Ce Cutthroat Island, il ne faut pas l'aborder comme un gamer, qui cherche à optimiser son style de jeu, et à arriver au bout: clairement, ça va être très très chiant.

Il faut y jouer comme le ferait un gamin de 10 ans. Rentrer dans l'ambiance, varier les attaques, même si ça ne sert à rien, juste parce que ça fait des combats plus spectaculaires, et que ça fait plus "pirate"... Et ne pas hésiter à éteindre le jeu au but de quelque niveaux, quand ça devient redondant. Il faut y jouer comme on joue à un jeu de catch

Difficile de tester objectivement, quand on aborde le jeu avec cette optique. En tout cas, moi j'accroche, et je t'avoue que je l'ai relancé plusieurs fois depuis le test, à chaque fois avec plaisir.

Petit gredin, va
Je t'attends au tournant pour la présentation de HAL Wrestling : t'as intérêt à en dire du bien

Cyraid / Bakuretsu Senshi Warrior
(Epoch - 1990)



Je ne suis pas du tout sûr de moi sur ce coup là. C'est peut-être un jeu correct, mais rien à faire, je n'accroche pas. Cyraid est un jeu de réflexion avec puzzles en un tableau. Le personnage peut seulement se déplacer, et donner des coups dans les blocs et les échelles. Ces coups servent à détruire les blocs ou à les envoyer sur des ennemis, et à déplacer les échelles, pour former des échelles plus grandes ou pour pouvoir accéder à d'autres parties du niveau. Le but de chaque niveau est de casser certains blocs marqués d'un E, pour ouvrir la sortie. Les contrôles sont franchement désagréables (le pire étant l'objet nous faisant accélérer, qui rend le personnage incontrôlable).

Il faut un peu réfléchir pour résoudre chaque tableau, mais une fois que l'on a trouvé l'idée, il faut l'appliquer, et c'est là que le jeu se plante à mon avis. Le design des niveaux est en effet assez mauvais: il est beaucoup trop mécanique. Pour finir le niveau 4 par exemple, on commence par réfléchir une dizaine de seconde, puis on déplace bêtement des échelles pendant plusieurs minutes, sans avoir à penser à nouveau. C'est pratiquement algorithmique.

Le jeu ne pardonne rien. Il est facile, si on ne se méfie pas de la logique inhabituelle du jeu, de rendre les niveaux impossible à finir. Autres détails gênants: les blocs qui réapparaissent de temps en temps (parfois quelques secondes après avoir été détruits), en tuant le personnage s'il est dessous, ainsi que les ennemis, pas bien dangereux, mais qui réapparaissent parfois au mauvais endroit, laissant le joueur sans défense. Il n'est pas bien dur de contourner ces dangers, ainsi que les problèmes de contrôle, à condition d'être très attentif, mais moi je n'arrive pas à rester concentré alors que je pousse des blocs de façon purement mécanique.

2/5



Voilà qui achève cette lettre C!

J'avais essayé ce jeu sans réussir à progresser. Il faut dire que je n'avais pas remarqué qu'on pouvait bouger les échelles ! Je vais ré-éssayer ...


Je dirais que tu as sauté Crazy Burger et Cyber Formula GPX, mais ces jeux existent peut-être sous un autre nom ?

Crazy Burger, c'est du non licensié. Un des nombreux jeux moisis de Sachen, qu'ils sortaient dans des cartouches 4 en 1. J'en parlerai peut-être à l'occasion.

Le deuxième, je l'ai sous le titre Shinseiki GPX Cyber Formula.

J'en ai effectivement sauté un, mais bonne chance pour trouver lequel! Je corrigerai ça bientôt.

OK, je ne savais pas pour Crazy Burger (qui n'est pas un chef d'oeuvre de toute façon !)

Moi j'en vois déjà deux : "A Boy and his Blob" et "Ah Harimanada" le jeu de Sumo.

Aa Harimanada est testé en page 1.

A boy and his Blob sera testé à "Rescue of Princess Blobette".

@Vorsch :
A propos de Cyraid / Bakuretsu Senshi Warrior, je trouve que graphiquement, le jeu à énormément de ressemblances avec... Batman sur GB ! De l'interface aux tiles !

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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Vorsch, ton grosblog nous manque !!

Je ne vous oublie pas.

En ce moment, je passe pas mal de temps sur mes divers projets game boy, mais peu de temps sur ce blog... c'est un peu frustrant. Je suis en train de synchroniser mes données, et conventions avec celles de No Intro, et au passage de vérifier les données de No Intro (qui sont encore bourrées de fautes).

Si tout va bien, la semaine prochaine les tests redémarrent.

Cette semaine, opération bouche trou. J'entame avec un jeu qui va à terme atterrir dans mon tout premier post.



