Pour l'instant, sur l'ensemble de la ludothèque, on est à 22% !


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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

tain trop de jeux de sport.

J'espere que ca se rattrape par la suite, parce que bon pour moi la megadrive c'est censé etre la console qui envoie du bois avec moultes bta, jeu de plateforme et d'aventure
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On a fini les "N" et donc tout les grosse série de jeux EA que sont NHL, NBA, NFL? Donc je pense que ça devbrait remonter dans les autres catégorie.
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Je connais mal les jeux MD, du coup je pense pas que comme chez big n on aura des super ****

Mais bon y'aura du street quelque chose déjà ^^
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Dans la catégorie super en MD :


Super Baseball 2020
Super Battletank
Super Daisenryaku
Super Fantasy Zone
Super Hang-On
Super High Impact
Super Hydlide
Super Kick Off
Super League
Super Monaco GP
Super Off Road
Super Real Basketball
Super Skidmarks
Super Smash T.V.
Super Street Fighter II
Super Thunder Blade
Super Volleyball
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La maturité, c'est être capable de jouer à un jeu mettant en scène des lapins roses sans avoir l'impression de mettre en jeu son identité personnelle. (Petitevieille)

RainMaker et ses commentaires toujours aussi pertinents... Tu me soules tellement bro hashtag no rage

Bravo, pour ton premier post tu fait fort.

Non seulement ton commentaire n'est pas très pertinent non plus, mais ton inscription même sur le forum ne l'est pas plus.

@nicko :
Je crois qu'on sait tous qui est Saint John. N'est-ce pas ?
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

premier post en effet apres plusieurs annees de lectorat a supporter les inepties de ce personnage
la goutte, le vase...
On est tres nombreux a ne plus pouvoir le supporter


dernier msg de ma part, je ne suis pas un troll ni un kevin bannissez autant qu'il vous plaira

Même pas non et ça m'intéresse pas.

Et bisous à Rain.

Oh, le retour d'un camembert.

Merci. Je comprendrai jamais pourquoi j'attirre autant la heine des gens. Si encore j'avais balancé un gros troll....
Enfin bon.
Juste pour preciser y'a jamais de mauvais esprit ou de 2e degré à mes questions


Mais ma question etait serieuse, je me rappelle qu'a l'epoque de la guerre md-snin, les jeux multi sortaient souvent sur snin avec le mot super en plus. Histoire de dire nous notre jeu il est super mieux.
Je me suis toujours demandé si sur megadrive ils avaient fait la même chose genre mega machin, ou ultra ...


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Il y a bien Mega Bomberman, mais il est inférieur à la version originale, Bomberman'94 sur PC Engine.

Il y a eu Super Turrican et Mega Turrican, qui sont pourtant deux jeux différents mais avec une bande son quasiment identique.
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Et ben arrêtez de le lire toi et tes potes.
C'est quand même inouie les gens qui déteste le chocolat et s'obstine a en manger chaque jour, juste pour après pouvoir se plaindre de trouver le gout dégueu.





Tu es juste un grossier personnage.

On peut dire tout ce qu'on veut de Rain, au moins il n'est pas méchant, mesquin et/ou provocateur.
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C'est qui ce clown ?

Tututut, c'est pas bientôt fini de pourrir mon beau grosblog ?


AH ! Naïf que tu es !!

Olympic Gold Barcelona '92
US Gold - 1992



Comme vous vous en serez sûrement doutés, Olympic Gold est un jeu qui, comme tout bon jeu des JO d’été, propose essentiellement des épreuves d’athlétisme. Au programme : 100m, 110m haies, saut à la perche, lancer du poids, mais aussi tir à l’arc, natation et plongeon acrobatique.

Les commandes sont classiques, à la Track’n Field, et demandent le plus souvent d’alterner les touches A et B pour courir, et C pour effectuer une action. Seuls le saut à la perche et le plongeon, incompréhensibles, dérogent à cette règle, ainsi que, naturellement, le tir à l’arc. Ce dernier est l’épreuve la plus simple, même si on a un peu l’impression de diriger un alcoolique tant il a la main tremblante. A l’exception de la perche et du plongeon, toutes les épreuves sont agréables, même si elles manquent du raffinement des jeux modernes, qui ont, eux, le on goût de mettre une jauge d’endurance au lieu de nous faire tapoter les touches au petit bonheur la chance en natation.

