Trop long dans le sens qu'on a des phases en commun dans les 4 scénari, que certains boss reviennent 50000 fois, que dans 90% des cas on ne fait qu'avancer tout droit en lattant ce qui se présente.


Ben si il n'a pas aimé, du coup le lynchage lui parait justifié.

La campagne de Ada m'a particulièrement déçu également:
Des phases d'infiltration à la truelle, 2 fois on pense qu'on va affronter un boss original, et ben non. La 2° fois, le jeu se termine carrément. C'est quoi le contraire d'un climax?

Quel boss revient 5000 fois ? L'Ustanak ? c'est un peu son principe.
Après je vais pas faire ma mauvaise fois et dire qu'aucun boss ne réaparait, mais c'est généralement soit dans une situation différente, soit dans une forme différente.
Hormis effectivement les événement croisé, mais je ne voit pas pourquoi tout le monde fait un foin dessus vu leur faible nombre au final et le peu qu'ils représente sur la durée du jeu.



Ben non pas forcément, en tout cas pas au point qu'il a subit de la part de certain. Quand j'ai lu un critique négatif qui dit : "Le gameplay Tank mode revient à la charge", tu te dit que merde le type n'a soit pas joué au jeu soit il le fait exprès.
Qu'on aime pas est une chose, qu'on dise que c'est la plus grosse daubes de l'univers en balaçant des argument bidon (remember Halo et gamekult qui se plaignait que les ennemis arrivé en vaisseau de débarquement) en est une autre.
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Je viens de finir la campagne de Léon, on enchaîne les morceaux de bravoure, limite on a pas le temps de respirer. J'adore le coup du boss qui veut pas mourir, on se le farcit tout au long du chapitre, ça cite allègrement le cinéma hollywoodien sans vergogne, on en finit sur les rotules.

Cette campagne était excellente de bout en bout, ça commence doucement comme un film de zombie traditionnel, le milieu renvoit à ce qu'on a pu connaitre dans les précédents épisodes et ça finit dans une atmosphère de fin du monde épique avec du spectacle qui n'en finit pas. Et le jeu se renouvelle sans cesse en multipliant les variétés de situation et de gameplay, c'est impossible de s'ennuyer, c'est comme du Resident Evil 4 survitaminé.

En fait, RE6, il faut le mériter à mon avis, rien n'est offert sur un plateau, le jeu offre une mécanique de jeu propre à lui, si tu ne fait pas l'effort de le maîtriser, tu en sors fustré, pestant contre les QTE et les morts évitables. Car j'ai l'impression qu''aujourd'hui, les gens ne savent plus perdre, on a tellement l'habitude que le jeu te prenne par la main, d'avoir la barre de vie qui se régénère automatiquement qu'on accepte plus le game over punitif. RE6 ressemble à un TPS, mais ne se joue pas comme un TPS classique, pour dire, j'ai remarqué qu'on pouvait tirer en marchant qu'au milieu du chapitre 2, c'est pas un besoin que j'ai ressenti manette en main alors que c'est une des critiques qui est revenu le plus dans la saga de Capcom. Le déplacement peut être lent par moment, et il est problématique quand on est envahit par une horde de zombie, mais le jeu propose une solution de gameplay pour ça, mais c'est beaucoup plus facile de pester sur cette lenteur réputée "archaïque", plutôt que lire le manuel. Au final Resident Evil 6 dicte sa loi alors que les joueurs qui le lynchent voudrait y jouer avec les lois des autres TPS (et en grossissant le trait, je dirais que le public s'attend à un gameplay PC avec une maniablité extrême). Ben non, on est sur console, on est dans Resident Evil, une saga qui a toujours imposé ses règles de jeu (et le jeu est assez exigeant à ce niveau là, et ce depuis le tout premier épisode),sauf que avec cette génération où les productions occidentales ont pris le pas sur les jeux japonais, et ben le public a oublié ses fondamentaux.
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Je ne peux qu'appuyer ce qui vient d'être dit ^^
J'ajouterais que le grand nombres d'événements spectaculaires (pour ma part très réussis) sont autant de pied-de-nez de la part de Capcom aux jeux occidentaux dont ce RE s'inspire.
Ce n'est sans doute plus du RE comme en on a connu au début et on peut être déçu de ce que c'est devenu mais en tant que jeu d'action, il se hisse très haut au dessus du panier.