3 Choume no Tama - Tama and Friends - 3 Choume Obake Panic!!
(Varie - 1994)



Ce jeu est adapté de Tama & Friends, un anime pour enfant mettant en scène les aventures d'un groupe de chats et de chiens de compagnie. La structure du jeu est classique. Le scénario mettant en scène les personnages de l'anime est expliqué à travers de nombreux dialogues. Ensuite on a accès à une carte de la ville où on a accès à divers mini-jeux pour gagner des vies, où à la suite de l'histoire (qui est clairement indiquée sur la carte). Enfin, de temps en temps, on est soumis à de petites épreuves. En plus du mode histoire il y a un mode libre, permettant de se promener et d'accéder à toutes les phases de jeux, sans les longs dialogues.

Les phases de jeux sont plus développées que les mini-jeux habituels à ce type de jeu, et pourraient presque passer pour des portions de "vrais" jeux. Il y a par exemple un petit niveau de plateforme, ou une série d'une dizaine de salle d'une sorte de casse-tête à base de poussées de blocs. Les jeux en eux-même sont sans intérêt, mais il remplissent très bien leur objectif premier: illustrer et dynamiser l'histoire, grâce à leur jouabilité correcte et leurs graphismes fidèles à la série. Un bon jeu pour jeunes enfants.

Pour les deux jeux d'aujourd'hui, je ne suis pas trop sûr du titre exact. Je ne suis pas d'accord avec le titre actuel de no intro, et leur ai envoyé mes propositions. Selon leurs réponses, il est possible que ces jeux disparaissent de cette page pour atterrir plus loin dans le blog! Effectivement, je me suis trompé pour l'un d'entre eux, qui disparait donc, pour l'instant...



Amida
(Sofix - 1990)



Le principe de ce puzzle-game est simple. Les niveaux sont composés de plusieurs voies verticales ainsi que de nombreux embranchements reliant ces voies entres elles. Le personnage n'est pas contrôlé par le joueur. Le personnage suit les règles de déplacement de l'amidakuji, une méthode asiatique pour attribuer aléatoirement des propriétés à des objets. En clair, il démarre en haut de l'écran (sa position est choisie aléatoirement) et se dirige toujours vers le bas, en prenant tous les embranchements qu'il croise. Le joueur contrôle un embranchement mobile, qu'il faut placer et déplacer de façon à ce que le personnage atteigne l'arrivée voulue en bas de l'écran tout en évitant les pièges. La réalisation est bonne, dommage quand même que la musique jouant pendant les niveaux soit insupportable (surtout que celle de l'écran titre est bien meilleure).

La plupart du temps la voie à suivre pour atteindre l'arrivée est évidente et le niveau est donc facile, mais parfois le choix de la position de départ est tel qu'il faut impérativement placer son embranchement au bon endroit dès le tout début du niveau pour pouvoir survivre. Avec un peu d'habitude on y arrive malgré le temps de réaction très court, il n'empêche que cette difficulté en dents de scie est un vrai défaut.

Amida aurait été une diversion agréable si c'était un mini-jeu dans un jeu plus riche (il ressemble d'ailleurs furieusement à certains mini-jeux des Mario sur ds), mais là c'est trop pauvre, trop mal équilibré et trop répétitif pour pouvoir intéresser le joueur.

1/5

Contenait anciennement un post de Ca Da, qui va finalement se retrouver à la lettre H.



Cool Hand
(Tarantula Studios - 1998)



Enfin un jeu de cartes sympa sur game boy. Ce jeu propose trois classiques du jeu de carte: blackjack, cribble et solitaire. Quatre mode de jeux sont proposés pour le blackjack, et quatre réussites différentes pour le solitaire, ce qui amène le jeu à un total très correct de 9 jeux de cartes. La réalisation est au poil, avec des graphismes appliqués et lisibles, une musique pas trop intrusive, des contrôles plutôt agréables. Les menus sont riches, et des règles des différents modes de jeux sont proposés. Un beau soucis du détail, pour un résultat correct. Attention par contre, l'émulation de ce titre est catastrophique.

3/5

Le principe de Ca Da est très interessant et aurait pu donner un jeu génial. Mais je n'aime pas trop. Je trouve la maniabilité pas optimale avec des sauts très pénibles à bien gérer et ces ennemis qui nous envoient valser sont horripilants.
Merci tout de même pour cette découverte (en lisant ton post, je me suis dit que c'était un jeu pour moi !).

Bon, je me suis enfin plongé dans l'immonde sac de nœuds qu'est la série Chessmaster sur game boy.

