Liberty or Death / Dokuritsu Sensou
(Koei - 1993)




Ce wargame historique signé par Koei, les spécialistes du genre sur 16 bits, se déroule pendant la guerre d'indépendance d'Amérique et permet d'incarner au choix les troupes américaines ou britaniques dans des parties contre le CPU ou un autre joueur humain. Accessible et très fidèle à la réalité historique, son gameplay est plus porté sur la gestion que sur la stratégie. Au tour par tour, chaque joueur prend des décisions : enrôler des soldats, attaquer un état, renforcer les forces maritimes, augmenter les rations de nourritures, gérer le salaire des soldats ... Lorsque des troupes se rencontrent, on passe sur une carte vue de dessus sur laquelle la bataille se déroule. Là encore au tour par tour on dirige ses unités et on choisit quels ennemis attaquer.
Graphiquement peu engageant, comme c'est souvent le cas dans les softs du genre de cet éditeur, le jeu est remarquable pour la façon détaillée avec laquelle il dépeint le contexte de l'époque. Chaque état est représenté, les intérêts internationaux sont également présents avec la présence des forces des autres pays Européens, tel que la France bien sur qui joua un rôle important, et surtout de nombreux personnages historiques sont présents, à commencer par Patrick Henry, alors gouverneur de l'état de Virginie, dont le célèbre discours "la liberté ou la mort" sert de titre au jeu et est cité pendant son introduction.
Bien que les jeux du genre se pratiquent plutot sur PC, si vous aimez les produits de Koei et si cette période de l'histoire vous interesse, je vous recommande chaudement d'essayer ce jeu.
ASSEZ BIEN

Lupin the Third : Densetsu no Hihou wo Oe
(Epoch - 1994)



Tiré d'un manga et d'un anime culte au Japon connu sous le nom de "Edgar de la Cambriole" chez nous (question de droits oblige ...), ce jeu de plate-forme nous met dans la peau du célèbre voleur qui doit secourir la belle (et dangereuse) Fujiko, puis partir en quête d'un trésor. On parcours donc différents niveaux qui sont tous articulés autour d'un lieu fermé divisé en étages (immeuble, puis temples ...) dans lesquels on doit actionner / détruire quelque chose pour libérer un accès vers le niveau suivant. Pour nous mettre des bâtons dans les roues, on y trouve différents pièges comme des trappes, des colonnes de feu sortant du sol, ou des rochers nous tombant sur le crâne. Quelques ennemis sont également présents (toujours des robots semble-t-il). Pour passer ces obstacles, Lupin peut courir, sauter, donner des coups de pied et des coups de poing (sans grand effet) et surtout utiliser quelques armes et gadgets comme un grappin, des chaussures à ressort, des bâtons de dynamite, des flash aveuglant et son fidèle pistolet. Les munitions et certains objets sont en quantité limitée et il faut en trouver dans les niveaux.
Pas trop mal réalisé, le jeu commence très fort avec une intro reprenant le générique du dessin animé (avec la célèbre musique) de superbe manière. On appréciera également les animations du héros (il court comme dans la série ou s'arrête pour fumer une clope quand on ne touche pas au pad). Pour le reste, c'est très décevant. Le level design est sans idées, juste une suite d'obstacles à passer dans des niveaux labyrinthiques, tous endroits visités se ressemblent, les actions à accomplir sont toujours les mêmes, et la difficulté évolue à peine. Bien qu'elle ne soit pas mauvaise, la maniabilité déçoit également, lors de l'utilisation du grappin par exemple. Et enfin, en dehors de l'intro, on est forcé de reconnaitre que les développeurs n'ont rien fait pour exploiter la licence Lupin alors qu'il y avait de quoi faire avec cette bande de joyeux lurons experts en cambriole et aux compétences si variées.
MEDIOCRE (presque moyen si on est fan de la licence ...)

