Oui c'est une drole de chorégraphie leurs trucs, mais j'aime bien randy orton quand même. Surtout qu'en ce moment il a le rôle du plus méchant catcheur de la WWE

Rain, j'adore ta description d'un match Orton/Batista, j'aurais pas dit mieux
Je comprends ton point de vue sur les jeux de catch. Perso j'aime les 2 écoles : celles du réalisme comme Gekitou BPW et celle du "jeu de baston avec des prises de catch". Dans cette dernière catégorie, je trouve la série des Kinnikuman Grand Prix sur PS2 (Muscleman) particulièrement réussie : ça se joue comme un jeu de baston 3D à la Tekken (combos, esquives, quelques manips à base de quarts de tours ou de directions suivies de boutons ...) mais tous les coups spéciaux sont des prises de catch. C'est réalisé par AKI corp, les devs des bons jeux de catch WCW et WWF sur N64 et de la série Def Jam.


And now for something completely different ...


Revoici nos joyeux drilles déjà aperçus dans la série des "Battle" (voir page 09), à savoir les héros japonais populaires et indémodables sous licence Banpresto !


Great Battle Gaiden 2
(Banpresto - 1994)




Banpresto se prend pour Konami en produisant ce jeu qui semble s'inspirer de Gambare Goemon / Legend of Mystical Ninja et qui propose de la plate-forme entrecoupée de mini-jeux. On dirige un héros vu de coté (au choix Gundam, Ultraman, Kamen Rider ou un perso original) qui se balade dans un grand niveau bourré d'ennemis qui attaquent sans cesse. Il faut trouver des portes menant à des boss. En chemin on ne manquera pas de s'arrêter dans un des nombreux magasins qui proposent de l'energie, des armes ou des vies supplémentaires à acheter avec l'argent laissé par les ennemis. De temps en temps un bidule non identifié traverse l'écran et, en le touchant, on accède à l'un mini-jeu pour gagner plus d'argent. On trouve un casse-briques assez sympa, un shmup vertical trop facile, un puzzle-game à la columns et un jeu bizarre ou il faut attraper de droles d'oiseaux. Ces jeux sont également accessibles en dehors de l'aventure principale depuis le menu d'intro.
Banpresto a donc décidé de travailler plus pour offrir plus mais le résultat est en demi-teinte avec des graphismes fadasses, une jouabilité approximative et des mini-jeux trop longs qui cassent le rythme de l'aventure. Ca reste tout de même globalement assez sympathique pour s'amuser une heure ou deux.
A noter que le premier Great Battle Gaiden est un jeu Gameboy que je n'ai pas essayé mais dont Vorsch nous parlera forcément dans son groblog des jeux dédiés à la célèbre console portable.
2/5


Great Battle / SD Great Battle
(Banpresto - 1991)



Mettant en scène des héros japonais récurrents dans les productions Banpresto (Gundam, Ultraman, Kamen Rider ...) entre lesquels on peut alterner à n'importe quel moment en cours de partie, ce jeu d'action vu de dessus se trouve dans la lignée de Alien Syndrome ou de Gauntlet, comme pas mal d'autres jeux qu'on a déjà vu sur ce groblog, mais avec également un bouton pour le saut, ce qui permet de sauter de plate-formes en plate-formes tout en tirant sur les ennemis aux alentours. Chaque perso dispose d'armes spéciales différentes, en quantité limitée, plus ou moins utiles en fonction de la situation, mais celle de Kamen Rider qui permet d'immobiliser les ennemis me semble la meilleure et permet à elle seule de drolement rabaisser le niveau de difficulté (déjà pas bien élevé) du jeu. Les premiers niveaux sont très courts et vraiment simples et les choses se compliquent un peu dans les niveaux avancés.
La réalisation est médiocre, avec des sprites peu détaillés, des décors inégaux (parfois moyens, parfois immondes) et des musiques qui tournent rapidement en boucle bien que chaque perso ait son propre thème. C'est par contre parfaitement jouable et on se plait à progresser dans ce petit jeu sans prétention mais accrocheur.
2.5/5

A demain pour la suite des jeux "Great Battle" sur Snes ...

