Ce n'est pas un twist, ou sinon tout rebondissement l'est: le contenu de l'Arche d'Alliance, c'est un twist, que les potes de ET reviennent le chercher, c'est un twist, Willy le Borgne est mort, c'est un twist, etc. Un twist remet en question tout le film, là ce n'est pas le cas.

Patience les enfants, le Faiseur de Pluie va passer nous expliquer ce qu'est un twisque.

wai mais c'est ca le truc, il apparait tres peu dans le film. Ok il a un petit role, mais on doit le croiser 2-3 fois dans le film grand max, du coup sa révélation m'a parut arriver comme un cheveu sur la soupe.
Genre tiens c'est lui le tueur, mais en fait on s'en fout c'est pour ca qu'on en a jamais parlé avant ... dans un sens c'est normal vu que l'interet n'est pas sur l'identité du tueur mais sur brat pitt, mais bon ...
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gregoire01 : ok désolé, bon ben ce film m'a laissé encore moins de souvenirs que je ne le croyais Enfin faudrait que je le rematte depuis le temps (ainsi que Seven d'ailleurs) pour voir si mes sentiments ont changé depuis.

Esteban : pour la petite histoire, Chuck Palahniuk (l'auteur du bouquin original de "Fight Club" dont le film est basé) a eu l'idée de ce twist au tout dernier moment de l'écriture de son bouquin.
En tous cas, même en sachant en avance ce twist (que l'on m'a spoilé en me disant "il ne faut pas que je te le dise, mais..."), ce film a été l'une de mes plus grosses claques dans la gueule.
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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

C'est fou de se dire qu'il a failli écrire son roman en "omettant" ce qui en fait la singularité. Comme si, en fait, Dark Vador, ben c'était pas le père de Luke.

J'ai toujours vu ce film comme le prolongement de Se7en, avec son ambiance poisseuse, ses tons verdâtres, son nihilisme. Le tout en moins accessible que Se7en qui était susceptible de cartonner chez les ados avec son côté mystique et horreur.

Je serais toi, je redonnerai une chance à Se7en (si possible avec une jolie édition Bluray) en laissant de côté tout ce qui pourrait paraître astucieux (c'était pas le but). En bon fan de Fight Club, tu t'amuseras à chercher une image subliminale à la fin, pis à mater les tous petits détails gore.
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id PSN : mode7_13

Oui, sauf qu'hélas de vrais fight-clubs ont lieu aux USA, je suis tombé là dessus par hasard sur Youtube une fois. Ca semblait pas du tout underground et les commentaires de la vidéo n'étaient pas négatifs. J'ai aussi vu une fois, dans la rue, une bande de mecs se donner chacun son tour, dans une atmosphère parfaitement détendue, des coups de poing dont le bruit portait à une bonne quinzaine de mètres.
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les combats de rues ca existe depuis toujours en fait, meme si y'a l'ufc tout ca, ca existe toujours
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Non il te parlera d'un Raie d'Aire

Je pense que Laurent parle de fight clubs, pas de street fight

C'est assez différent.

Pour les streets fights, bien sur que ça existe, et même en France. C'est pas parce qu'il y a la ligue des champions en foot, qu'il n'y a pas de tournois de foot complètement en marge des structures (les conséquences ne sont en revanche pas les mêmes). Il y a même eu la semaine passée un combat au Bellator entre Kimbo Slice et Dada 5000 (je vous laisse chercher).

Je pense que Laurent parle d'autre chose ?

En fait, on ne le croise pas vraiment vu qu'on ne voit jamais vraiment son visage avant qu'il ne se livre de lui-même au commissariat.
Lorsque Mills l'envoie balader dans les escaliers (quand Doe se fait passer pour un journaliste), si vous regardez bien, on ne voit pas son visage une seule fois. Le mec qui réussit à reconnaître Kevin Spacey à ce moment là est un fieffé menteur !

Merci patron

Ce n'est absolument pas un brûlot ni un pamphlet... c'est dramatiquement drôle et plein de suspens (si, si, du vrai et tout ^^). Une version moderne de l'arroseur arrosé

Allez le voir vraiment, il ne passera jamais à la télé.

Merci Ruffin
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

Sister Act 2 (1993)

Le 1 et le 2 font partie des films de ma jeunesse. Comment vais-je les voir 25 ans plus tard avec mes yeux d'adulte ?
Le 1 je ne sais pas (pas encore revu), mais je me rappelle que je l'avais préféré au second.
Le 2 donc... mitigé.
Contrairement au premier, Sister Act 2 n'est plus une comédie policière, mais une comédie musicale.

