Félicitations Seb !

N'hésitez pas à remettre le couvert une seconde fois aussi


Au fait, quel prénom porte désormais votre petit prince ?
_________________

Ca fait un moment que je n'avais pas félicité Seb pour ce topic, j'en profite donc pour doubler mes félicitations de celles, de circonstance, accompagnant l'arrivée d'un petit bout de chou.

Bon courage pour les premières semaines et profite de chaque instant, ça passe tellement vite !

Toutes mes félicitations à toi et à la maman.
_________________

Sur SensCritique
Moi, je(u video)

Félicitation ! et bon courage les premiers mois sont durs, surtout pour le sommeil, pour le reste ca attendra l'adolescence

Felicitation à toi
_________________

Merci à tous pour vos messages. J'irai vous raconter l'histoire de Maxime (car tel est son nom) dans le topic dédié plus tard cette semaine.
@Niloc : tes 2 petits acrobates sont adorables !
@Rudolf & Lyle : je serais curieux d'avoir votre avis sur Live a Live. Certaines histoires sont vraiment très courtes (celle qui se déroule au Far West est de toute façon limitée dans le temps et doit se boucler en quelque chose comme 2 heures maxi en content la vision des cut-scenes), par contre j'ignore totalement ce que raconte la dernière histoire censée réunir tout le monde.

Bon je profite de mon excuse de papa occupé pour vous servir une toute petite présentation ce soir ...


Leading Jockey & Leading Jockey 2
(Carrozzeria - 1994 & 1995)




Ces 2 jeux sont des simulations de course hippiques comme on les aime tous. Sauf qu'ici on "conduit" vraiment son canasson lors de courses représentées en mode 7 à la F-Zero (mais ça va moins vite ...). Il est même possible de jouer à 2 en écran splitté. Mais on ne fait en fait que le diriger de gauche à droite et donner un coup de cravache aux bons moments, l'intérêt de la chose étant de gérer l'endurance de l'animal. Les jeux étant plus ciblés sur la course elle-même que ce qu'il y a autour, on compte peu d'options de type élevage / management comme on avait pu en voir dans d'autres titres. Graphiquement c'est très moche et dépouillé concernant la course et tout juste moyen au niveau des écrans de menus. Quand aux différences entre les 2 titres, eh bien je crois que c'est un jeu dans le jeu de les découvrir tant ils semblent similaires à tous points de vue (réalisation, menus, options ...) !

Avec un peu de retard, félicitations Seb ! D'ailleurs, la lettre L de ton grosblog devrait bientôt t'amener à renouer avec un autre Maxim(e)

Bon, eh bien puisque tu me tends la perche, J ...



Lufia / Estpolis Denki
(Neverland / Taito - 1993)



Ce RPG médiéval-fantastique commence alors que 4 héros se préparent à affronter les "Sinistars", 4 démons apparus depuis une île flottante (miam) dans le ciel et qui font reigner le chaos depuis trop longtemps. On commence donc à jouer avec des personnages très puissants et blindés d'équipements et de sorts dévastateurs. Le donjon est vite plié et les démons capitulent sous les coups des héros. Mais alors que l'île maléfique s'auto-détruit, Maxim le chevalier et sa fiancée la magicienne périssent sans pouvoir savourer leur victoire.
100 ans plus tard, on dirige le descendant de Maxim qui est lui aussi chevalier du roi et qui coule des jours heureux en compagnie de Lufia une mystérieuse jeune fille entrée dans sa vie 9 ans plus tot. Mais toutes les bonnes choses ont une fin : on signale la réapparition de monstres dans le royaume voisin. Le héros part enquêter ...
Lufia est un RPG japonais à la Dragon Quest tout ce qu'il y a de plus classique mais il se situe plutot dans la bonne moyenne grâce à une bonne réalisation (les musiques sont très entrainantes), une interface assez ergonomique et une petite histoire sans originalité mais qui tient bien la route. Cette dernière verse dans un romantisme assez sympathique (au début en tout cas) et parvient à rendre les 2 petits amoureux héros de l'histoire assez attachants. Les combats se déroulent bien entendu de manière aléatoire et au tour par tour et, malheureusement, se révellent vite indigestes tant ils sont nombreux et ne présentent guère d'intérêt (enfin pas plus que les autres jeux du genre).
Pour ceux qui aiment les J-RPG old school pur souche, Lufia est un très bon choix. Tous les ingrédients qui ont fait le succès de Dragon Quest sont là. Pour ceux qui ont fait le tour du genre et qui demandent un peu plus à un J-RPG, mieux vaut sauter cet épisode et passer directement à Lufia 2 ...
MOYEN