Les graphismes font dans le minimum syndical, et les développeurs n’ont même pas fait l’effort de créer plusieurs sprites différents pour les athlètes, ce qui fait un peu bizarre. Les animations sont un peu raides, mais ce n’est pas gênant. En dehors du jingle Coca Cola entre deux épreuves, la bande son se fait discrète, et c’est tout ce qu’on lui demande. Olympic Gold n’est pas si mal, et souffre surtout de son nombre d’épreuves trop faible.

ASSEZ BIEN

Olympic Summer Games '96
Black Pearl Software/US Gold - 1996



Sorti sur une Megadrive déjà moribonde, Olympic Summer Games 96 tente cependant d’en tirer le meilleur en proposant des graphismes en 3D. C’est un peu déstabilisant au début, mais on s’y fait vite, d’autant que les animations sont souples et naturelles.

Le jeu propose plus d’épreuves que son prédécesseur : 100m, 110 m haies, saut en longueur, triple saut, disque, javelot, saut en hauteur, saut à la perche, tir à l’arc et au pigeon d’argile sont à l’honneur. On constate avec soulagement la disparition des épreuves aquatiques. Il n’y a plus de choix de difficulté comme dans Olympic Gold, et le niveau est élevé d’emblée. La difficulté des épreuves est cependant variables, certaines, comme les épreuves de saut en hauteur ou le pigeon d’argile, étant simples, tandis que le disque et le triple saut demandent des timings insensés pour être réussies.

Tout de même, le jeu est agréable même si on n’a toujours pas le loisir de choisir la tête de notre perso.

ASSEZ BIEN

Onslaught
Nextgrand / Ballistic - 1991



Sorti d’abord sur DOS, Onslaught fait partie des premiers jeux sortis sur MD en occident, aux illustration badass qui m’impressionnaient énormément que je lisais mes magazines. Je ne savais absolument pas à quoi il ressemblait vraiment jusqu’à aujourd’hui.

Il s’agit en fait d’un jeu d’action vu de côté : après avoir choisi la région à conquérir sur une carte, on est jeté face à des hordes d’ennemis qui nous foncent dessus pour nous occire. Le terme “hordes” n’est pas exagéré, puisque ce sont bien des vagues qui semblent infinies qui déferlent sur nous, nous laissant à peine progresser dans le niveau. Pour les vaincre, on dispose au départ d’une simple masse d’armes, mais chaque ennemi abattu laisse une arme ou un parchemin de magie, qui peuvent être sélectionnés et utilisés comme bon nous semble. Il y a par exemple des smart bombs, des bombinettes à trajectoire en cloche, ou encore une arbalète utile mais longue à recharger. On saute à la croix, ce qui n’est pas du tout gênant car les commandes répondent bien. Une fois quelques niveaux nettoyés de tous leurs ennemis, on affronte un boss ridicule à 4 bras en vue à la première personne, et ainsi de suite.

Les graphismes et l’animation sont franchement réussis, surtout pour un jeu de 1991. Les sprites sont très variés et détaillés, et les couleurs sont vibrantes. C’est au niveau sonore que le jeu accuse à la fois son âge et surtout son origine puisqu’on doit choisir entre les bruitages et la musique ; je conseille de choisir les bruitages, histoire de savoir quand on se fait toucher, car aucune animation autre qu’un mini jet de sang le montre.

Par défaut le jeu choisit les armes utilisées pour nous, il suffit donc en gros d’avancer en bourrinant B pour passer les niveaux. Cela rend le jeu assez simple, mais cela peut-être à double tranchant car l’arme est parfois choisir au pif, et pas forcément adaptée à l’ennemi. En revanche, la choisir soi-même dans le feu de l’action n’est pas évident. Dommage que le jeu soit un peu trop archaïque dans ses mécanismes, notamment au niveau de la gestion des coups reçus et des collisions, parce qu’il avait un bon potentiel. Je mets Assez Bien pour vous inciter à y jeter un oeil.

(Notez que le jeu n'est pas officiellement licencié par Sega, ça sent le reverse ingeneering)

ASSEZ BIEN
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Ooze, The
STI/Sega - 1995



Quand un scientifique découvre les vils desseins de la firme pour laquelle il travaille, des hommes de main lui injectent une substance qui le liquéfie, avant de le jeter dans les toilettes. Ils le croient mort, mais il est toujours en vie, enfin, à peu près : le voici réduit à l’état de flaque, mais décidé à se venger de ses agresseurs. Telle est l’histoire racontée dans une intro animée assez glauque, et digne dans l’esprit d’un film d’horreur trashos des années 80.