D'ailleurs, 2 jeunes gens font leurs débuts dans ce film :


Eh oui, c'est bien Lauryn Hill des Fugees. Peu connue encore à l'époque du film, elle fera véritablement carrière 3 ans plus tard, en 1996, avec l'album "The Score" des Fugees. Elle tient l'un des rôles principaux dans ce film.


Jennifer Love Hewitt, elle aussi absolument pas connue à l'époque du film. Dans Sister Act 2, elle tient un rôle (très) secondaire.

Bref, le film se laisse voir, mais dommage qu'il soit autant convenu.
Whoopi est professeur de musique et doit s'occuper d'une classe à problèmes. Elle va donc essayer d'apprendre à ses élèves l'art de la musique. Mais pas n'imprte quelle musique : rap, rock, groove...
Entre temps, le collège a des dettes de plus en plus nombreuses, et un homme d'affaires corrompu veut le fermer pour y construire un parking.
Contre toute attente, après des péripéties, le collège participera à un concours de chorale. Devinez si les élèves vont réussir à remporter ce concours... (le pire, c'est qu'il y a une tonne de suspense dessus dans ce film)
Lauryn Hill joue le rôle d'une collégienne mal dans sa peau, avec une mère qui lui dit que chanter ne sert à rien et que les études passent avant tout. Elle va être la plus turbulente des élèves de Whoopi au début.

Bref, comme toute comédie musicale, ça met de bonne humeur (et c'est pas trop niais ni moralisateur pour une fois), mais ça reste là.




La Voie Lactée (1936)

Aussi appelé "Soupe au lait".
Le film raconte l'histoire d'un modeste livreur de lait, moqué par ses collègues et son patron de ses faibles résultats. Un soir, sa soeur se fait harceler par 2 individus bourrés. Il vient à sa rescousse. Mais la soeur, craignant pour son frère, va aller chercher un policier. Quand ils arrivent sur les lieux, ils découvrent l'un des 2 harceleurs KO. Harceleur qui n'est autre qu'un champion de boxe réputé. Bien sur, le modeste livreur de lait n'y est pour rien.
Bien vite, la presse s'empare de l'affaire. Après plusieurs péripéties, le coach du boxeur KO n'a plus d'autre solution que de proposer au livreur de lait un contrat. Jugeant bien vite que le livreur de lait ne connaît rien à la bagarre mais plutôt à l'esquive des coups, il truquera les matchs sans en avertir le livreur de lait.
Celui-ci, devenu grand champion sans connaître la supercherie, commence à avoir la grosse tête.
Mais arrive bien vite le match de revanche entre l'ancien boxeur mis KO (devenu depuis peu le petit ami de la soeur du laitier) et le laitier lui-même.

Bon, ce n'est pas du tout un chef d'oeuvre. Les personnages sont caricaturaux au possible. Le rebondissement de fin pour que le film se termine par un happy end est tiré par les cheveux. Reste l'inteprétation toujours irréprochable d'Harold Lloyd, et quelques passages sympathiques, burlesques et cocasses.
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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

youhou



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Il était diffusé gratuitement en plein air dans une Nuit Debout de ma ville, ce qui tombe bien vu les louanges de mon entourage pour ce film.
Au début, j'ai eu un peu peur : peur que ça tombe dans le pathos.
Mais absolument pas : comme l'a écrit JiPé, c'est dramatiquement drôle. C'est tourné en dérision tout au long du film, et franchement j'ai bien aimé.
Gros éclats de rire dans le public pour le barbeuq' avec la CGT et le journal Fakir, et aussi pour le représentant de Bernard Arnault qui avait peur des magnétos ^^

Pour les connoisseurs, ça me fait un peu penser aux documentaires de l'excellent Pierre Carles (que je vous recommande plus particulièrement).

Bref, drôle, moins politisé que je ne le croyais, et pour une fois que les grands sont tournés au ridicule ça fait du bien ^^
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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

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Au nom du père (1994)


En 1975, Gerry Conlon, jeune délinquant originaire de Belfast, est arrêté par la police londonienne qui l'accuse d'être l'instigateur des attentats terroristes à Guildford pour le compte de l'IRA. Sous la pression des policiers, Gerry signe des aveux fabriqués de toutes pièces qui non seulement le mettent en cause mais également Paul Hill son ami d'enfance, un couple d'amis hippies, ainsi que plusieurs membres de sa famille dont son propre père.

