parce que j'aime bien me faire mon avis aussi

Mais en voyant le film c'est vrai que je repensai à 2-3 blagues qu'il a fait
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Rock Forever
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rock_Forever

Film qui reuni 2 de mes passions : Tom Cruise et le rock ^^
Le film est une sorte de comedie musicale centrée sur les années 80-90 avec plein de reprises de morceau de rock dedans. Y'a du connu et du moins connu mais pas des enormes morceaux. C'est un peu dommage, mais pour vous situer c'est le genre de musique qu'on a lors des 2 1ers etapes de guitar hero.

Tom joue un clone d'axl roses, d'ailleurs il chante une version raccourcie de paradise city, et comme d'hab, il transpire le charisme. En plus meme s'il est un peu autotuné, il un joli bbrin de voix. Car c'est ca qui est bon, tous les acteurs chantent. Meme catherine zeta jones, et meme alec baldwin ^^
Cote scenar c'est du classique pas super compliqué, ca m'a rappellé un peu coyote girl par moment, mais ce qui est vraiment sympa c'est de retrouver l'ambiance de la fin des années 80, la musique, les fringues, les modes etc... pi les chansons.
Moi je me suis bien eclaté devant ce film. Apres si vous etes allergique au rock et/ou a tom cruise vous allez vous faire chier, mais sinon foncez
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Vu Gatsby le Magnifique
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gatsby_le_Magnifique_(film,_2013)

Plutot decu, pas par Leo qui explose vraiment l'ecran à chacun de ses films, mais par l'histoire assez longuette, et les decors.
Bon sang y'a pas un gars qui rematte les films une fois qu'ils ont intégré les fonds verts ? parce que bon ca se voit les incrusts. Par moment ca pique clairement les yeux

L'histoire comme je disai est un peu bancal, au final on sait pas vraiment comment gatsby est devenu riche, comme tobey mcguire gagne sa vie vu qu'au final il travaille jamais à part à la fin du film.
Pourquoi il se retrouve dans un asile .... ok l'histoire d'amour est belle, mais bon sang que c'est nian nian et lent ....

A un moment je m'attendais à un truc a la fight club ou shutter island, et en fait non
L'histoire reste belle, mais bon sang que ce film est lent....
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3 films aujourd'hui, 2 merdes et un tres bon film.

Les mauvais films c'est les 2 derniers twilight. Des fois j'aime bien me faire du mal mais là quand même j'ai regretté.
J'ai vu les 1er y'a longtemps du coup j'ai eu du mal à recoller les wagon, en meme temps y'avait pas grand chose à se rappeller. Je me suis rapeller vers la moitié du film que les campires sont censés briller en plein soleil, visiblement y'a que moi qui m'en suit rappellé le réa lui non ....

Donc le 4 c'est le mariage de bella, c'est lamentable. J'avais oublié à quel poing bella était conne, mais conne à bouffer du foin...
En voyant ce film je m'imaginais trop l'auteure, une vieille fille de 40-45a qui a jamais vu le loup, qui s'habille en robe de princesse rose au milieu de tonnes de chat et de peluche ...
Sincèrement le scenar fait du rase motte, je sais pas qui est la cible mais je pense que ma fille doit etre dans la limite superieure.
Bref naze, trop long et une vraie purge.

Ah oui et putain le prenom du gamin, même les acteurs/personnages se facepalment dans le film, la logique de bella pour arriver au prenom : renésmée, est tellement débile que ca en devient risible.


Le dernier film est aussi chiant, les effets spéciaux tellement pourris .... je reviens pas sur le scenar qui est toujours aussi naze.
C'est niais ... et soudain j'ai failli y croire une baston. Naze mais une baston quand meme, et là le drame. On nous ressort le : ce n'etait qu'un reve.
Merci au revoir ....


Entre temps j'ai essayé de matter percy jackson, les memes effets speciaux que twilight, nazes. Me suis endormi au bout de 20mn de film ....


Du coup j'ai enchainé avec un film que je pensai bon mais qui c'est révélé génial : Chasing Amy / Meprises multiples de Kevin Smith.
J'ai deja parlé plusieurs fois de Kevin et franchement quand on lui laisse la réa et le scenar il fait quand meme des miracles.
En plus il a reussi l'exploit de me faire apprécier le jeu d'acteur de Ben Affleck
https://fr.wikipedia.org/wiki/Chasing_Amy

Le film parle donc des themes chers à Kevin, l'amour, le sexe, les relations entre les gens, et evidemment SW.
A chaque fois que je vois un de ces films, il reussi à me faire marrer en défoncant les clichés de SW. Ce mec est un vrai génie. Je spoile pas trop mais franchement regardez le ce film.