Great Battle 2 : Last Fighter Twin
(Banpresto - 1992)



Changement de registre pour cette suite qui est un beat-them-all inspiré des grands classiques et ça se voit ! Le level-design et la jouabilité lorgnent du coté de Double Dragon avec des stages ou il faut sauter pour progresser dans le décor ou pour éviter des pièges mortels, et un système à 3 boutons : pied, poing et saut. Mais on y trouve aussi du Golden Axe avec des attaques en courant et des fioles à ramasser pour déclencher une magie qui sera plus dévastatrice si on décide d'utiliser toutes ses fioles (avec le bouton R, on peut sélectionner le nombre de fioles à dépenser). Bien sur, le jeu a quand même sa personalité propre, déjà due au fait que, comme tous les autres épisodes de la série, les héros et les ennemis sont des personnages tirés de médias japonais populaires. Ainsi il est possible encore une fois d'alterner à tout moment entre plusieurs héros (bouton Select) même si aucune grosse différence ne se fait sentir, ce qui est dommage. On peut aussi envoyer des projectiles destructeurs en maintenant le bouton de poing mais celà consomme de la vie.
On peut jouer à deux, et là force est de reconnaitre que ce petit jeu sans grand éclat à première vue se révelle finalement plutot amusant (seul on se retrouve facilement débordé et le jeu est frustrant) malgré une maniabilité qui est loin d'être aussi souple quand dans les classiques du genre. Enfin il ne faut pas être trop exigent ...
2/5


Great Battle 3
(Banpresto - 1993)



Suite directe de l'épisode précédent dans le fonds et dans la forme puisqu'on est de nouveau face à un beat-them-all jouable à deux mettant en scène Ultraman et compagnie mais cette fois transposés dans un univers médiéval fantastique. Ca ne change pas grand chose à la donne puisque les ennemis, le level-design général ainsi que la jouabilité restent similaires. Mais nos héros se battent cette fois avec des épées ou des lances. Quelques petites différences de gameplay se remarquent quand même avec une garde (peu efficace) et une attaque spéciale à effectuer en gardant le bouton appuyé qui cette fois ne pompe plus d'énergie mais est tellement lente à sortir qu'elle ne sera d'aucune utilité. Les ennemis défaits rapportent de l'argent qu'on peut dépenser dans de (trop rares) boutiques pour acheter de la vie ou des magies dévastatrices. L'influence Golden Axe se fait grandement sentir, non seulement pour le changement d'environnement, mais aussi parce que laisser de la distance entre le héros est un ennemi resultera systématiquement dans une attaque en courant de ce dernier. Pas rapport au jeu précédent on remarque de meilleurs graphismes, une jouabilité un peu moins brouillonne et également quelques idées sympa comme ces ennemis qui se téléportent ou invoquent une boule de feu qui suit le joueur. Ca reste un beat-them-all très moyen mais jouable. A noter la présence d'un mode versus totalement anecdotique comme de coutume ...
2/5


Rendez-vous demain pour la suite et la fin des jeux Great Battle ...

tres interessant,je ne connaissais pas du tout cette franchise,

(je connais ultra-man évidemment roohhh)

J'ai un peu joue au 2, mais c'est tres vite lassant.
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Great Battle 4
(Banpresto - 1994)




La série se renouvelle encore pour ce 4ème épisode qui dépote ! Voici un run and gun ou nos héros vus de profil traversent des niveaux en tirant sur tout ce qui bouge (et même ce qui ne bouge pas, on n'est jamais trop prudent). On peut jouer à 2 simultanément (mais c'est un peu bordélique) et il est possible d'alterner à tout moment entre les 4 héros qui ont des compétences spécifiques et complémentaires (même si Gundam et Ultraman sont de loin les plus efficaces) : double-saut pour l'un, tir qui rebondit sur les murs pour l'autre, transformation en boule à la Metroid ... etc ... Ceci permet de varier le gameplay et de provoquer l'apparition de situations demandant au jouer de choisir le perso le mieux adapté. Des boss attendent le joueur à la fin des niveaux et certains se combattent en plaçant les héros aux commandes d'un robot géant qui bénéficie d'une cinématique à la mode "sentai" comme dans les Goemon de Konami. Le jeu est beau, avec pas mal d'effets spéciaux typiques de la console, et étonnement jouable pour un titre d'action signé Banpresto. A essayer.
3/5