Je n'ai fait que le premier niveau (il y a de nombreuses annees), mais si tous se ressemblent, ca doit etre tres ennuyeux effectivement...
Tout le budget a du passer dans l'intro


"Tiré d'un manga et d'un anime culte au Japon"

J'ai meme envie de dire que c'est THE anime culte au Japon, et a tous ages.
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Lord of the Rings : volume 1
(Interplay - 1994)



Cet action-RPG retrace l'histoire du premier volume du livre référence de l'heroic-fantasy : Le Seigneur des Anneaux, et nous permet de controller le jeune Frodo qui hérite d'un anneau maléfique dont il doit se débarrasser. Sa première quête sera de quitter sa campagne pour aller chercher de l'aide à Rivendell, le pays des Elfes. Mais il faut d'abord trouver des compagnons car voyager seul est trop dangereux. Le fidèle Sam se trouve dans le village mais il ne pourra nous accompagner tant qu'on aura pas retrouvé pour lui les lunettes de son vieux (?). Pippin sera en fait le premier compagnon recrutable une fois qu'on aura tué les loups qui l'empêchent de rentrer au village.
On dirige Frodo vu de dessus et il est possible de frapper avec sa dague, parer, et utiliser un objet. Les compagnons sont (très mal) dirigés par le CPU mais on peut en prendre le controlle en maintenant la touche R. Il faut donc accomplir toute une série de quêtes pour progresser dans l'aventure et trouver de l'équipement et progresser en expérience. Celà passe souvent par une expédition dans des donjons. Le premier est une série de grottes près du village et c'est déjà un labyrinthe complexe dont les salles se ressemblent toutes. Malheureusement aucune carte n'est présente dans le jeu, il va falloir sortir la feuille à petits carreaux ! Mais bonne chance car la disposition des lieux rend l'élaboration d'une carte très difficile. Les donjons sont donc l'un des gros défauts du jeu : ennuyeux, longs et pénibles.
L'autre défaut, c'est la maniabilité pendant les combats. Ces derniers se déroulent en temps réel comme dans un Zelda, mais on est loin de la souplesse de Link avec des persos qui se coincent dans le décor et dont les coups sont lents et imprécis.
Et c'est bien dommage car malgré tout, ce jeu dégage un charme certain. Les graphismes ne sont pas jolis du tout mais parviennent quand même à évoquer le monde du roman. L'ambiance est assurée par des musiques médiévales peu nombreuses mais mélodieuses, et les textes s'affichant à l'écran sont bien écrits et fidèles à l'oeuvre de Tolkien. Une fidélité qu'on retrouve dans le scénario du jeu mais ce dernier aurait du se contenter de suivre celui du livre sans se donner la peine d'ajouter toutes ces mini-quêtes qui dénaturent un peu le monde de Tolkien. Ainsi, il est peu crédible que le fidèle Sam refuse de suivre Frodo tant que ce dernier n'est pas allé retrouver une paire de lunettes au fonds d'une grotte !
Notons pour la rigolade que la cartouche du jeu propose de sauvegarder par un système de password à ... 48 caractères !
Enfin, j'ai lu sur une page web (et une seule) qu'il était possible de jouer à 4 à ce jeu, pour que chaque joueur puisse diriger un compagnon. Pourtant, je n'ai pas réussi à le vérifier par l'émulation (j'ai beau activer d'autres joypads, les héros n'y répondent pas). Si c'était vraiment possible, ça rendrait les combats beaucoup moins pénibles et redonnerait pas mal d'intérêt au jeu.
En définitive, c'est un jeu moyen qui peut éventuellement plaire aux fans de l'oeuvre de Tolkien que les JDR old-school n'éffraient pas trop.
MOYEN (et encore, à condition d'être fan du Seigneur des Anneaux ...)

Tiens je connais ce Lord of the Rings, je l'avais acheté (une fortune) en import américain à l'époque de sa sortie. J'étais gamin, je venais de lire le bouquin et je ne vivais plus que sur la Terre du Milieu. En plus, j'adorais les RPG et les jeux d'aventure.
Et bien malgré ce profil de client idéal, je garde un très mauvais souvenir du jeu. Franchement je ne crois pas qu'il vaille la peine de s'accrocher... Comme Seb l'a remarqué, le jeu parvient à créer une vraie ambiance (bien qu'assez morne dès les débuts des héros). Du coup on est enthousiaste... jusqu'aux premiers combats, et surtout jusqu'à ce qu'on ait passé des heures et des heures (je n'exagère pas) à tourner en rond dans des labyrinthes où il n'y a rien, ni intérêt ni point de repères, en refaisant dix fois la même bataille minable.
Ce jeu a été l'une des mes plus grandes déceptions sur Super Nes et personnellement je ne vois pas qui pourrait y trouver son compte (sans l'avoir fini, ayant été rapidement dégoûté, surtout à l'époque où Gamefaqs n'existait pas). Franchement, gâcher une telle licence...