Il n'y a qu'un gros défaut, c'est la caméra qui affiche le partenaire en train de se faire mettre à terre et nous désoriente complètement... mais c'est tellement grossier que je soupçonne un parti-pris volontaire.
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

10h par campagne wai ca fait long. Surtout que y'en a 4. Apres j'ai paas eu l'impression que le jeu se faisait particulierement lyncher.
Le 5 oui mais pas le 6.

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Vous êtes agaçants, entre vos opinions qui me font hyper envie et celles qui confirment ce que j'ai ressenti lors de la démo.

Donc si je comprends bien le jeu repose beaucoup sur les finishers, c'est ça?
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Si ça peut t'aider, je suis en complète contradiction avec tout les posts de cette page. Le 6, on me l'a prêté, j'ai mis un temps fou à le finir parce qu'il me saoulait et que j'étais obligé de faire des mini sessions, j'ai été content quand je l'ai terminé et je pense que même si je tombe dessus à 10€ je ne le prendrai pas. Je le met dans mon top 3 des pires RE avec la version GBC et le Gun Survivor 2 Code: Veronica, voilà!

Oui le jeu se repose pas mal sur les finish moves au corps à corps si on veut pas finir avec les mains vides. Mais ils sont super classes les finish moves en plus, surtout qu'il y en a des contextuels (si le zombie a déjà une arme planté sur lui, s'il est près d'un mur, s'il est déjà au sol etc...). Mais ça consomme de l'endurance donc à utiliser avec parcimonie. Un vrai jeu d'arcade ce Resident!

(Par contre faut l'avouer, il n'a plus rien d'un Survival, même si les moments de tensions et de stress sont toujours là).
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Déjà toute les campagnes ne font pas 10heure et surtout pas la quatrième (tu l'as pas fait, avoue, sinon tu ne dirai pas ça)

Toute les campagnes réunis si tu joue en Veteran, ça te prend quoi ? aller entre 20 et 25h la première fois.
En normal ça doit être encore moins au final.

pas forcément. Mais vu qu'à partir du mode difficile t'es très vite en manque de balle, oui.



Je joue pas en normal. J'ai fais toutes les campagnes, si t'avais regardés le topic où on se la pète, t'aurais vu que j'avais tous les succès du jeu
J'ai fait toutes les campagnes. J'ai commencé par jake pi chris en difficile. Après je suis passé direct en pro pour ada et leon. Pi du coup j'ai refini jake et chris en pro.

Après chacun ses gouts, mais moi je me suis profondémment ennuyé avec ce 6. Le 5 était mieux découpé niveau chapitre, et plus diversifié (rhaaa j'adore les marais). Après y'a de bon trucs dans le 6, du genre la campagne d'ada et la moitié de celle de Léon.
Mais bon le chapitre 2 de jake, celui où t'es de nuit dans la neige, ça m'a donné envie de sortir le dvd et faire du balltrap avec .....

Le mode mercenaire est sympa, enfin les cartes de bases. J'ai été faible et j'ai acheté les autres, et en fait elles sont pas si terribles que ca les autres.
Après comme je disai, envoyez vos scores en mercenaires ^^ j'aime bien refaire ce mode de temps en temps
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En effet, il y a deux sortes de Resident Evil ; il y a ceux qui plaisent à tout le monde, et les autres.

A l'instar du personnage de Sheva et son IA dans RE 5 où il est difficile de trouver deux personnes d'accord, c'est ici tout Resident Evil 6 qui divise les joueurs. Pourquoi ? Certains mettront en avant le coté ringard complet du scénario et des dialogues, bien que la série n'en soit pas à son coup d'essai ; si l'on garde en mémoire l'introduction de Resident Evil 1 ou même le personnage du nain dans RE 4, horripilant au possible. D'autres vous diront que justement, cet aspect est volontaire.