Great Battle 5
(Banpresto - 1995)



Le dernier épisode de cette série est le plus beau avec des sprites détaillés et des décors efficaces. Le coeur du jeu est un action/plate-former ou on déplace les héros (jouable à 2) vus de profil vers la fin du niveau ou l'attend un boss. Certains niveaux proposent cependant un gameplay différent tel le tout premier ou les héros vu de derrière tire sur tout ce qui bouge en déplaçant un viseur dans ce qui est un clone du célèbre Cabal. Encore qu'il faudrait plus comparer cette séquence de jeu avec Wild Guns (Snes) puisque tout l'épisode se déroule dans un monde Far West avec cowboys et indiens, ce qui donne d'ailleurs un air de Sunset Riders à certains niveaux. Malheureusement tout n'est pas parfait dans ce jeu, à commencer par la jouabilité moins efficace que dans l'épisode précédent d'autant que le niveau de difficulté est assez élevé avec entre autre des boss qu'il faut toucher un trop grand nombre de fois ce qui est assez éprouvant. C'est dommage car le jeu regorge de bonnes idées et la réalisation est très bonne. Mais ce sont des petits soucis de maniabilité et d'équilibre de jeu qui viennent un peu gâcher la fête. A essayer tout de même pour vous faire une idée.
2/5

Le screen de droite de Great Battle 5 fait beaucoup penser à Wild Guns. Une série à creuser en tout cas...

Bon, vous avez profité du week-end pour tester tous les jeux de la série Great Battle ? Vous êtes devenus fans ? Alors voici en bonus un autre jeu mettant en scène tous nos amis made in Banpresto. Pas sur que vous adoriez ...


Gaia Saver
(Banpresto - 1993)



Masked Rider, Gundam et Ultraman sont les héros d'un RPG très classique se déroulant semble-t-il dans l'univers du 1er Gundam. On controlle au début Amuro qui se trouve dans une base terriene attaquée par les armées de Zion. En mauvaise posture dès le 1er combat, il est secouru par Ultraman et ses potes. Après une fuite mouvementée, on se retrouve à un autre endroit de la planète qu'on peut alors explorer à loisir. On se déplace sur un carte (avec combats aléatoires) et on peut accéder à des donjons ou des villes. Dans ces dernières, on choisit sa destination sur une carte parmis les bâtiments accessibles dans lesquels on peut ensuite se déplacer pour rencontrer des gens ou trouver des objets.
Les combats se déroulent au tour par tour avec choix des attaques (toutes tirées des manga et dessin-animés bien sur). Les graphismes en SD sont assez sommaires mais les sprites sont plutot mignons, les décors le sont beaucoup moins. Les musiques occilent entre l'horrible et l'insipide. Ca semble tout de même sympa mais difficile de le vérifier sans patch de traduction.

Dans les dernières présentations on a vu des jeux mettant en scène 3 pilliers de la culture "pop" japonaise : Ultraman, Gundam et Kamen Rider. Histoire de complèter le tableau des héros récurrents et indémodables depuis de nombreuses années au pays du soleil levant, voici GODZILLA ! (et son beauf ...)


Godzilla : Kaijuu Daikessen
(Alfa System / Toho - 1994)



Avez vous toujours rêvé d'incarner l'un des monstres géants de la Toho ? Euh, moi non. Mais si c'est votre cas alors il se peut que vous appréciez ce beat-them-up aux graphismes soignés mettant en scène Godzilla, King Gidhora, Biolante et tous les autres. Remarquons d'emblée que la partie sonore est également soignée avec des digitalisations des cris des bestiaux très réussies. Le gameplay est un mix entre du Street Fighter avec des quarts de tours pour les coups spéciaux, et King of Monsters avec un bouton de choppe et des combinaisons à réaliser une fois qu'on a saisit l'adversaire.
Le gameplay est lent mais plus profond qu'il n'en a l'air, cependant les combos manquent à l'appel et la jouabilité est approximative. Malgré tout on s'amuse un peu quand même, surtout si on est fan des films. Les fans en question apprécieront d'ailleurs certainement le coté encyclopédique du soft. Attention, le jeu est assez difficile.
2/5