Salut !
Si je ne me trompe, ce jeu provient directement du monde du PC, d'apres mes souvenirs d'un vieux numero de Joystick qui le presentait et qui en faisait l'eloge (en partie du fait des illustrations presentant l'histoire, en vraies 256 couleurs (yeah!)). Ceci dit je ne l'ai jamais essaye sur cette machine, vu que j'ai teste uniquement la version presentee par Seb, et qui est bien fade (la version SNES, pas Seb, dont je benis le pseudo et la famille jusqu'a la 36eme generation pour l'excellence de ce groblog !!!!).
Ceci dit, peut-etre qu'avec une souris ce jeu s'en porterait mieux ?

Merci pour vos commentaires.

En fait, le jeu PC auquel pense Helraziel (également sorti sur Amiga), bien que également de Interplay, est totalement différent. Il est sorti 4 ans avant et est un pur jeu de role / aventure sans phases d'action si ma mémoire est bonne. J'avais (j'ai toujours ?) sa suite sur PC : The 2 Towers, et le packaging est magnifique avec des cartes et des extraits du roman.

Quelques jeux Snes sont compatibles avec la souris Snes (livrée avec Mario Paint mais également achetable séparément) mais ce n'est pas le cas de Lord of the Rings.

Lost Vikings
(Silicon & Synapse / Interplay - 1992)



Succulent mélange d'action/plate-forme et de réflexion, Lost Vikings met en scène 3 vikings enlevés par un seigneur extra-terrestre qui collectionne des formes de vie diverses venues des 4 coins de l'univers. Depuis l'intérieur du vaisseau spécial ou ils sont enfermés, les valeureux guerriers devront s'échapper et tenter de rentrer chez eux en traversant divers mondes. Tout l'intérêt du jeu s'articule autout de l'utilisation judicieuse des caractéristiques de chaque héros. On peut passer de l'un à l'autre à tout moment et il faut les faire s'entraider pour progresser. Ainsi Olaf porte un énorme bouclier dont il peut se servir pour arrêter toutes sortes de projectiles ou pour planer dans les airs en le tenant au dessus de lui. D'ailleur dans cette position, il peut permettre à Erik de sauter sur le bouclier afin d'atteindre des lieux inaccessibles. Ce dernier est en effet le seul de la bande à pouvoir sauter, et il peut également courir comme un fou pour détruire certains murs. Le dernier viking est le plus teigneux des 3 : en effet Baleog peut donner des coups d'épée ou tirer avec son arc. Ses flèches serviront d'ailleurs à activer des interrupteurs hors d'atteinte de tous. Les niveaux à traverser demanderont aussi aux héros d'appuyer sur des boutons, de discuter avec des créatures amies (dialogues très droles), de trouver et utiliser des objets ... etc ...
Lost Vikings est bien réalisé avec de bonnes animations et pas mal de détails graphiques qui apportent beaucoup d'humour (il faut voir Olaf quand il s'abaisse pour descendre une échelle ou Erik sonné après s'être pris un mur). Les musiques sont également excellentes et enfin la jouabilité est parfaite avec en plus une difficulté progressive qui rend le jeu abordable à tous.
Bref, ce soft fait partie des grands succès de l'ère 16 bits et fut adapté sur tous les supports du moment (Amiga, ST, Megadrive, puis GBA ...). Avec sa bonne réalisation et son pad 6 boutons offrant une excellente ergonomie, la version Snes peut être considérée comme l'une des meilleures, si ce n'est la meilleure.
Le cocktail action/réflexion est souvent réussi et on le voit encore être servi dans de nombreux titres de la ludothèque DS par exemple. Mais Lost Vikings fait vraiment partie des tous meilleurs du genre et son âge ne l'empêche aucunement d'être apprécié comme un excellent jeu encore aujourd'hui.
Le jeu est sorti au Japon sous le nom "Viking no Daimeiwaku".
TRES BIEN

Voir l'article consacré au jeu sur GP ici : http://www.grospixels.com/site/lostvik.php


Lost Vikings 2
(Blizzard / Interplay - 1995)



