait rire : ils frappent en un seul coup TOUS les adversaires en face avec une force démesurée - les combats de monstres errants n'ont plus aucun intérêt ! Avantage : ils ne durent plus qu'une dizaine de secondes) ;
- Le principe consistant à fouiller le moindre élément du décor à la recherche de pièces d'or ou de quelques objets inutiles est affligeant de débilité. A choisir, je préférais l'époque où les monstres faisaient gagner de l'argent.

Conclusion : mouais. Passe encore que l'intrigue souffre, pour le moment, d'un manque d'originalité totale, mais les combats constituant, dans un RPG, le nerf de la guerre, mon principal regret sera de ne pas retrouver le stress d'affrontements sinon difficiles, au moins suffisamment délicats pour me contraindre à user de toutes les possibilités stratégiques offertes par le soft.
J'ai vu un peu tard qu'il était possible de charger sur le Marketplace un mode "difficile". Tant pis.

Il n'y a pas une contradiction là ?
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Ben non. Un jeu peut être riche mais ne pas en profiter.

En gros : la gestion des métiers / compétences permet bien des choses pendant les combats (d'où la profondeur) MAIS la difficulté des combats est tellement proche de nulle qu'elle rend l'usage de cette profondeur totalement inutile (d'où le côté inintéressant). En outre, les combats se font au bon gros tour par tour qui tache un peu mou du genou (d'où le côté pataud).

... Voilà.

Je finirai tout de même en disant que je compte bien poursuivre l'aventure, car j'ai toujours espoir de la voir décoller (après tout, je n'en suis qu'à une dizaine d'heures).

Aaaaahhhh.... Quelqu'un qui parle de Blue Dragon. Content je suis ! ^^

Alors vi, je suis plutôt d'accord avec toi en ce qui concerne pas mal de points de ton post, David.
- En ce qui concerne les objets un peu obscures, je suis d'accord : un petit raccourci pour savoir à quoi ils servent, ce n'aurait pas été de trop.
- Pour la VF, je ne suis pas d'accord. Elle n'est pas moyenne : elle est ca-tas-tro-phique. ^^
- Pour le principe de cliquer partout pour choper des objets, c'est en effet un peu lourd, et ca apporte pas grand chose... Dommage. De bons gros coffres comme dans le temps, ca suffit largement.
- A propos de la difficulité, je suis d'accord à 50 %. Alors oui, c'est trèèèèèèèèèèès simple, trop, mais bon, déjà, il y a la possibilité de jouer en Hard (et c'est vraiment dur), et de plus, j'aime bien les jeux dans lesquels on progresse comme dans du beurre : là, c'est too much (et clairement), mais je prefère cet exces à l'autre (Ninja Gaiden ??? Grrr.....)
- Par contre, en ce qui concerne les critiques à propos de l'univers et de l'histoire, je ne te suis pas. Mais je comprends pourquoi tu penses ca : tu arrives à peine au village des Fresques. Là, tu es pile poil au moment où le jeu décole. Tu vas commencer à voir des endroits merveilleux (le village des Fresques lui même est fabuleux....), des décors splendides (rha.... Jibral !!!!) et surtout, tu vas commencer à voir l'histoire partir. Avec les persos comme Néné qui vont enfin montrer leur nature, leur volonté (pas si gratos que ca, le Néné... ^^) ou comme Zola et Marumaro (ton marmot doit adorer Marumaro, non ? ). Et surtout, surtout, arrive jusqu'à la fin du jeu : tu me diras si tu as tout vu venir à l'avance...

Donc oui, globalement, je suis d'accord avec toi. Finis le jeu, et tu verras que certaines des critiques que tu formules vont disparaître, comme par magie.

Bon alors entre le mode normal où on passe comme dans du beurre et le hard, impossible, il faut choisir quoi ?
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@hyksem
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Le mode hard n'est pas insurmontable. Ca peut être du coup un bon choix pour apprécier le jeu avec un peu de challenge. Mais comme je le disais, même en normal, Blue Dragon se laisse apprécier grandement. A toi de voir si tu es intéressé par un jeu challenging ou pas !

Je ne peux PAS me contenter du scénario d'un RPG, très secondaire en ce qui me concerne. Si la partie combat ne suit pas, je ne suis pas.

Xu, à toi de voir si les combats sont pour toi secondaires. Mais s'ils ne le sont pas, je te conseille vivement de te lancer en mode "difficile" (qui ne doit pas être si difficile d'ailleurs).

Cette histoire me fait penser à Final Fantasy IV, sorti aux US directement en version "easy". Ils nous ont refait le coup avec Blue Dragon.