Dans The ooze, on dirige donc une flaque verte et visqueuse, qui se déplace en glissant sur le sol. Le but de chaque niveau est simplement d’en atteindre la sortie, mais le chemin est régulièrement bloqué, et il faut activer des interrupteurs situés plus ou moins loin pour pouvoir avancer. Entre temps, on affronte des monstres mutants et des dispositifs de sécurité.

Pour se défendre, on peut soit projeter une partie de notre “corps” tel un bras, pour les frapper, soit leur cracher dessus. Un ennemi défait se transforme en substance verte, qu’on peut absorber pour devenir plus grand, et gagner donc en allonge. Par contre, lorsqu’on se fait toucher, on brûle, et notre taille diminue, ainsi que notre allonge. Lorsqu’on est vraiment trop petit, on n’a même plus assez de matière à cracher, et on doit aller au corps à corps. Lorsqu’on est très grand, on est donc aussi puissant que vulnérable. On peut ramasser également ponctuellement des bonus qui augmentent notre vitesse de déplacement, ou nous rend carrément invincible.

Quelque part entre le shoot et l’exploration, the Ooze est donc un jeu singulier, y compris par son esthétique, un peu sombre et un peu glauque. Les décors sont un peu ternes, mais la Flaque est bien animée, et on apprécie de la voir épouser les rebords du terrain dans les passages un peu étroits. La musique est entêtante et participe à l’atmosphère spéciale du titre. Les commandes répondent plutôt bien, mais on éprouve bizarrement parfois quelques difficultés à tirer ou frapper dans le sens de notre déplacement. Le jeu demande un peu de patience et de prudence, mais il n’est pas trop difficile, même s’il n’est pas très fun non plus. Le challenge est suffisament bien fichu cependant pour donner envie d’avancer. Et puis bon, rien que pour son concept, the Ooze vaut le détour.

BIEN

Operation Europe: Path to Victory 1939-45
Koei - 1993



Encore un wargame de Toei, celui-ci étant situé pendant la seconde Guerre mondiale. A la tête des armées des Alliés ou de l’Axe, on est invité à revivre les grandes batailles de la WWII, de la bataille des Ardennes à la prise de Berlin en passant par le débarquement de Normandie.

Après avoir choisi nos commandants à chaque poste (intelligence, artillerie, etc : on peut même prendre de Gaulle !), et après un bref briefing, on doit à la fois gérer le déplacement et l’action de nos troupes, mais aussi leur ravitaillement et la gestion des points stratégiques, comme les villes. Je ne suis pas assez calée en Histoire pour savoir si les enjeux stratégiques des batailles ont vraiment été respectés, mais c’est assez rigolo de devoir défendre Rethel contre les allemands.

Ceci étant, le jeu est incroyablement complexe pour qui n’a pas le manuel, d’une part, et des notions minimales de stratégie militaire, d’autre part, donc après avoir été perdue dans les menus j’ai lancé une partie en mode démonstration : pendant 10 bonnes minutes je n’ai vu que des carrés de couleurs se déplacer sur la carte, avec quelques fois un coup de fil des amerloques me refusant un appui aérien, le tout sur des cartes d’une aridité impressionnante, donc je ne sais finalement pas trop de quoi il retourne. J’imagine que les amateurs des jeux Koei et de la WWII seront contents.

????

Osomatsu-kun: Hachamecha Gekijo- - J
SEGA - 1988



Osomatsu-Kun est un manga humoristique publié dans les années 60, qui a été adapté en série TV en 66 et 67, puis en 1988 et 1989. Ce jeu surfe donc sans vergogne sur ce revival.

Il s’agit d’un jeu de plateforme ultra classique, dans lequel on avance mollement en tirant tout aussi mollement à la fronde sur des ennemis qui ont pour manie agaçante de sauter juste au moment où ils apparaissent, ce qui oblige à reculer pour pouvoir les toucher. La portée de notre fronde est très faible, et il faut quasiment être au càc pour les avoir.

De temps en temps on passe devant des huttes dans lesquelles on peut rentrer, et qui nous emmènent dans une autre portion de niveau, sans qu’on sache vraiment où on est . C’est en partie la faute à des décors minimalistes, dignes d’une Master System. On avance, on touche des ennemis rigolos et débiles, et ainsi de suite. Franchement sans intérêt, Osomatsu-kun est clairement un produit dérivé bâclé.

MAUVAIS
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Pour la petite anecdote, Osomatsu-kun　est un des tous tous premiers jeux sortis sur MD au Japon, je crois meme qu'il est sorti en meme temps que la console.
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Sur mes fiches j'ai 24 Décembre 1988, donc le premier Noël après la sortie de la console.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).