Le développeur Silicon & Synapse, devenu Blizzard entre-temps (oui oui, c'est bien ceux auxquels vous pensez), remet le couvert quelques années plus tard avec cette suite qui voit le grand méchant du premier épisode tenter encore une fois de capturer les 3 vikings alors qu'ils sont en virée tranquilles sur leur drakhar. Ces derniers se retrouvent projetés dans un monde façon Haloween et doivent encore une fois trouver un moyen de rentrer à la maison.
Le principe n'a pas changé du tout et on joue toujours exactement de la même façon. Afin de proposer des enigmes plus variées, les développeurs ont quand même donné aux héros de nouvelles capacités. Ainsi Erik peut nager, Baleog peut s'accrocher avec un bras à la Bionic Commando, et Olaf peut rappetisser à volonté pour passer dans des trous de souris, un peu comme le docteur Elvin Lincoln dans la série "Misfits of Science" (ah ça c'est de la référence !). De plus 2 nouveaux personnages deviendront controllables dans certains niveaux (ils remplacent les vikings) et disposent de capacités inédites également.
Alors je pourrais essayer d'être critique en déplorant le manque d'originalité par rapport au 1er épisode, en me plaignant que la réalisation ne soit pas améliorée ou en pointant du doigt le look ridicule des vikings avec leur nouvel équipement "cyber" qu'ils ont piqué aux armées du méchant. Mais c'est peine perdue : on s'amuse toujours autant et il n'y a aucune raison de cacher sa joie.
Lost Vikings 2 est sorti sur consoles 32 bits (Playstation et Saturn) dans une version au style graphique un peu différent avec des héros en "super-deformed" qui ont un petit air de persos en pâte à modeler. Je n'ai jamais eu l'occasion d'essayer ces versions et je ne sais pas si elles apportent quelque chose par rapport à la version Snes (éclairez-moi !).
TRES BIEN

Jamais réussi à finir le premier,les derniers niveaux sont vraiment chaud.

Sinon bravo champion!!

Seb pou rles lost vikings tu les as retesté ou tu as ecrit le test de mémoire (genre t'y a joué plus jeune).

Parce que j'aimerai bien savoir si le concept a pas vieillit. Je pense que non vu que j'aime toujours autant lemmings, mais bon on sait jamais
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Rain, oui je les ai re-testés ! Le principe de ce groblog est de donner un avis dénué de nostalgie sur ces jeux, je ne les teste pas "dans le contexte de l'époque" mais par rapport au plaisir qu'ils procurent maintenant, même confrontés à la concurrence actuelle. Donc forcément, je m'y remets, même si ce n'est que le temps de quelques niveaux pour des jeux que je connais déjà bien.

Donc oui, mon avis est que le concept ne vieillit pas du tout. Et de plus il me semble peu exploité dans d'autres titres, ou en tout cas pas aussi bien qu'ici. Récemment j'ai joué à Trine (plutot sympa) qui met lui aussi en scène 3 persos aux compétences complémentaires entre lesquels on peut alterner à tous moments dans un jeu de plate-forme/action rempli de puzzles. Sauf que les persos ne sont jamais présents ensemble à l'écran, et donc les enigmes fonctionnent différemment : le facteur complémentarité est là, mais pas le facteur entre-aide.
De la même façon, dans les jeux contemporains à Lost Vikings, on a (par exemple) Furry of the Furries, mais là encore les différents persos n'agissent pas ensemble. Ou à l'inverse on a Humans (déjà testé sur ce Groblog) mais les persos sont tous identiques et le gameplay enlève quasiment tout l'aspect plate-forme pour se concentrer sur le puzzle (et avec une jouabilité fort discutable).

Bref, les Lost Vikings sont vraiment encore excellents à jouer en 2010, toutes considérations nostalgiques mises de coté.

Oki tu me rassures. Parce que par exemple dans ma tentavite de grosblog, j'ai expliqué en quoi les castlevania avaient mal vieillit selon moi. La rigidité dans les sauts tout ça.

Mais visiblement LV à l'air d'etre encore bien adapté à l'epoque actuelle.
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Ah je confirme, Lost Vikings peut être fort fun encore aujourd'hui. Pour ma part je l'ai découvert il y a 4 ou 5 ans, et il m'a vraiment plu. Ce plaisir de comprendre comment résoudre une énigme, et d'avancer enfin dans le niveau... Même si certains d'entre eux sont vraiment diaboliques.