Ces Chessmaster game boy posent un problème que l'on est pas habitué à rencontrer sur console: à partir de quels points deux jeux sont ils différents? Chessmaster est sorti sous deux titres: The Chessmaster, et The New Chessmaster. Mais à en croire les écrans de copyrights et les créits, sous ces deux titres se cachent trois jeux différents. Les jeux The Chessmaster japonais, européens, et The New Chessmaster occidental, seraient en réalité le même jeu! Gonflé, de sortir deux fois le même titre, en prétendant que le second est la suite du premier! Les jeux The Chessmaster américain, et The New Chessmaster japonais, sont à part et sont deux jeux différent.

Ce distinctions ont elles un sens? Dans le cas présent pas vraiment, car j'ai été incapable de trouver la moindre différence entre ces trois jeux. Les interfaces sont identiques, et le programme se comporte plus ou moins de la même façon. Sur une partie, on croit observer une différence, qui disparait deux ou trois parties après, quand un autre des programmes produit le même comportement... Pour les besoin de la classification, je séparerait quand même ces trois jeux.

J'ai modifié en conséquence mes deux tests.

Récapitulatif de la lettre C

Les géniaux:

Castlevania II - Belmont's Revenge : jeu d'action exceptionnel
Catrap : encore un indispensable du jeu de réflexion en tableaux
Cavenoire : un dungeon crawler intelligent, accessible et charmant
Chikyuu Kaihou Gun ZAS : un des chef d'oeuvres absolus du shmup, techniquement phénoménal



Les très bons:

CosmoTank : un exemple virtuose de mélange des genres, disposant d'un fort capital sympathie



Les bons:

Ca Da : jeu de réflexion sympa, pour ceux qui ont fait le tour des classiques
Captain Tsubasa Vs : pas mal, mais pas au niveau de la version nes
Castlevania Adventure, The : possède un charme indéniable derrière son extrême difficulté d'accès
Chalvo 55 - Super Puzzle Action : mélange de plateforme et de réflexion, avec une jouabilité originale
Choplifter II - Rescue & Survive : une version réussie de Choplifter
Chousoku Spinner : sans doute le meilleur jeu de yo-yo de tous les temps
Crayon Shin-chan 3 - Ora no Gokigen Athletic : une compilation de mini-jeux plutôt réussis
Crystal Quest : du shoot en arène nerveux et frénétique



Ceux qui méritent un coup d'œil:

Chachamaru Boukenki 3 : un dungeon crawler à voir pour le design de son donjon, mais plombé par plusieurs défauts graves
Chase H.Q. : a beaucoup vieilli, mais possède toujours un certain charme
Chiki Chiki Tengoku : pour ceux qui aiment un bonne dose de réflexion dans leur columns-like
Choplifter III : un Choplifter plus orienté action, à essayer même si je préfère le II
Cool Hand : un jeu de cartes réussi
Crayon Shin-chan 4 - Ora no Itazura Daihenshin : jeu de plateforme agréable, mais enfantin et qui n'apporte rien au genre
CutThroat Island : pour sa belle retranscription de l'ambiance pirate



Une lettre C marquée par plusieurs perles plus ou moins méconnues, mais aussi par ces longues séries de jeux Shin-chan et Chibi Maruko-chan (pas forcement mauvais d'ailleurs).

Et c'est parti pour la lettre D!



Daedalian Opus / Bouken! Puzzle Road
(Vic Tokai - 1990)



Celui-ci est un jeu de casse-tête avec des pentaminos (une forme formée de cinq carrés). On nous donne une figure, un certain nombre de pentaminos que l'on peut faire pivoter et retourner, et on doit remplir la figure sans que les formes se chevauchent. Je trouve que c'est un casse-tête un peu bête, qui existe uniquement pour être prise de tête, et pas pour faire réfléchir ou étonner le joueur. La seule méthode raisonnable pour passer les puzzles est souvent d'essayer des choses plus ou moins au hasard jusqu'à ce que les formes s'emboîtent miraculeusement. C'est meilleur en vrai que sur game boy: manipuler soi-même les pièces rend le jeu plus agréable et aide beaucoup à appréhender ce qui se passe. Rien à signaler du côté de la réalisation.

2/5

Daffy Duck / Looney Tunes Series - Daffy Duck
(Sunsoft - 1994)



On peut reprocher beaucoup de choses à ce jeu de plateforme, mais certainement pas son manque d'originalité. En lieu et place du saut, on dispose d'un jet pack, qui utilise une jauge, jauge qui se recharge dès que l'on touche le sol. Le tir de l'arme de Daffy est plongeant, ce qui oblige à utiliser le jet pack dès que l'on veut tirer loin. Le level design exploite à fond ces caractéristiques, avec par exemple des passages où il faut se laisser tomber, puis enclencher le jet pack au dernier moment.