Lufia 2 / Estpolis Denki 2
(Neverland / Taito - 1995)



L'histoire de ce deuxième épisode se déroule 100 ans avant celle du premier et raconte donc les exploits de Maxim, celui qui a réussit à vaincre les "Sinistrals" en prélude de Lufia. On évolue donc dans le même monde d'heroic fantasy et au premier abord, on pense être face à un clone de Dragon Quest tout aussi classique en ce qui concerne le déroulement du jeu. Heureusement, ce n'est pas tout à fait le cas. Dans les villes et les villages on doit toujours discuter pour faire avancer l'histoire, et sur la carte du monde, on est toujours soumis aux combats aléatoires (hélas encore une fois fort nombreux) à disputer au tour par tour. Mais c'est à l'intérieur des donjons que le jeu révelle sa bonne idée, pourtant si évidente qu'on se demande pourquoi elle n'a pas été plus exploitée avant (ni depuis ...) : les lieux sont truffés d'enigmes à résoudre de la même façon qu'un Zelda 2D. Le héros doit en effet trouver des interrupteurs, déplacer des blocs ou des statues, tirer avec son arc sur des éléments déclencheurs, couper l'herbe de son épée pour révéler des choses cachées, soulever des objets ... etc ... Et comme dans Zelda, des objets / armes / sorts découverts à certains moments permettent de revenir en arrière dans des donjons déjà visités pour y découvrir encore plus de choses. Des monstres arpentent les couloirs des donjons mais ils sont tous visibles (pas de combats aléatoires) et évitables en leur décochant une flèche qui a le pouvoir de les immobiliser. Ceci permet donc de se concentrer sur les enigmes sans être interrompus par des combats intempestifs. Mais attention cependant, il faudra tout de même se farcir les boss et mieux vaut avoir combattu suffisament avant pour être assez fort quand on arrive face à eux.
En dehors de son trop grand nombre de combats aléatoires en extérieur (tout de même inférieur à celui du 1er jeu), Lufia 2 n'a que des qualités : de bons graphismes très colorés, un design plaisant, de très belles musiques et une petite histoire sympathique, qui verse encore une fois dans le romantisme, qui n'a certes rien d'original mais qui accomplit son boulot afin de guider le joueur et lui donner envie d'aller à l'assaut d'un nouveau donjon.
Cerise sur le gâteau, il y a un "jeu dans le jeu". Un donjon appelé "Ancient Cave" devient accessible à un certain moment du jeu. Ce dernier est un gigantesque labyrinthe qui fonctionne exactement comme un donjon RPG du style des Fushigi no Dungeon qu'on a vu en page 35. Ainsi, les héros se retrouvent niveau 1 en y pénétrant et doivent aller le plus loin possible afin de trouver certains trésors, sans jamais pouvoir sauvegarder et avec un niveau de difficulté assez hardcore car points de vie, de magie, objets et armes sont rare, et il n'est pas possible de combattre autant qu'on veut pour monter en niveau car les monstres cessent à un moment d'apparaitre. Par son mélange subtil entre Dragon Quest et Zelda (et Fushigi no Dungeon), Lufia 2 s'impose sans problème comme l'un des meilleurs RPG de la Snes.
TRES BIEN

@ J : si tu as plus d'infos à apporter à propos du donjon "Ancient Cave", vas-y car je n'ai pas retrouvé ton post ou tu en avais déjà parlé.

PS : je n'ai pas trouvé le topic sur les bébés ...

Ah, je suis content, je trouve que même en peu de lignes, tu as joliment rendu justice à Lufia II et bien noté la vraie progression entre les deux épisodes. Moi qui avais commencé par Lufia II, j'étais tombé de très haut en découvrant par la suite le premier épisode. Mais bon, ce serait difficile d'en vouloir à Neverland d'avoir progressé entre les deux opus !