Une valeur sûre en tout cas, et puis c'est le genre de concept qui vieillit somme toute très peu, du moment que le gameplay est au point.

Love Quest
(Tokuma Shoten - 1995)



Enfin un J-RPG original ! Se déroulant dans notre monde modèrne, ce jeu nous permet d'incarner un jeune homme prêt à épouser sa fiancée. Ils sont à l'église, tout va bien, et tout à coup, un grand flash aveugle tout le monde. La fiancée a disparu ! Le héros se réveille ensuite dans son appartement. Après une conversation au téléphone avec sa mère, il sort dans la ville en quête d'indices pour retrouver sa promise.
L'interface est celle d'un clone de Dragon Quest avec les habituels menus pour s'équiper ou utiliser un objet, les dialogues avec les personnages rencontrés en chemin, et les combats au tour par tour avec vue à la 1ère personne. Oui mais ici on ne combat que des femmes, de la jeune étudiante à la ménagère en passant par la policière. Et en fait "combattre" n'est pas tellement le mot, il faudrait plutot parler de séduire puisque nos attaques spéciales comme le sourire (qui consomme des points de magie) ou nos armes comme le parfum permettent, au lieu d'infliger des points de dégât, de faire apparaitre des petits coeurs au dessus de notre "ennemie".
Comme vous vous en doutez, le jeu mise beaucoup sur l'humour, un humour qui nous passera au dessus vu que tous les textes sont en japonais. J'ai quand même compris les choix multiples qui sont offerts en début de partie : il est ainsi proposé au héros, après la disparition de sa fiancée, de "laisser tomber l'affaire" et de dire que rien ne vaut la vie de célibataire ! Ce qui nous amène rapidement au générique de fin du jeu ...
Disposant de graphismes sans finesse et de musiques passables, le jeu ne brille pas par sa réalisation, mais j'espère très fort que quelqu'un se penchera un jour sur ce jeu en vue d'une traduction car j'aimerais bien savoir ce que réserve la suite de l'histoire. Pour une fois qu'on a pas le monde à sauver, c'est reposant !

Ca a l'air énorme comme jeu! Je n'en ai jamais entendu parler. Earthbound ne serait pas le seul à être original et à prendre place dans un univers inspiré de notre monde contemporain? Dommage que ce soit resté en japonais.

Tokuma Shoten, ça me dit quelque chose, je ne sais plus où j'ai lu ce nom (à plusieurs reprises).

Sinon, ça fait un moment que je me dis que je dois essayer les Lost Vikings ...

Edit: Ah, pourrais-tu nous en dire plus sur les "problèmes de droit" avec Lupin III? J'ai toujours été étonné qu'en France la série s'appelle "Edgar de la Cambriole" (d'autant plus que le nom Lupin est particulièrement parlant en France). Au sujet de cette série, je ne connais que le (très bon) long métrange de Miyazaki (le Château de Cagliostro).
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"Quand le sage montre la Lune, l'idiot regarde le doigt." Proverbe chinois

Pour répondre à tes questions (LVD complètera surrement quand il passera par là) :

- La Tokuma Shoten est l'une des plus grosses boites d'édition multimédia au Japon. On les connait surtout pour leurs publications de Manga et la production d'anime. Ils possèdent aussi le magazine Famitsu.

- Lupin : comme son nom (japonais) l'indique, Lupin (le héros du dessin animé) est le descendant du célèbre Arsène Lupin. Or, les ayant-droits de Maurice Leblanc n'ont jamais donné leur accord pour que les japonais utilisent le nom. Quand le dessin animé est arrivé en France, il a fallu renommer le héros pour éviter le procès.

Dans ce cas, c'est un peu bizarre qu'on n'ait pas interdit d'utiliser le nom Lupin dans tous les autres pays (y compris le Japon): il y a une violation de droit.

Edit: Sympa ta signature.
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"Quand le sage montre la Lune, l'idiot regarde le doigt." Proverbe chinois

Love Quest fait partie de cette longue liste de jeux atypiques sur SNES dont j'attends avec impatience une traduction.
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Sur SensCritique
Moi, je(u video)

Non mais je suppose qu'il est probable que les droits ne concernent que le pays d'origine, donc la France.
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Vu le resumé, ça me faisait surtout penser à une version soft de Cobra Mission ^^
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