Gamera : Gyasu Gekimetsu Sakusen
(Sammy - 1995)



Gamera, le beau-frère de Godzilla, est une tortue géante qui attaque le Japon de temps en temps dans une série de films catastrophe(iques?). Dans ce jeu, on dirige les forces de défense du Japon qui doivent à tout prix repousser le monstre en lui envoyant des tanks, des avions et autres unités militaires à la figure. Celà se traduit à l'écran par une carte très moche vue de dessus sur laquelle on interragit en sélectionnant des unités à envoyer à des points stratégiques. A tout moment, on peut passer en vue rapprochée et voir l'ami Gamera détruire tout ce qu'il rencontre dans des graphismes en 3D isométriques moyennement jolis. Quand Gamera arrive à la base militaire, c'est le game-over. Comment l'arrêter ? A vous de me le dire si vous voulez essayer ce jeu et arrivez à vous démêler dans les menus en japonais (pourtant pas nombreux) pour arriver à faire autre chose que d'envoyer vos malheureux soldats au casse-pipe.

Go Go Dodge League
(Mebio Soft / Pack in Video - 1993)



Un jeu de dodge ball (balle au camp) jouable a 4 simultanément dans de nombreuses combinaisons et tout à fait accessible avec des boutons permettant de frapper, faire une passe, sauter, attraper la balle ou changer de joueur quand on est en défense avec les boutons de tranche. Il y a des coups spéciaux mais je n'ai pas trouvé comment les sortir à tous les coups. La représentation de dessus permet une lisibilité du jeu parfaite mais affiche des graphismes franchement pas terribles et moins fouillé que dans les jeux du genre vus de coté comme ceux rencontrés en page 9 de ce groblog. A essayer en multi pour quelques parties certainement très marrantes mais seul c'est pas vraiment passionant.
2/5

Tu en est ou du thread?

le cinquieme?le quart?

Ah, je sais pas trop, j'ai même pas compté le nombre de jeux que j'ai présenté !
Demain je mets à jour la 1ère page avec la liste des titres et je compte tout ça. La je dirais que j'ai déjà présenté entre 300 et 400 jeux, donc je devrais en être pas loin du quart.

EDIT : 448 jeux présentés au 15 Juillet 2009.
Je sais pour sur que la ludo Super Famicom comporte 1445 jeux (ceci inclue les jeux Satellaview, Sufami Turbo et Nintendo Power). A ceci il faut ajouter les exclu occidentales que, au pif, j'estime à 300 environ. Donc oui ça confirme bien ce qu'on pensait : j'en suis à un quart de la ludothèque environ.

Et toujours pas de goémon ^^ J'attend moi mr.

Sinon faudra qu'on m'explique, un jour, le trip des japs avec les mecha. Je sais pas, on fout des ultramans et des gundams partout et ça se vend. Ils sont fous ces japs
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Si regarder des anime ne te dérange pas, il y en a un qui résume à lui seul le pourquoi du comment, c'est Tengen Toppa Gurren Lagann, et tu comprendras pourquoi les gens aiment tant que ça C'est du délire pur et dur, de la parodie, mais tout en étant sérieux...bref, j'ai passé un excellent moment sur cette merveille, et je pense avoir compris l'engouement autour des méchas.

Ceci dit, il va falloir que je relance Front Mission Gun Hazard un jour, il m'a vraiment tapé dans l'œil...

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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

HS: Complètement d'accord, Gurren-Lagann est la seule série de "super robots" (Goldorak, Mazinger, etc.) que j'aie apprécié. Elle est fabuleuse du début à la fin, avec une bande-son du tonnerre, des idées dans tous les sens, pas un pet de CGI (enfin, si, un seul, mais no spoil ), et c'est réalisé par la Gainax. Ce qui est d'autant plus drôle quand on établit le parallèle avec Evangelion (les thèmes traités sont les mêmes, mais l'exécution pourrait difficilement être plus différente ).