Donc ca parle de Ben qui est auteur de bd et tombe amoureux d'une lesbienne. Y'a beaucoup de dialogues dans ce film, toujours aussi savoureux, sur ce qu'est l'amour, la virginité etc.... c'est un theme assez epineux car tu peux assez facilement tomber dans le discours politiquement correct, ou alors le truc revendicatif, mais non il reussi à en faire quelque chose de profond et d'intelligent.

La relation evolue forcément, et c'est vrai que Ben fini par se poser des questions que tout le monde s'est un jour posé sur sa nana. Perso pour moi c'est le cas
Je vous avouerai que la réaction d'Affleck je l'ai pas vu venir, mais dans le delire Kevin Smith ca se tient ^^

Ca m'a pas mal rappellé l'esprit Clerks, vu que ca se passe dans le meme univers, et franchement c'est un régal toutes les idées qui passent dans ce film.

Franchement je le recommande chaudement
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bah pour avoir des idées de drame, comédie ou thriller (ce qui semble être le sujet du topic) il y a pas mal de sites sympa mais pas connus comme http://www.idee-film.com avec des critiques aussi. A ce niveau là, c'est plus de la passion que du business !!

Je viens de voir Les Rivières Pourpres.

Bon ben je me suis bien fait chier. Un scénario inutilement alambiqué pour que dalle au final. Le twist de fin (les jumelles) qui est une solution de facilité. Beaucoup trop d'ellipses dans le scénario (il paraît que le livre, que je n'ai pas lu, est mieux). Des acteurs en petite forme, y'a que Vincent Cassel que j'ai trouvé bon. Des personnages absolument pas développés et donc peu charismatiques. Le coup du téléphérique en moins sur le dernier plan du film.

Bon c'est aussi ma faute, on m'a dit que c'était une sorte de Silence des Agneaux meets Seven à la française. Vu que je me suis aussi bien fait chier avec ces 2 films, j'aurais du m'y attendre...
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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

Tu t'es fais chier devant Seven et Le Silence des Agneaux?
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Pour Le Silence des Agneaux, oui totalement.
Pour Seven, j'exagère un peu car je ne l'ai pas trouvé mauvais, mais je ne l'ai pas trouvé génial non plus.

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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

Attention, tu empiètes sur le territoire de Rainmaker, pisser sur les totems c'est son rayon
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Mais nan y'a des totems qui le meritent ^^

Par contre Seven j'avais été un peu decu, le film est bien, pas culte, mais sympa.
J'ai trouvé que le buzz autour de l'identité secrete du tueur, qui est même pas dans le générique, servait à rien au final.

Mais sinon j'ai 3 films que j'ai pas encore chroniqué, va falloir que je m'y mette. Enfin 4 vu que je vais allez voir dedapool demain
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Si si, c'est culte Seven. Et l'intérêt du secret autour de l'identité du tueur c'est qu'on le croise sans s'en rendre compte (ni le spectateur, ni les personnages).

Dans la catégorie "Drame" j'ai vu récemment "Carol", l'histoire d'amour entre deux femmes dans l’Amérique des années 50. Le film passait en VO dans ma salle (pour une fois), et ça + le sujet, on était cinq dans la salle

C'est très beau mais un peu froid. J'ai beaucoup aimé la façon dont le metteur en scène filme quasiment toutes les scènes avec une vitre devant sa caméra, comme pour montrer que tout se passe à l'abri des regards des autres, caché. Les actrices sont très chouettes, mais le film vieillit moyennement bien dans ma tête, il n'y a pas vraiment d'émotion qui transparaît.

Dans un autre genre et parce qu'il fallait bien que je m'occupe entre Le Garçon et la Bête (qui est très très bien) et les Huit Salopards (qui est très très bien aussi), je suis allée voir Et ta soeur, qui est très très mauvais.

L'histoire d'un type qui va réviser son concours de bibliothécaire dans la maison de famille d'une amie, qui est l'ex de son frère qui est mort un an plus tôt, et qui sur place découvre qu'elle n'est pas vide (la maison), mais occupée par la soeur de sa pote, qui vient de rompre d'avec sa meuf. Et bon, c'est pas mal joué, mais c'est juste qu'on n'a rien à secouer de ce qui se passe à l'écran. Parce qu'à vouloir se la jouer "dialogues naturels voire improvisés", ce n'est pas plus intéressant que les discussions que j'ai le midi avec mes collègues (surtout que là je participe, ce qui joue beaucoup).