Et je serai plutôt de ces personnes, même si cet aspect commence à m'insupporter. Il y a toujours moyen de faire dans le volontairement mauvais ou cliché, mais à bien y réfléchir, se reposer sur le volontairement mauvais, cela peut parfois se retourner contre soi. En effet, quand on entend Sherry faire la morale à Jake avec des phrases plus stéréotypées que dans un JRPG ou le premier Shonen à la télé, on se dit qu'il a bon dos, le "ringard assumé". Cela devient presque une excuse parvenant à justifier tout et n'importe quoi. Après, chacun trouvera midi à sa porte pour cet aspect qui de toute façon, est secondaire car les dialogues peuvent-être coupés.

On peut aussi se lamenter que les personnage soient si idiots à tomber dans le premier panneau dressé devant eux ou même quand on entend Léon, au service du Président des USA depuis dix ans, demander à Héléna "Comment on sort de la maison blanche ?". On rappelle qu'il travaille depuis dix ans à la sécurité du président. Le jeu fait aussi la part belle aux running gag ou encore au mcguffin, qui consiste à jeter une carotte au joueur, l'incitant à progresser pour qu'au final cette carotte n'ait pratiquement rien, voir rien du tout à voir avec le reste.

Le jeu est également très généreux dans les situations dites du "comme par hasard". En effet, trouver de dangereuses épreuves et des pièges mortels derrière la première porte venue dans une église, c'est à se demander combien de personnes sont mortes accidentellement en voulant visiter cet édifice. Les personnages ont également une chance inouïe de se croiser complètement par hasard en pleine Chine, pays gigantesque s'il en est un (même s'ils ont chacun une raison de se trouver en Chine).

Si l'on fait abstraction de tout ce qui peut être considéré comme de vrais défauts d'écriture ou de game design, les héros ayant d'ailleurs la fâcheuse habitude de marcher sur un sol constamment en carton pate dès qu'il faut fuir ou se rendre à un point précis à moins de dix mètres, sans parler des fumeuses séquences où il faut récupérer trois objets différents pour ouvrir une porte, chose imposée deux fois par personnage dans chaque campagne, on peut y rencontrer un jeu nerveux et défoulant, avec des boss impressionnants et qui refusent de mourir, quitte à poursuivre le joueur plusieurs chapitres durant. Les personnages disposent d'un panel d'action plus riche qu'auparavant, hérité intégralement de l'opus 3DS.

Attention toutefois, à l'instar de BioShock Infinite, le jeu sauvegarde tout seul quand on fini un chapitre, mais parfois, il ne fait qu'un simple Checkpoint et si l'on quitte, et bien, on se retrouve gros Jean comme devant depuis la toute dernière sauvegarde du jeu. Bien rageant, d'autant plus que le symbole de sauvegarde est très discret, il est donc facile de se demander si le jeu a sauvegardé ou non, chaque chapitre pouvant traîner plus d'une demi-heure.
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Bah justement, comment tu peut dire que toutes les campagne font 10heures et encore plus la 4éme... Il y a truc qui m'échappe là.

Tes vraiment une énigme Rainmaker, vraiment ^^

J'avoue être sidéré qu'on attaque "Resident Evil" pour son manque de réalisme... On parle d'une série nawakesque depuis le début, où des types multiplient leur masse par 10 quand ils se transforment en monstres.

En fait, le ton "sérieux" et le manque de fantaisie est un des trucs qui m'ont plombé "Resident Evil Revelations", que j'ai trouvé assez ennuyeux. Alors que le nain est un de mes personnages préférés de "Resident Evil 4", ainsi que le nawak du château, avec les sous-sols avec de la lave, les statues de nain géantes articulées qui nous poursuivent, les pièges à l'ancienne absurdes... je n'ai jamais compris les reproches sur le scénario de "Resident Evil 4", c'est un peu comme si on critiquait le ton de "Force de Défense Terrestre": non seulement le ton référentiel de série B est drôle voire jouissif, mais c'est ce ton qui permet d'avoir toutes les fantaisies d'univers et de gameplay sur lesquelles reposent ces jeux.

Non, ce qui fait que je suis méfiant de RE6 c'est:

- La démo avec le consensus négatif qu'on peut y trouver dans ce topic.
- On se trimballe encore un coéquipier.
- Le jeu a l'air d'être, point de vue gameplay, du genre "on chope le truc ou pas", et le truc en question me paraît encore assez nébuleux.