La meilleure méthode pour les grands sauts n'est pas d'utiliser toute la jauge en une fois. Il faut au contraire utiliser plusieurs très courtes poussées du jet pack. Cette technique est indispensable, mais aussi difficile, les timings étant très sérrés. Autre détail: la détection des collisions avec les ennemis en vol, contre-intuitive, et créant des situations étranges. Pendant les poussées de jet pack, on est invincible mais on ne peut pas sauter sur les ennemis. Ce système fait ressembler le combat contre le boss du niveau 2 (où il faut sauter sur le boss au milieu d'une pluie de rochers), à un gros bug. La jouabilité reste malgré cela relativement convaincante.

Le level design est discutable: varié, original, mais aussi franchement abusif. Il y a beaucoup trop de sauts difficiles, certains ennemis arrivent trop rapidement pour être évités, d'autres ont beaucoup de points de vie, voire sont invincibles, sans que rien ne les distingue des autres... Bref, c'est impossible sans par cœur intégral, et même avec le jeu n'est pas facile, car certains sauts restent très dangereux.

A part cela, techniquement c'est très bien, avec des graphismes fins, mais artistiquement ce n'est pas terrible. L'ambiance sf est générique au possible, sans aucune âme. Un jeu correct, avec des contrôles novateurs, un design appliqué, et quelques boss réussis, mais uniquement pour les amateurs de gros challenge, et de gameplay au pixel près.

3/5

Bon, je me lance dans la notation aléatoire. En clair, je viens de mettre une note très élevée à un tactical, qui a certes l'air d'être très chouette après avoir seulement fini un combat. N'en tenez pas trop compte, donc.



Dai-2-ji Super Robot Taisen G
(Banpresto - 1995)



Cet épisode est un remake de Dai-2-ji Super Robot Taisen sur nes, le second Robot Taisen, celui qui lança réellement la série en introduisant la plupart des caractéristiques de gameplay des Robot Taisen, et en démarrant la première chronologie de la série, celle des épisodes snes. Pour rendre accessible le début du scénario de leur série, Banpresto a donc refait entièrement le premier épisode, en le modernisant.

Les modifications sont importantes, avec l'ajout de nouveaux méchas, une refonte profonde des cartes, une interface totalement revue. Je ne peux pas trop me prononcer sur les différences de gameplay, ne m'étant pas plongé dans l'épisode nes. Je suppose que ces modifications furent importante, le jeu étant à la pointe de ce qui se fait en 1995.

On a donc droit à une gestion indépendante des pilotes et des mechas, possédant chacun leurs caractéristiques et leurs sorts (dont les fameuses transformations), à un système d'upgrade développé et à un scénario riche, à une narration détaillée, mettant bien en valeur les différentes licences de robots géants. La vitesse de jeu est très satisfaisante, et l'interface parfaitement claire et intuitive, malgré la complexité du système de jeu. Attention: je n'ai pas été assez loin pour juger de la difficulté du titre, un ingrédient primordial dans ce type de jeu.

La réalisation est elle aussi au top, avec notamment une bande son très efficace. On s'amuse donc vite, dans des batailles à la fois nerveuses et intéressantes, grâce au gameplay à la fois simple et profond, un équilibre rarement atteint dans un tactical. Le japonais n'est pas vraiment un problème: en s'armant d'un guide, une petite heure suffit pour maitriser le jeu parfaitement.

4,5/5

Daiku no Gen-san - Robot Teikoku no Yabou
(Irem - 1994)



J'attendais de le tester avec impatience celui-là. Pensez-vous: la suite (avec un changement de développeur, certes) d'un de mes gros coups de coeur de la console, Hamerrin' Harry! Sauf que non, il n'est pas à la hauteur. Graphiquement, le jeu est en dessous, avec un sprite du héros sans âme, des décors surchargés, sans rien qui attire particulièrement l'attention du joueur, ainsi que des robots trop génériques font que le charme n'opère plus. Techniquement, cela reste très bon, voir excellent, il n'empêche qu'artistiquement le jeu est un échec.

Le gameplay n'a pas trop bougé, c'est de l'action typé arcade, avec des contrôles simples, mais des patterns complexes et une bonne variété dans les niveaux. Par exemple, dans le niveau 2, il y a une variation sur le thème de la plateforme mouvante, que je n'avais jamais vu dans aucun autre jeu.

Il n'y a qu'une différence de gameplay, mais elle est de taille: la difficulté. Le premier était dur, mais celui-là est effarant, quasiment au niveau de Battletoads sur nes. Les tirs sont rapides, arrivent de partout, les possibilités d'esquives sont réduites, résultat à la moindre inattention on perd la quasi totalité de sa barre de vie. Ou son power-up, ce qui dans certains niveaux revient à la perte d'une vie. Même avec abus d'émulateur, c'est difficile. C'est dur, mais plutôt bien dosé et malgré tout intéressant.

Pas un mauvais jeu, car les bases sont très solides, mais un jeu qui nécessite un gros effort de volonté de la part du joueur, et ne le motive pas particulièrement à fournir cet effort...

3/5