Non franchement, je regrette de ne pas avoir commencé BD en "hard".

Disons que les combats sont quand même un domaine important dans ces jeux. En temps cumulé, on passe une tripotée d'heures dedans alors si ça m'ennuie profondément, ça ne va pas le faire. Surtout si on en fait un tous les trois mètres. Mais par contre, j'ai tellement de jeux à faire et si peu de temps que je n'ai pas envie de devoir faire 100h de leveling pour pouvoir finir le jeu.
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@hyksem
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18h de jeu, et je viens de botter les fesses du bras-droit robot de Nene dans son gros vaisseau. J'en suis toujours au premier disque. Les deux autres servent vraiment ?

Quoi de neuf depuis la dernière fois ? Quelques spoilers mineurs inside.
- La ville de Jibral, qui en impose effectivement (par sa taille, et par sa foultitude de détails graphiques - tout le contraire de ce que j'ai pu voir jusqu'à présent).
- Un scénario qui semble décoller depuis mon arrivée dans cette ville.
- Quelques bonnes idées esthétiques (les fresques).
- Zola a vraiment de gros attributs.
- Un gars avec lequel j'ai échangé tous mes "nothing" contre des accessoires très utiles pour les futurs généralistes de mon groupe (à titre d'info, j'avais 549 "nothing" - nombre qui fait peur puisqu'il signifie que j'ai fouillé, depuis le début de ma partie, 549 éléments de décor pour rien. Estimant récupérer 1 "nothing" pour environ 3 ou 4 objets, je dois avoir fouillé plus de 2000 éléments de décor jusqu'à présent. Quelle idée saugrenue que ces décors 100% fouillables.)
- J'ai fait passer mes 2 monks au job "généraliste" après que ces derniers ont acquis la compétence "Contre-attaque absolue" ; et malgré les stats minables liées à ce métier, je continue de massacrer tout ce qui passe. Le jeu est définitivement facile.
- Correction : le jeu est très très facile. Avec le job "généraliste", je peux enfin utiliser des "accessoires" super balaises dont je me demandais bien comment j'allais les utiliser puisqu'ils étaient jusqu'alors grisés. Et c'est sans compter tous les slots supplémentaires que j'obtiens pour accumuler les compétences.
- J'ai quand même eu un peu peur contre le boss robot avec ses couteaux ;
- Je me demande toujours comment gérer les barrières bleues / vertes / rouges qui entourent certains coffres ou qui barrent certains chemins.
- J'adore la bande-son de ce jeu. Vraiment. Je n'ai encore entendu aucune mélodie à jeter. J'en étais resté au son "Uematsu sur son Bontempi" des FF de la PSOne ; ce Blue Dragon n'a vraiment rien à voir. Ca fait du bien de vivre avec son temps.
- Le fison adhère totalement à l'univers. Marumaro, le petit comique de service pas marrant du tout, le fait bien marrer. Accessoirement, il a un sens de l'orientation et de l'observation hallucinant qui me permet de m'y retrouver un peu dans certains donjons plutôt labyrinthiques (le vaisseau de Nene remporte la palme).

C'est sûr, je verrai la fin de ce jeu, ne serait-ce que pour ses thèmes musicaux très réussis.

Up du fin fond de l'enfer...

Au fait David, as tu fini Blue Dragon ? Et qu'en penses tu avec le recul ?

J'ai terminé Blue Dragon depuis un bon bout de temps, difficile de me souvenir de tout ce que je lui reprochais ou de tout ce que j'y appréciais.

Pour commencer par les choses qui fâchent, je n'en démordrai pas : les combats sont beaucoup trop faciles. Non contents d'être lents (temps de chargement non négligeable au début de chaque combat, coups portés à la vitesse d'un escargot), et à part quelques combats facultatifs (le roi des cacas, au secours), aucun ne présente le moindre intérêt tant la puissance des héros est grande, trop grande. Moi qui me suis relancé avec délectation dans le Final Fantasy IV remixé de la DS, je ne peux qu'insister sur l'importance capitale que tiennent des combats bien réglés dans un RPG. Dans FFIV, il n'est pas rare de mourir : le moindre monstre errant peut vous pétrifier en un tour, vous endormir, vous électrocuter ou simplement vous asséner un coup d'une telle puissance que vous ne vous relevez pas, justifiant naturellement l'existence chez chacun des avatars d'aptitudes indispensables qu'une trop grande facilité vous aurait incité à négliger. Dans Blue Dragon, que nenni : on ne prend aucune rencontre au sérieux, on bourine le bouton A, et on enchaîne ainsi les combats dans la plus grande lassitude. Du coup, on n'utilise pas le dixième des possibilités de combat offertes par le jeu, notamment les plus originales (les batailles entre monstres, notamment).

