Sur le moment le gars ne savait peut-être pas quoi dire pour apaiser Angier tout en couvrant son secret, ou alors il était bouleversé d'avoir été responsable de la mort de Julia et n'avait pas l'envie ou la force de mentir, et mentir par la suite c'était trop tard, Angier aurait eu des soupçons si les jumeaux inventaient un mensonge après coup. À ce moment personne ne pouvait anticiper que ça dégénèrerait à ce point au fil du temps. Ou alors, le script veut tout simplement générer la situation parce que la rivalité et le drame sont toujours plus puissants quand ils proviennent d'un malentendu. Moi ça ne m'a pas choqué.
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J'assume… pleinement… la responsabilité de cet échec… et j'en tire toutes les conclusions… en me retirant de la vie des formats vidéo, juste après la fin de cette génération.

Mon lecteur acheté 12 € en soldes après la mort du format, et ses films à tarif ridicule, font ma joie depuis 10 ans.


Ça m'a percuté après le flim, une fois qu'on sait on repense aux éléments clés. Pendant ça passe très bien, effectivement il était retourné par l'accident.

Je parie que TOUS les gens qui liront ton post ont vu ce film et que 95% d'entre eux l'aiment.

Pour info : http://www.imdb.com/chart/top?ref_=ft_250

Cette page indique que sur IMDB, le plus ancien site de cinéma du web, Les Evadés est classé no1 aussi bien sur les notes attribuées par les utilisateurs que sur le nombre d'évaluations reçues. C'est le film préféré de l'humanité.
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Pas vu, mais j'ai vu la Ligne Verte (que j'ai bien aimé), avec lequel je l'ai toujours confondu. J'étais persuadé que The Shawshank Redemption était un autre nom pour ce film tellement ils ont un pitch voisin (et le même auteur).
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Voisin oO ? Pas du tout ça se passe en prison c'est tout. La ligne verte c'est du fantastique.


@Lolo, tu sais y'a toujours des esprits chagrins. Surtout que le film a connu un succès après coup comme plein de films cultes...

Edit: bon vu la liste d'imbd par exemple dans le top 50 j'en garde .... 10 grand max. Surtout que y'a pas mal de films que je deteste.
Shihiro j'aime bien, mais il est très très loin de Totoro. Nikita est 1000x mieux que Leon.
Les LOTR sont bien sans plus, les parrain j'aime pas.
En plus y'a ni conan ni akira dans le top.
Un jour sans fin est torp loin etc.... bon après les gouts et les couleurs
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Les Evadés (quel titre français idiot) fait partie des quelques films que je regarde systématiquement en entier quand je tombe dessus, et je crois effectivement ne connaître personne qui ne l'aime pas.

Et en plus c'est une bonne adaptation de la nouvelle de King.

(Stand by Me, avec River Phoenix qui crève l'écran, mai Un Elève Doué est assez nul. Bizarrement personne n'a adapté la 4è nouvelle du recueil, La Méthode Respiratoire, on se demande pourquoi )

Spoiler : ça se termine par l'accouchement d'une femme décapitée.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Il y a pourtant 10x plus de contenu que dans The Lawnmower Man.

Les 2 films même auteur (stephen King) et même réal (Frank Darabont), sans compter la période et l'ésthétique, les film ont énormément de point commun. Et pas seulement sur le fait que ça se passe en prison on y retrouve des thématique similaire (notament la culpabilité, la rédemption...).

et j'adore les deux




Tout a fait d'accord, après ma mère ça ne l'a pas géné car elle voyait plutôt l'évasion spirituel des détenus, mais ça reste un titre de merde.

On a parfois un jolie dons pour faire des titre de merde.

Vous pouvez aller voir 3 billboards les yeux fermés (sauf pendant le film ), c'est un drame se déroulant dans une petite ville du Missouri où une mère cherche la vérité sur le meurtre de sa fille en mettant la police devant son incapacité à retrouver le meurtrier. (j'en dis vraiment le minimum)

Le scénario est très surprenant et le casting excellent (Frances McDormand, Woody Harrelson, Sam Rockwell etc...).
Le réalisateur Martin McDonagh avait déjà sorti "bons baisers de Bruges" et le plutôt pas mal "Seven psychopaths", en tout cas à chaque fois il arrive à réunir de très bons acteurs autour de ses projets qui sortent de l'ordinaire.

Non. À part le lieu et l'époque. Vraiment pas. Empresse-toi de le regarder c'est du très bon. Et Tim Robbins y est aussi bon que dans l'Echelle de Jacob.

Bah si, comme le dit Grégoire. Le pitch, ça n'est pas le scénario, ce sont les très grandes lignes.
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Même les deux pitchs n'ont rien à voir. Le seul point commun est que ça se passe en prison.