Et dans la catégorie "real robots", tu peux regarder Macross Plus, Gundam Seed ou Patlabor (avec un zeste de Ghost in the Shell) pour finir de comprendre pourquoi les mechas c'est le futur.


Ah, et pour finir le off-topic: Ultraman n'est aucunement une série de mecha. C'est un tokusatsu (même catégorie que X-Or, Kamen Rider et apparentés) de la sous-catégorie "Kyodai hero", c'est à dire que le héros qui se transforme en géant pour péter la gueule aux méchants.

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https://twitter.com/MaxNoelBass
https://www.youtube.com/c/TheTiberianSons

Ranger Ultraman dans la categorie mecha, tu veux ma mort ou quoi?

Il suffit de regarder des anime comme Gundam (surtout First, Z, le film Char's Counter Attack, 0080, et 0083), Ideon, Layzner, Macross... Bref, parmi ce que la japanim a fait de mieux, et on comprend tout de suite.
Plus globalement, la SF a toujours ete le genre le plus porteur. Regarde aux Etats-Unis: Star Trek, Star Wars, Superman, les 4 Fantastiques... Les Japonais n'ont fait qu'y ajouter le concept du robot geant. Y a un article tres interessant ici mais extremement long
http://artslivres.com/ShowArticle.php?Id=1601


Wild Cat, tu n'as pas aime Gunbuster? (la 1ere serie je veux dire...) D'habitude elle met tout le monde d'accord.


Actuellement en cours de diffusion un remake de Mazinger Z, vraiment excellent, par le realisateur de Giant Robot. Tres peu de combats, on s'attarde enormement sur les personnages.

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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Bon, puisqu'on parle de mechas et robots géants :


Galaxy Robo
(Imagineer - 1994)



Ce tactical-RPG futuriste mettant en scène des pilotes aux commandes de robots géants propose un enchainement de batailles sans phases d'explorations ni de customisation (ou très peu), avec juste quelques dialogues au début de chaque affrontement faisant progresser le scénario. La mise en scène est minimaliste, les graphismes moches et une unique musique sympa mais qui boucle rapidement emballe le tout. On déplace ses unités au tour par tour en choisissant des actions comme attaquer ou soigner/réparer ou encore défendre. Tout est en japonais et je n'ai donc pas beaucoup progressé. Il faut espérer que l'IA du jeu soit son point fort (avec des challenges corsés à la Fire Emblem) car sinon il ne brille pas beaucoup face à ses nombreux concurrents sur Snes. Sa simplicité de prise en main, du fait du peu d'options disponibles, le rend cependant accessible à tous (même en japonais).

Waaa l'autre. Hey sebin on parle de mecha là
=>




Evidemment je range pas ultraman avec les mecha, mais bon ultraman aussi a super marqué les japs. Alors qu'il tient pas du tout la comparaison avec Xor ^^

Macross on est d'accord, mais c'est surtout pour les F14/15 que j'adore moi. Gundam c'est plutot les complot que les mecha à proprement parlé que j'adore.
Non ce que je regrette, c'est la surexploitation du truc. Bon alors ok, tu va me dire que les mecha japs, c'est les super heros ricains. Sur ce point là je peux qu'acquiescer, mais bon pour moi petit francais, je comprend pas cette obsession pour les robots quand même.

Point trop n'en faut
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Game No Tatsujin
(Success / Sunsoft - 1995)




Voici une cartouche qui en donne pour notre argent : ceux qui ont qualifié The Orange Box comme la meilleure affaire de l'histoire des jeux-video n'ont manifestement pas connu Game No Tatsujin ^^ Bon, plus sérieusement, ce soft est appréciable car il réunit des jeux de société qui étaient habituellement vendus séparés à l'unité pour le même prix. On trouve donc un jeu de shogi (echecs japonais), de go, de mahjong et, plus anecdotique, d'othello. Tous sont jouables seul contre le CPU ou de 2 à 4 joueurs humains. Un mode "world tour" est également présent et nous fait voyager autour du monde pour affronter dans chaques pays des adversaires de niveaux variés sur l'un des 4 jeux présents. La réalisation est correcte avec des graphismes sobres et la présence de voix digitalisées en japonais d'assez bonne facture. Ne connaissant les règles que d'un seul des quatres jeux (et encore c'est l'othello !!), je me garderai bien de donner un avis sur la qualité de l'intelligence artificielle mais si elle est d'un bon niveau, ce jeu doit valoir le coup.