Il faut dire qu'il était bien caché : je viens de remettre la main dessus dans le topic "Le jeu le plus long" (merci le moteur de recherche sur ce coup-là) !



[...]


La boucle est à présent bouclée


Je viens de faire quelques recherches sur le forum, et j'ai l'impression que les heureux papas créent souvent un topic dédié à cette occasion.

Merci J.



Lethal Enforcer
(Konami - 1993)




Adapté de l'arcade, Lethal Enforcer est un jeu de tir jouable à 2 dans lequel le joueur tire directement sur l'écran à l'aide d'un pistolet fourni avec le jeu à l'époque, ou en déplaçant un viseur à l'aide du joypad (déjà moins amusant ...). Il se déroule dans un environnement urbain qui rappelle les films américains des années 70/80 comme Dirty Harry et on incarne des agents de police envoyés flinguer des cambrioleurs ou des traffiquants de drogue (enfin d'armes sur la version Snes : la drogue c'est tabou sur les consoles de jeu !). L'histoire des jeux de tir a retenu Virtua Cop sorti quelques années plus tard mais a un peu oublié Lethal Enforcer. C'est dommage car ce dernier est très correct dans son genre, que ce soit sur Snes ou en arcade. Les pistolets étaient très précis (plus que le Superscope de Nintendo parait-il), le jeu affiche des graphismes réalisés à partir de photos digitalisées, certes pas très ethétiques par rapport à nos critères actuels, mais lisibles et très acceptables pour l'époque ; et puis comment ne pas succomber au look parfois très kitsch des protagonistes comme ces mafiosis à la coupe de cheveux et à la moustache très "années 80" ? Seule l'animation des ennemis et des civils (ou leur manque d'animation dans la plupart des cas) est ultra-limitée.
L'arme de départ n'a que 6 munitions. On recharge en tirant hors de l'écran avec le pistolet ou avec un bouton au joypad. On peut trouver d'autres armes en chemin. Attention car des civils se promènent un peu partout et les toucher fait perdre une vie. Enfin, on affronte un boss à la fin de chaque niveau. Malheureusement, la difficulté est un peu mal dosée : dans les modes "facile" et "normal", on se balade jusqu'au boss avec un rythme d'apparition des ennemis qui est trop lent. C'est en mode "difficile" qu'on s'amuse vraiment, mais certains passages, surtout contre les boss, sont alors quasi impossibles à passer sans perdre une vie.
Un jeu très sympathique qui s'apprécie aussi en émulation à la souris ou à la Wiimote.
ASSEZ BIEN

Lamborghini : American Challenge
(Titus - 1993)





Dans cet adaptation de Crazy Cars 3 (sorti sur ST et Amiga) qui a choppé une license prestigieuse au passage, on conduit sa Lamborghini lors de courses clandestines pendant lesquelles il est possible de parier afin d'augmenter l'argent donné au vainqueur. La conduite très simpliste nous renvoie directement à l'antique Pole Position de Namco en passant par Lotus Turbo Challenge ou, sur cette même machine, la série des Top Gear. La difficulté du jeu (et son intérêt) consiste à slalommer entre les voitures concurrentes, toutes représentées par des sprites assez larges sur une route de plus en plus étroite. On a accès à des turbo à utiliser au bon moment et il faut réparer et upgrader sa voiture avec l'argent gagné entre chaque course. A noter qu'on ne peut pas se "crasher", on ralentit simplement à chaque choc (et on prend des dégâts qui peuvent par contre mener au game-over prématurément).
Il est possible de jouer à 2 en écran splitté, mais uniquement sur des courses simples, pas pendant le championnat. Lors de certaines courses, il arrive qu'on soit pris en chasse par la police si on passe trop vite devant eux, mais c'est assez rare (ils ne sont pas présents partout) et un petit coup de turbo a vite fait de les semer (ils étaient beaucoup plus collants sur Amiga).
Par rapport aux versions micro, cette adaptation Snes est plus jolie, moins difficile, permet de jouer à 2 en splitté, et propose un étonnant "bonus". En effet si on branche un superscope sur sa Snes (ou qu'on active l'option dans l'émulateur), on accède à un mode spécial ou il est possible de jouer à deux sur une seule voiture, le 2ème joueur étant chargé de tirer sur les concurrents avec la bazooka Nintendo ! Sympathique mais "gadget", ce mode pas n'étant clairement pas aussi interessant que le mode normal.
En résumé, le jeu propose un gameplay sans subtilité mais est amusant. On regrettera cependant le manque de variété des tracés (les décors changent mais les circuits se ressemblent).
ASSEZ BIEN