Les Evadés : Maine, États-Unis, 1947. Andy Dufresne, un jeune banquier, est condamné à la prison à perpétuité pour le meurtre de sa femme ainsi que celui de son amant. Incarcéré à la prison de Shawshank, il va faire la rencontre de Red…

La ligne verte : Incarcéré, car jugé coupable du meurtre de deux petites filles, John Coffey n’est pourtant pas un détenu comme les autres. Très doux, il détient un pouvoir extraordinaire dont il ne tarde pas à faire la démonstration à Paul, un gardien de prison, et à ses collègues.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Ça c'est les scénarios.

Dans les deux cas, on a le même auteur et le même réalisateur, l'intrigue se passe autour des années 40 et tu as un mec blanc (Hank/Robbins, qui ont la même dégaine) qui fait la rencontre d'un mec noir en prison, ce dernier étant quelqu'un de bien avec qui le héros va se lier d'amitié, alors que la prison est dirigée par un psychopathe qui maltraite les détenus.

Quand tu as des souvenirs assez flous d'un des deux films que tu as vu et que tu n'as pas vu l'autre, il est logique de se demander: "hm, j'ai pas déjà vu ça?" en parcourant un résumé, même si les films n'ont rien à voir dans le détail.

Vous n'allez pas m'enquiquiner pour ça, si? De très grandes lignes voisines, ça n'est pas "c'est le même film".
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Plus loin, il a été dit beaucoup de mal de différents acteurs de comédie américain, dont Ben Stiller. Je ne poursuivrais pas, mais je ne suis pas d'accord. La comédie américaine est avant tout basée sur l'idée du corps, héritée du burlesque mais sans jamais l'assumer, tandis que, disons, la comédie française, est centrée sur l'intimité. Je ne supporte plus les comédies françaises qui me parlent de tromperies, tandis que je pardonnerais plus volontiers une blague pipi-caca.

(Mince, j'ai poursuivi, et grossi les traits à la loupe déformante)

Ceci étant dit, même s'il est un peu tard pour le faire, je voudrais parler de Jumanji, le dernier, celui de fin 2017.

Je suis étonné que personne n'en ait parlé, puisqu'il transpose ses personnages dans un jeu vidéo.

Alors, comme beaucoup de monde, j'ai eu peur (et heureusement que je n'ai pas vu la filmographie du réalisateur avant, beaucoup de ses films m'avaient laissé froid, pour ne pas dire pire : Bad Teacher, Sex Tape, outch). Mais j'ai revu l'original récemment (qui adaptait un livre, ne l'oublions pas), et j'ai une tendresse particulière pour Dwayne Johnson, pardon Rainmaker : The Rock depuis que je l'ai vu dans No Mercy no pain.

Dans ce film, différents adolescents sont projetés dans le monde de Jumanji, qui, pour s'adapter à son public et évidemment les faire souffrir, les a transformé en personnages de jeu vidéo.

Sans qu'il n'agisse de véritable réflexion sur le média, ses codes sont pourtant repris et même moqués. Comme la Lara Croft du jeu, qui se demande comment on peut être une vraie aventurière avec de tels habits, le concept de vies et comment elles nous permettent d'avancer ou ces PNJ qui ne remplissent que leur fonction, informer.

Le magazine JV l'a noté dans son dernier numéro, je leur reprends l'idée : que des adolescents soient incarnés dans des personnages adultes est aussi une métaphore du passage à l'age adulte, par le corps mais aussi en s'acceptant et en avancant.

Au delà ce cet aspect, Jumanji est un bon divertissement, avec suffisamment d'aventure et quelques bons gags. Le clin d'oeil au premier est discret, mais pose aussi des questions sur comment fonctionne Jumanji.

Je n'en attendais rien, j'ai été agréablement surpris, selon la formule habituelle.



Merci de me rappeler que 3 billboards est de Martin McDonagh, tant j'avais adoré Bons baisers de Bruges et 7 Psychopath. J'allais l'éviter poliment, j'irais peut-être le voir.

Je n'ai pas vu Les évadés, si je suis le seul de ce post à avoir lu le post de Rainmaker sans avoir vu le film.

Rrrr, j'ai beaucoup aimé, pour son côté absurde, et ses quelques répliques. Je me souviens bien qu'à sa sortie il avait fortement déplu, et pourtant, depuis, j'ai croisé bon nombre de gens adorant le film. Combien de fois j'ai entendu en public "il va faire tout noir..." sans que personne ne demande la référence. Je pensais qu'il avait acquis son statut de film culte, mais visiblement quelques irréductibles grospixeliens ne seraient pas d'accord avec cette assertion.

Les goûts et les couleurs.

(Ce post concentre beaucoup trop de directions différentes)
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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

Non.

Mais regarde le ce flim !

Avec plaisir, j'avais beaucoup aimé l'autre, et même si je ne l'ai pas dit, ton post m'a convaincu !

Tu m'as aussi rappelé que je n'ai toujours pas vu l'échelle de Jacob alors qu'il traîne sur mon disque dur.
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L'echelle est sympa mais le revoir après avoir vu plein de films qui reprennent son twist, ça l'affaibli du coup
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Et c'est presque mérité (parce que le meilleur film de l humanité c'est un jour sans fin )
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Non, c'est le pitch.



M'enfin bon, mate le et c'est tout.
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