Game No Tatsujin : The Shanghai
(Sunsoft - 1995)




Ahh, ça j'adore. Nous avons ici une adaptation améliorée du célèbre Shanghai d'Activision dont la 1ère version est parue en 1986. Le principe de ce jeu consiste à associer 2 pièces de mahjong identiques à condition de pouvoir les faire glisser vers la gauche ou vers la droite et de débarrasser le plateau sans se retrouver bloqué. Plusieurs arrangements sont disponibles (formes plus ou moins pyramidales) pour garantir de nombreuses heures de jeu (je joue à ce jeu depuis l'Amiga, je ne m'en lasse pas).
Mais Game no Tatsujin propose également une variante de Shanghai que l'on a déjà vu dans le jeu Chinhai présenté en page 17 de ce groblog. Là, les règles pour associer les pièces sont différentes et celà donne 2 jeux aussi différents que Tetris et Dr Mario par exemple.
Et c'est pas fini, on trouve un 3ème type de casse-tête qui mélange astucieusement Shanghai avec une louche de Sokoban et une pincée de Puzznic pour proposer un jeu passionant ou on dirige un petit personnage qui doit pousser des pièces de Mahjong pour les associer et les faire disparaitre afin de dégager son chemin vers la sortie : excellent.
Les 3 jeux sont pratiquables indépendemment mais peuvent aussi s'enchainer au sein d'un "story mode" raconté par l'intermédiaire de petites cut-scenes entre les parties (ne me demandez pas ce que ça raconte : tout est en japonais).
Le jeu a tout de même un défaut : on ne peut pas y jouer à deux. Pour les parties entre amis, préférez donc les Shanghai qu'on verra dans les "S".
Fortement recommandé à tous les amateurs de puzzle-games, surtout aux fans de Shanghai bien sur.
3/5

Ginga Eiyuu Densetsu : Senjutsu Simulation
(Tokuma - 1992)



Ce jeu est basé sur une série de romans japonais de space-opera dont une adaptation animée a fait une timide apparition en France il y a quelques années sous le nom "Les Heros de la Galaxie". L'histoire, apparement longue et riche en personnages passionants, racontre l'affrontement entre l'empire galactique et l'alliance démocratique des planètes libres dans un futur très lointain ou les humains ont conquis l'espace. L'adaptation video-ludique est un jeu de stratégie jouable seul ou à deux dans lequel on choisit d'incarner le charismatique stratège militaire d'un des 2 camps, et ou l'on donne des ordres à ses généraux controllant d'immense flottes de vaisseaux de guerre. Après avoir sélectionné quelques options dans des menus, on voit des petits points représentant nos unités se déplacer et, s'il y a contact avec l'ennemi, on assiste à une petite cut-scene montrant la bataille. Des dialogues agrémentent le tout tandis que de grands airs de musique classique viennent soutenir l'intrigue comme c'était déjà le cas dans l'anime. Le tout est assez lent et graphiquement très sommaire et le gameplay semble être allègé par rapport aux versions initiales du jeu sorties sur micro-ordinateurs japonais, mais je peux me tromper puisque tout est en japonais et que je ne suis pas allé bien loin.


Ginga Sengoku Gunyuuden Rai
(Angel - 1996)



Tiré d'un manga (et anime) mettant en scène un univers de space opera dans lequel s'affrontent des empires calqués sur ceux de la Chine féodale et du Japon féodal, ce jeu est lui aussi un jeu de stratégie dans lequel on déplace des flottes de vaisseaux pour affronter d'autres flottes de vaisseux, après avoir choisit l'un des 4 camps proposés. Mais contrairement à Ginga Eiyuu Densetsu, les batailles sont interractives puisqu'on se retrouve devant une carte quadrillée lors de ces dernières et qu'on déplace soit même les vaisseaux de sa flotte sur le champs de bataille. Le jeu a l'air assez sympathique et la réalisation est correcte mais c'est comme aucune traduction n'est disponible, je préfère classer l'affaire sans suite pour l'instant.