Tonton Ben nous parle de Crazy Cars 3 ici : http://www.grospixels.com/site/crazycars.php

Lethal enforcer sur SNES ? je suis sur le cul là. En plus la qualité à l'air d'être là. Je suis surtout etonné de voir que le jeu est pas détérioré rapport à la place sur une cartouche.
_________________

Et bien ça donne envie ce Lufia II.

Je ne l ai pas connus à l'époque de la Snes et c'est au début des années 2000 que j' en ai entendu beaucoup de bien par le biais du milieu de l'émulation.
J'avais tenté de m y mette à ces deux épisqodes et en fait je n'avais pas vraiment perséveré et était passé à autre chose.

Donc, dès que je retrouve ma Dingoo -que j' ai égaré-, je me prend la rom et me lance ce bon vieux Lufia II


Merci de vos impresion J et Sebin
_________________

Ah moi j'ai bien aimé ce Lethal Enforcer sur Super NES. Si on peut y jouer avec la Wiimote, je vais sans doute le réessayer. Merci de m'avoir rappelé l'existence de ce jeu

Il me semble logique en ce jour de Pâques de vous présenter un jeu mettant en scène des héros en forme de Pacman (de Pâques-man ... désolé ...)


Light Fantasy
(Tonkinhouse - 1992)




Ce RPG a un système de combat qui ressemble à celui de Emerald Dragon (page 31), à savoir que les affrontement sont aléatoires et au tour par tour mais qu'ils se déroulent sur une carte vue de dessus ou on déplace ses persos de cases en cases avant de leur donner les ordres habituels (attaquer, magie, défendre ...). Pour le reste, on subit toujours l'influence Dragon Quest avec un monde d'heroic-fantasy classique et une interface semblable.
Bien que le jeu soit loin d'être superbe, on appréciera quelques petits efforts au niveau des graphismes. Déjà le design enfantin est assez réussit, avec des persos ayant une bonne bouille toute ronde et des décors colorés. Ensuite, chaque perso rencontré affiche son visage dans une petite fenêtre lors des dialogues (évidemment, nombreux sont les villageois qui partagent la même illustration). Enfin, certaines scènes utilisent des illustrations plus grandes venant s'incruster sur l'écran de jeu. Moins réjouissant : le déplacement du héros est très lent.
N'ayant trouvé aucune information sur le net, j'ignore ce que l'histoire raconte.


Light Fantasy 2
(Tonkinhouse - 1995)




Même interface, même système de combat et même design mignon (avec des graphismes un peu plus réussis, mais ça reste moyen) pour ce deuxième épisode. Surprise : on commence l'aventure en dirigeant un bébé qui doit tenter de survivre après que ses parents aient été tués par des monstres. Heureusement, on est recueillis par une tribue d'êtres ressemblant comme deux gouttes d'eau à Pacman tel qu'il est représenté dans Pacland et dans son dessin-animé ! Que se passe-t-il ensuite ? Dur à dire, tous les textes étant en japonais ... Aucun des 2 Light Fantasy ne dispose d'une traduction pour l'instant.

Ah mais il est quand même vraiment moins joli qu'en arcade. La résolution n'est pas la même, les sprites digitalisées sont super over pixelisés sur SNES alors qu'ils étaient juste pixélisés à mort sur Arcade
Par contre, tout le contenu y est. Mais moi, globalement, j'ai toujours trouvé que les jeux en digits étaient super foireux sur 16 bits...

Ca reste un jeu sympatoche mais je lui préfère un bon terminator.

Tout d'abord, mes félicitations pour l'heureux évenement

Et puis énième coup de chapeau pour ce GrosBlog dont je suit la progression très attentivement, à défaut d'y poster beaucoup ^^° Une exception toutefois en raison de la récente critique sur Live A Live. Je n'ai joué qu'à un seul des scénarios du titre, mais il m'a profondément marqué : il s'agit de celui qui se déroule dans le futur avec une ambiance à la Alien matinée de 2001. Quasiment pas de combats - en fait il n'y en a pas un seul au sens traditionnel - mais avant tout une ambiance extrêmement travaillée qui en ferait presque un jeu d'aventure à la Space Quest. Sans oublier quelques phases de jeux au cachet Horror/Survival...