@Hulk: en même temps, on a tous compris qu'il trouve le jeu trop long par rapport à ce qu'il propose. Il avait dit la même chose pour "Silent Hill 2" alors que c'est un jeu assez court, mais en vécu c'est vrai qu'il est long.
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@Simbabbad :
Surveille GreenManGaming ou Steam, les prochaines promos devraient dynamiter son prix.

En fait, tout ça me fait penser aux Evil Dead. Ces films étaient considérés comme marrants et volontairement nanars alors que ce n'était pas l'intention de départ. Sauf que pour Evil Dead 3, le ton a été volontairement donné (et chez Priba, les prix sont bas. EST-CE QUE C'EST CLAIR ?!).

Tout dépend de ce que tu as pensé de la démo, Simbabbad. Moi j'ai profité de la vente de ma Vita et du fait qu'il était à vil prix à Micromania pour le prendre sur PC, donc bon, je ne regrette pas mon achat mais ce n'est clairement pas mon opus favori, nanar assumé ou pas.
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Je vois ce que tu veux dire, j'ai horreur du ton de "Evil Dead 3" (en même temps, je n'aime pas la série de toute façon), mais je n'ai pas le sentiment que "Resident Evil 4" prenne ce ton avec de grands coups de coude et de clins d'œil façon: "ha ha, on est totalement aware de notre deuxième degré"! D'ailleurs, "Earth Defense Force: IA" fait exactement ça, et ça m'horripile aussi (mais il faut dire que j'ai rarement vu une "suite" passer autant complètement à côté des qualités de l'original, ces types n'ont rien compris à "Force de Défense Terrestre").

Non, j'ai plutôt vu "Resident Evil 4" comme du pince-sans-rire, comme "Chapeau Melon et Bottes de Cuir" ou la vieille série TV "Batman" ou les "Mystères de l'Ouest", où est évident que les auteurs et les acteurs et les réalisateurs savent très bien qu'ils font du deuxième degré, mais où tout le monde joue très sérieusement, et sans que ça empêche les aspects dramatiques de fonctionner.

Et puis, c'est un jeu vidéo, le côté nawak permet aux bases de la séries de fonctionner sur un plan ludique. Si tu passes "Resident Evil" au crible du réalisme, alors tu vires tout ce qui fait la série. Exemple tout bête: rien que le nombre invraisemblable de ganados que l'on tue dans "Resident Evil 4" ridiculise totalement l'organisation que l'on est censé craindre. Beaucoup de gens disent que le ton s'effrite une fois passé le village et qu'il aurait fallu garder le ton d'origine tout le long du jeu, mais le simple fait que l'on survive aussi longtemps en faisant autant de dégâts désamorce le sentiment que l'on a au tout début du jeu. C'est bien pour ça que le jeu le laisse tomber pour changer la formule avec le château, puis qu'à la fin ça soit de la pure adrénaline avec du Rambo.

La démo, comme les autres j'ai trouvé qu'on ne voyait rien et que c'était hyper déplaisant à contrôler. Mais j'ai vu tellement de jeux où il est facile de passer à côté de son trip/fonctionnement...

En tout cas, si je le prends ça sera sur 360, mais avant ça il faut que je joue à "Vainquish", "Lollipop Chainsaw", "Rayman", que je me prenne l'édition anniversaire de "Halo" histoire de voir, etc.
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Je ne sais pas si la série à un sujet dédié, mais ça m'intéresserait que tu développes ton point de vue, au pire dans le topic généraliste 360/PS3.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Excuse moi mais quel moment il pose cette question ? Parce qu'a aucun moment du jeu on ne visite la maison blanche.
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@gregoire01 :
Au hasard, le tout début du jeu avec Léon et Héléna et qu'une porte est fermée.
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Ben non au début du jeu on est pas à la maison blanche, on est même pas à Washington D.C. On est dans un lycée/faculté de la ville de Tall Oaks où le président était en visite et comptait faire une allocution.


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Un autre point intéressant: on ne peut pas suivre l'histoire en jouant. Si on veut comprendre quelque chose, faut aller dans les bonus!