Heureusement j'ai aussi vu Spotlight, histoire vraie de l'enquête ayant révélé un scandale de pédophilie organisée, ou du moins couverte, au niveau de l'Eglise catholique dans la région de Boston en 2000-2001. Ultra académique, axé sur un sujet passionnant mais un peu rebattu chez nous, le film est soutenu par un casting irréprochable et un rythme soutenu. Prenant, mais pas surprenant.


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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Seven, c'est pas culte juste pour son histoire. C'est également un film à la réalisation extraordinaire. Les scènes de crimes sont oppressantes et malsaine, les acteurs sont au diapason. Et c'est surtout un film où David Fincher se révèle sur grand écran. C'était et ça reste une très grosses claque. Ne retenir que l'identité du tueur, c'est passé à côté de 90% du film. Seven, c'est un très grand film dont le twist final est la cerise sur le gâteau.



Ha ben tiens, c'est le remake d'un film indé américain, Your sister's sister. Qui est lui du coup, un film plutôt sympa, qui rendre parfaitement dans la catégorie film pour Sundance.
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Les goûts et les couleurs...

J'avoue que le twist de fin de Seven m'a laissé complètement froid.
Je me rappelle encore, je l'avais vu avec mon oncle, et il disait "finalement, le méchant a gagné". Et moi, derrière : "Bah non, il s'en fout, il est mort".
Enfin bref, j'ai pas trouvé mauvais, mais je m'attendais à mieux quand même, surtout vu tout le foin que ça avait fait (je l'avais vu dans les années 90 à la télé, il était diffusé en première partie de soirée et je me rappelle qu'il y avait eu une polémique à cause de sa diffusion).

Par contre, pour Le Silence des Agneaux, j'avoue ne pas avoir compris le succès du film. Il ne se passe absolument rien pendant les 3 quarts du film, et le dernier quart se concentre sur un meurtrier qui n'est pas apparu de tout le film.


Je ne pisse pas sur les totems, juste qu'il y a certains totems que j'apprécie et d'autres non (comme tout le monde je pense).

Tu plaisantes ? Tout le film tourne autour de l'enquête sur Buffallo Bill et il apparait dès le début via le kidnapping. Pendant tout le film tu vois ce qu'il fait en paralelle a la recherche des force de police. Ce paralelle est d'ailleurs acru lorsque qu'il est apparement identifier.
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Seven, ça n'a pas pris une ride.
Je trouve que son discours pessimiste fait encore plus écho aujourd'hui qu'à l'époque (tous les dialogues entre Mills et Sommerset sur l'état de la société sont brillants).

J'avais lu dans je ne sais plus quelle interview que le script original était encore plus pessimiste. Devant la noirceur du tableau, les studios ont pris peur et ont demandé au scénariste d'intégrer un peu plus d'action et notamment la scène de poursuite (dont Fincher ne voulait absolument pas).

Seven a influencé, en termes de mise en scène, d'ambiance, de décors et de photo, la plupart des thrillers qui sont sortis dans les dix années suivantes, sans qu'aucun d'entre eux ne s'avère meilleur au final. Rien que pour ça difficile de nier son importance. Le Silence des Agneaux avait lancé 5 ans avant une vague de films américains à base de serial-killers, assez gore et violents mais tournés avec de gros moyens et des stars, et Seven a en quelque sorte conclu le truc avec une sorte de modèle définitif de ce genre de film, où le tueur en question n'est pas une personne mais plutôt l'incarnation d'une vision du monde.

L'idée de ne pas mentionner au générique l'acteur qui joue le tueur s'imposait car ce même acteur avait joué l'année précédente dans Usual Suspect un rôle très similaire (le type qui ne paie pas de mine mais dont on apprend soudain qu'il est le super-méchant que le film s'est ingénié à rendre terrifiant pendant une heure et demi en nous montrant les conséquences de ses actes). Si le spectateur avait su qu'il était au casting, il aurait tout de suite deviné que John Doe c'est lui et aurait imaginé la suite du film au lieu de se projeter dans ce qui était montré sur le moment, et l'histoire aurait moins bien fonctionné. Tout ça peut paraître sans intérêt aujourd'hui mais dans le contexte particulier du cinéma d'il y a 20 ans, avec un Internet encore balbutiant donc pas trop de spoilers avant la sortie vidéo des films, c'était une manipulation très efficace du public.