Merci François



Lester the Unlikely / Odekake Lester
(Visual Concept / DTMC - 1993)



Ce jeu de plate-forme a pour héros un nerd ! Maigrelet à lunettes, poltron et liseur de comics, Lester se retrouve embarqué malgré lui sur un bateau se faisant attaquer par des pirates. Le bateau coule mais Lester se retrouve miraculeusement saint et sauf sur une île déserte : l'aventure commence. On dirige donc notre nerd vu de profil le long de niveaux ou il faut sauter par dessus des pièges, frapper les ennemis rencontrés, pousser des rochers, utiliser des objets ramassés en route et escalader : la palette de mouvements est en fait à peu près la même que celle des héros de Flashback ou de Prince of Persia. Enfin, en théorie. Car user des mouvements même les plus simples à volonté est un vrai défi, le perso étant bien plus empoté (c'est un nerd, n'oubliez pas !) : victime d'une énervante inertie et incapable parfois de toucher une bestiole juste en face de lui, ses sauts sont également imprécis, se déclenchant souvent avec un temps de retard, et son animation n'est vraiment pas au niveau des 2 hits précédemment cités. Même une action aussi simple que ramasser un objet se révellera être une synécure.
Techniquement le jeu est, sans être une horreur non plus, loin d'être remarquable par son design ou son usage des couleurs ou son choix de musiques. Bref, rien qui ne viennent beaucoup motiver le joueur à se battre contre la jouabilité infâme du titre pour avancer dans ses niveaux. Et pourtant, si on fait l'effort, on parvient à trouver un semblant de plaisir ludique à sauter au dessus des précipices dans les cavernes labyrinthiques de l'île, ou à escalader quelques plate-formes. Mais vraiment pas de quoi y passer plus de 5 minutes, d'autant que le level-design semble être aussi bâclé que le reste du jeu.
MEDIOCRE

Essayé une course de Lamborghini - American Challenge, que je ne connaissais pas du tout. A première vue une bonne surprise, un cran au dessus de Top Gear visuellement. C'est plus fluide et plus fin. Par contre, le fait que la voiture ne soit pas toujours exactement au centre de l'écran me gêne pas mal. Il faudra que j'essaie la fameuse version Amiga. Enfin, quand j'arriverai à nouveau à faire tourner WinUAE... Ah et le principe du mode deux joueur m'a bien fait rire.

Lord Monarch
(Falcom / Epoch - 1992)




Adapté du PC japonais, Lord Monarch est un jeu de stratégie et de gestion multi-univers. On choisit ainsi si l'on veut évoluer dans un monde d'heroic-fantasy, dans le japon médiéval, le futur ou bien disputer une guerre opposant des chaines de fast-food ! Dans tous les cas, on se retrouve à contempler une carte sur laquelle on peut zoomer et il est possible de donner des instructions par l'intermédiaire d'un système d'icones. Une fois les ordres transmits, on appuie sur start et les petits personnages du jeu s'animent pour construire, fortifier, aller chercher des vivres, combattre, produire ... etc ... Les textes tout en japonais ne sont pourtant pas trop abondants mais malgré tout je n'ai rien compris à ce jeu. Les décisions qu'on prend à l'aide des icones semblent avoir des conséquences sur le moyen-long terme, et il est donc quasi impossible de tout essayer pour voir à quoi ça sert. Comme tout se déroule en temps réel, et non au tour par tour, on ne sait pas trop si ce qui se passe est la conséquence d'un choix qu'on a effectué sur l'interface ou quelque chose de pré-déterminé par le jeu.
Le soft dispose aussi d'un éditeur de cartes permettant de bâtir ses propres mondes. Les graphismes sont tout petits, à la manière d'un Sim-City, mais beaucoup moins détaillés tandis que les couleurs manquent de nuances et le design est franchement terne. Les musiques en revanche sont rythmées et de bonne qualité.
A noter que la version Megadrive du jeu dispose d'une interface totalement différente et d'un scénario illustré de cinématiques totalement absent ici.