Bah pour moi, ça a été la grosse claque dans sa gueule. Film engagé contre le fanatisme politique et le système judiciaire, plaidoyer sur la condition irlandaise au Royaume-Uni, "Au nom du père" réussit son pari : d'une puissance émotionnelle conséquente, il arrive toutefois à ne pas sombrer dans le larmoyant et la guimauve. C'est un film très intense, emmené par la rage de vivre du magistral Daniel Day-Lewis dans le rôle principal et du regretté Pete Postlewhaite qui joue le père.
Ce qui fait froid dans le dos, c'est que c'est tiré d'une histoire vraie.
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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

Bon allez on reprend les bonnes habitudes

The secret
https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Secret_(film,_2012)
Bon pour faire court : j’ai rien compris à ce film. Ca commence plutôt mollement avec une histoire d’infirmière qui devient médécin d’un patelin paumé à la suite de la mort de son mari, et puis d’un coup y’a un twist bizarre et le film part total en sucette.
J’ai passé le reste du film à essayer de comprendre si c’est un vrai twist ou juste un rebondissement pourri, et en fait oui LA révélation est vraie et donc le film devient totalement illogique. On comprend plus rien y’a plus de cohérence avec le début, et plus on avance dans le film et moins c’est cohérent. On fini avec une conclusion foireuse qui au final n’explique.
Pourquoi, comment, c’est quoi l’interet ? aucune idée on ne saurait jamais … super.
A eviter


comment tuer son boss 2 : suite direct du 1er.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Comment_tuer_son_boss_2
On reprend la même logique : 3 gars qui montent un plan foireux pour solutionner leur problemes, sauf que cette fois ce sont eux les chefs, et ils veulent pas tuer quelqu’un mais l’enlever….. bon apres y’a pas trop de surprise, l’enlevé va rapidement leur poser souci mais pas dans le sens où on l’entend. Le 1 était sympathique, surtout sauvé par jennifer aniston, le 2 c’est un peu pareil sauf que le film est assez chiant.
Moyennnasse voire moins, il aura du mal à vous faire arracher un rire ou même un sourire. Bon après c’est pas forcément un navet mais bon l’humour tombe souvent à plat et les auteurs ont eu du mal à relancer le « concept »
C’est typiquement le genre de film sur lequel tu tombes au pif et sur lequel tu vas rester mais de là à l’acheter ou poser un rtt pour le voir…..


Project x
https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet_X_(film,_2012)
Celui là c’est le genre de film qui aurait pu me plaire : des jeunes trouducs, des fetes etudiantes …. Ca avait l’ait d’etre propice au délire genre american pie en moins caricatural et en fait non. D’ailleurs j’ai pas vu babysiter mais vu les bandes annonces que j’ai pu voir, ça là l’air d’être un c/c de ce film…
Donc en gros l’histoire c’est des jeunes qui organisent une fete d’annif pour un pote en esperant se depuceller au passage, sauf que ca dérape et que plein de gens s’inscrustent. Et c’est là que le bat blesse, ca décolle jamais vraiment. Pas de gros delire, de baston ou autre. Ca part en sucette que vers la fin, et encore ca reste plutôt gentillet… Je m’attendias à un truc bien délire un peu dans le genre Calfornication ou American pie, et en fait non, c’est limite une fete normale comme on pourrait en connaitre (sauf la fin evidemment ).
Bon j’ai été etonné, on voit pleins de nichons, c’est super etonnant pour un film us, mais à part ça …..
La fin surtout est très décevante. Je vous la spoile un peu mais en gros c’est un happy ending qui a totalement aucune logique ….. donc au final bof bof, au pire je tenterai babysitter qui à l’air plus délirant, mais celui là est vraiment bof

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Deux avis rapidement :

Money Monster, de Jodie Foster avec Georges Clooney et Julia Roberts : l'animateur d'une émission quotidienne sur la bourse, dans laquelle il donne des conseils d'investissement façon grand guignol est pris en otage en plein direct par un gars qui a perdu toutes ses économies en suivant ses conseils. Le forcené lui met un gilet explosif, et exige de rester en direct.

Un bon film, certes qui enfonce un peu des portes ouvertes (la finance moderne c'est pas bien, etc.) mais n'oublie pas de remettre chacun à sa place dans le système régulièrement. Surtout le scénario est assez béton et va dans une direction qu'on n'attend pas forcément (je conseille cependant d'éviter la bande-annonce), ce qui en fait finalement un bon polar. Bien joué, bien filmé (Jodie Foster n'est pas un manche et sais doser ses effets), le film est maîtrisé de bout en bout. Pas révolutionnaire pour un sou, mais assez efficace.