Quant au choix de Kevin Spacey, il n'y a pas à y revenir, il est parfait, oui ça lui fait deux fois le même rôle mais dans des films très différents et aussi bien écrit l'un que l'autre. En fait c'est même trois fois le même rôle, car un autre film existe, Swimming with Sharks, auquel Seven a piqué pas mal d'idées (et il n'est pas le seul). Si vous avez l'occasion de le voir faites-le parce que c'est pas mal du tout. On y voit un jeune employé d'un studio de cinéma séquestrer et torturer son supérieur (joué par Spacey) au domicile de ce dernier, et pendant tout le film des flashes-back racontent que ce producteur, en fait, le harcèle au travail depuis deux ans, dans des proportions inimaginables. Ce film avait pour but de dénoncer le fonctionnement interne des studios hollywoodiens de l'époque, et l'industrie n'a pas apprécié semble-t-il car depuis, le réalisateur ne travaille que pour la télé.


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D'accord avec tout ce qu'a dit Lolo sur Seven et un autre film dont nous tairons le nom mais dont nos enfants viendront nous dire un jour qu'il est pourri. Et également sur le Silence des Agneaux. Ce sont des films tellement énormes qu'ils ont littéralement tué leur genre et ont condamné les suiveurs à les imiter pour se faire leur beurre dessus.
Qu'on le veuille ou non, c'est culte. A l'instar de Pulp Fiction, ce qui m'amène à Tarantino dont j'ai vu le dernier film la semaine dernière, Les Huits Salopards.

Déjà, j'ai lu beaucoup de critiques sur la longueur du film. Je n'ai pas vu le temps passer, alors que j'avais envie de casser ma télé dès l'intro d'Inglorious Basterds. J'ai vu le film en VOST, et ça joue tellement sur les accents, les variations de ton et de voix qu'effectivement, je conçois que ça puisse être chiant et plat en français (à moins qu'ils aient fait parler les sudistes comme des habitants de la région PACA...).

Les acteurs sont excellents, à par Tim Roth dont le rôle est vraiment mal branlé en clone de Christopher Waltz.
Et Christopher Waltz, c'est comme les séries ZZZ, les Onisuka Tiger jaune, les vinyles, les casquettes Kangol, les coupes de cheveux, les dialogues de films sur les bandes originales, Misirlou, le Pussy Wagon. C'est des trucs tarantinesques sympathiques à la base, mais qui sont devenus des gimmicks d'un chiant abyssal une fois que les hipsters et les beaufs se les sont réappropriés et t'en font bouffer à toutes les sauces.
Mention spéciale à Walton Goggins, l'éternel Shane "fils de pute" Vendrel de The Shield.

Le film s'inspire vraiment de The Thing de John Carpenter : Kurt Russel + huis clos forcé par la neige + mensonges et paranoïa + musique d'Ennio Morricone (qui a réutilisé une piste de la BO de The thing). Sauf que malheureusement, s'il est au top niveau montée en pression et mystère, la façon dont ça se conclut m'a déçu. Même si c'est parfait pris individuellement, je me suis dit "tout ça pour ça".
C'est très chaud de vouloir passer après The Thing.


Avec le recul, je crois avoir vraiment un problème avec Tarantino depuis Kill Bill, même si j'ai apprécié la plupart de ses films, hormis Le Boulevard de la Mort et Inglorious Basterds. Si je devais faire une tier list de ses films et scénarios ça serait :



S
Pulp Fiction

A
Reservoir Dogs
Tueurs-Nés
True Romance

B
Jackie Brown
Django Unchained
Une Nuit En Enfer

C
The Hateful Eight
Kill Bill vol. 2
Kill Bill vol. 1

D
Inglorious Basterds
Le Boulevard de la Mort



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Pareil. Non seulement je l'avais vu venir, mais en plus le jeu d'acteur de Brad Pitt sur cette scène est nul de chez nul et désamorce tout.

Ptèt que ça vient du fait que c'est pas vraiment un twist, dans la mesure où l'intrigue ne repose pas sur cette révélation, non ? J'ai toujours vu ça comme le dernier coup de pinceau, le truc qui te dit bien que "noir c'est noir, ya pu d'espoir ma bonne dame".
Après, j'ai découvert le film en connaissant déjà la fin, donc ces considérations me sont passées au dessus.

Pour le coup, dans Fight Club, ya un vrai twist.
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Après ça dépends de quel moment on parle...

Le contenu de la boite ?.