De fait, que reste-t-il à Blue Dragon si 90% de son déroulement n'appelle aucun effort intellectuel particulier ?
- Une bande-son fantastique, très variée, rarement désagréable. De façon générale, la musique, lorsqu'elle est bonne, est un argument suffisant pour que je m'accroche à un jeu (Eternal Sonata dispose, lui aussi, de morceaux grandioses ; et il semblerait que Sakuraba ait une fois encore fait des prodiges dans Infinite Undiscovery) ;
- Un univers qui plaît énormément aux enfants (mon fiston ne s'est jamais lassé de suivre les aventures de Shu et ses potes) ;
- Un univers qui peut aussi plaire aux plus grands (Toriyama à la baguette) ;
- Un univers vaste, qui n'évite hélas pas les poncifs du genre (le nord est enneigé, le sud est ensoleillé, et au milieu, des régions faîtes de plaines ou de montagnes). Certains villages sont très beaux ;
- Une histoire banale mais agréable à suivre, avec quelques bonnes idées ;
- Malgré le défaut rédhibitoire de sa trop grande facilité, de vrais efforts ont été fournis pour éviter les défauts traditionnels des RPGs japonais (exemple : il est possible de gagner du temps en évitant les combats contre les monstres errants trop faibles grâce à une aptitude qui s'apprend au fil du jeu).

J'oublie sans doute des choses, mais le fait est que je garde de Blue Dragon un bon souvenir. Et puis, soyons honnête : si j'avais été assez malin pour commencer ma partie en mode difficile, peut-être n'aurais-je eu que très peu de choses à lui reprocher.

Résurrection demandé monsieur Spock.

Depuis quelques jours, je me suis de nouveau collé à Blue Dragon, en dilettante.
Il faut avouer que le premier contact avait été franchement négatif et m'avait fait abandonner l'aventure en cours de route, peu après être arrivé dans la cité des robots.

A la manière d'un 4x4 fonçant à 150/kmh dans un village malien lors du Paris-Dakar, les défauts de Blue Dragon m'éclaboussent toujours autant la figure.
Scénario naze, personnages mille fois vus et insupportables, doublage français catastrophique, système de jeu trop classique et j'en passe.

Cependant, l'étiolement de ma passion vidéoludique n'y étant sans doute pas étrangère, je commence à accrocher.
Que je rassure tout de suite Jika, ma position reste toujours fermement ancrée. Mais, après un zeste d'effort et de bonne volonté, je commence à percevoir certaines qualités de ce titre qui, jusqu'ici, symbolisait à mes yeux toute la décrépitude du jeu de rôle japonais.

Au fil des heures ( je viens de débarquer en direction du grand nord ), Blue Dragon séduit.
Il faut lui reconnaître un design général et une réalisation technique vraiment soignés. Pour peu que l'on apprécie le Toriyama période Dragon Ball/Docteur Slump ( ce qui est mon cas ), il se dégage de l'ensemble un je-ne-sais-quoi de charmant, qui doit sans doute jouer sur la nostalgie enfantine des anciens adorateurs du Club Dorothée. A tel point que l'on en vient à tolérer certains personnages tous droits sortis de Dragon Ball Z post-Freezer, ce qui n'est pas rien.

Également, j'ai pour une fois creusé le système de combat qui n'est, mine de rien, pas si archaïque que ça.
Mieux, je lui accorde le mérite d'une certaine richesse, en particulier à travers le système de classe et celui des jauges de combat. En fait, à bien y regarder, Blue Dragon est peut-être l'un des jeux de rôle ( japonais et occidentaux confondus ) qui propose l'un des meilleurs systèmes de combat à ce jour, du moins l'un des plus tactiques dans le domaine du tour par tour.
Seulement, pour le constater, il faut vraiment progresser au-delà du premier DVD.

J'ignore encore si j'irai jusqu'au bout, d'autant que la construction ville>donjon est un bouffe-temps monstrueux, mais l'idée que je m'en fais est nettement plus positive que lors de ma première expérience.

C'est un des derniers jeux 360 que j'ai fait, il y a quelques mois bien après sa sortie initiale, avant mon switch définitif sur PS3.

Perso j'ai vachement aimé Blue Dragon, contrairement à Nordine, j'adore le scénario léger et débilos et j'aime le fait que le jeu soit tranquillou, pas trop dur, les événements s'enchaînent bien. C'est un très bon RPG light et il ne faut pas avoir des exigences irréalistes à son sujet.