The Nice Guys de Shane Black avec Russel Crowe, Ryan Gosling et Angourie Rice (c'est son vrai prénom) : dans les 70's, deux détectives privés au rabais, un bourrin sur le retour un un loser un peu arnaqueur, font équipe pour retrouver une jeune femme qui a trainé dans le milieu du porno.

Une comédie policière rigolote et agréable, surtout grâce à Ryan Gosling qui, après son rôle de trou du cul prétentieux dans The Big Short, montre à nouveau qu'il a décidément un sacré potentiel comique. Russel Crowe est plus en retrait, mais la fille de Gosling (Angourie, donc), est excellente elle aussi. La grosse force du film, ce sont ses personnages bien caractérisés non pas forcément par des dialogues, mais par leurs actions, même les plus insignifiantes. Et puis j'adore les 70's, donc c'est tout bénef. De la bonne came.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

J'ai vu hier soir sur Ciné+ Classic L'Atalante, de Jean Vigo.

S ivous ne pensiez pas tomber terrassé par un film français de 1934, longtemps conidéré comme perdu, voyez l'Atalante et comme moi tombez sur le cul!



Tombons tous sur le cul avec cette histoire de gentille fille de village qui épouse un marinier pour enfin changer d'horizon, et se retrouve au milieu d'une petite troupe emmenée par un Michel Simon IM-PÉ-RIAL totalement fantasque qui a avant cela parcouru les sept mers. Tombons sur le cul devant ces plans qui vont vous rappeler les gags visuels de Jean-Pierre Jeunet (le disque sous les doigts de Miche Simon!!!!!), de Kusturica (la noce et le bal musette) ou Resident Evil (la découverte de la cabine de la péniche avec une caméra à la verticale)...



Visuellement c'est sublime, le jeu confondant de naturel des acteurs est époustouflant, les décors qui vous font voyager dans la France péri-péri urbaine des 30's avec ses gares de triage et ses usines qui fument très noir sont à eux seuls une raison suffisante pour voir ce film, tout comme la découverte de Paris par Juliette qui n'en voit que le bassin de la Villette, et le canal St-Martin (avant de s'enfuir de la péniche pour en voir plus...). Je vous jure, j'étais totalement abasourdi par la modernité de ce chef d’œuvre absolu, sans temps mort, audacieux, drôle... et parfois assez osé (d'ailleurs une des raisons de l'échec du film à l'époque est que la censure en a enlevé 19 minutes).



Le genre de découvertes que l'on vit rarement. Franchement il faut le découvrir si vous ne le connaissez pas.

PS: Gros délire avec les chats sur la péciche


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... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

Yop, je viens enfin de voir Délivrance (1972).



Depuis le temps qu'on me conseillait ce film.
J'ai bien aimé dans l'ensemble, mais à vrai dire, pour un film qui a lancé la mode du survival (un cache-cache entre des gens veulent tuer/faire touche-pipi/cracher dans le Yop et d'autres gens, la plupart du temps en pleine nature), je m'attendais vraiment à autre chose. Vu que c'est un film culte, je m'attendais quand même à un truc super bourrin et super sanglant. Hors, ce n'est absolument pas le cas.

Sinon, une petite question qui mérite un spoil pour voir si j'ai bien pigé :
donc en fait, si j'ai bien pigé, il n'y a "que" la scène du viol où les gens sont en danger avec les autochtones. Ils ont pris le chasseur sur la colline pour le violeur qui s'est barré, alors que ce n'était pas le cas et que c'était un chasseur quelconque (le gendre ou un truc comme ça du shériff).

Même si, en effet, la première heure du film fait penser à "Chasse et pêche" en version longue, les décors sont très dépaysants. J'avais fait du canoë dans une colonie de vacances il y a très très longtemps, ça m'a rappelé cette période ^^ Je trouve aussi les persos charismatiques, entre le mec qui se la pète, le petit gros pas bien dans sa peau, le poète et le mec avec des gosses qui ne se décide jamais.

Grosse impression de malaise au début (la dualité citadins/"bouseux"). Le passage duel avec le banjo est vraiment très bien foutu.

Bref je m'attendais à toute autre chose, je comprends les critiques qui trouvent ça long et lent, mais bonne surprise pour ma part.
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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.