un de mes films cultes
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Un jeu qui ne laisse pas indifférent et qui est polarisant est probablement la marque d'un grand jeu.

Contrairement à la communauté GrosPixels, je n'ai pas vraiment aimé ce jeu.

Il y a évidemment de l'excellent: gameplay de stealth (quand on me laisse jouer), viscéralité des combats, écriture des personnages, variété et rythme que maîtrise ND depuis longtemps, réalisme des environnements traversés jusqu'au moindre détail, etc.

Il y a aussi des choses qui m'ont embêté (mais je suis habitué avec Naughty Dogs): cut scenes incessantes dont certaines sont des force failure frustrantes, dirigisme, séquences très scolaires (là on va te donner des munitions infinies alors que tu as passé ton temps à les économiser parce que l'"on" veut te faire vivre une séquence de shoot), etc.

Mais ce qui m'a réellement gêné, c'est de ressentir pour la première fois un sentiment d'"Uncanny Valley". Les personnages sont tellement réalistes et bien écrits, que je me suis senti violé chaque fois que Joel disait ou faisait quelque chose que je ne souhaitais pas (en tant que joueur).

Je n'avais pas ressenti cela dans Uncharted 2, qui restait dans un univers d'Indiana Jones de série B.

Un jeu comme DayZ (certes hard core et peu accessible) me procure des émotions infiniment plus complexes:
- culpabilité qui me poursuit tout l'après midi, après avoir abattu, dans le doute, un autre joueur.
- reconnaissance éperdue de voir surgir un inconnu des buissons et met en fuite mes assaillants au péril de sa vie, alors que tout semblait perdu.
- Etc.
-> Le permadeath et le jeu multijoueur n'y sont pas pour rien.

Même si cela n'est pas partagé par tous, je préfère de loin un jeu où je suis acteur, plutôt qu'un jeu où je suis spectateur.

Je vois pas trop à quel niveau on est spectateur dans TLOU ?

Évidemment ce n'est pas un RPG donc le jeu n'offre pas la liberté d'un Skyrim, d'un autre côté il n'a jamais été vendu comme tel. Et il reste dans la lignée des précédentes productions de ND, oui il y a des cinématiques mais qui ne sont pas particulièrement longues (elles ne dépassent jamais 5 minutes) et t'as énormément la main, les aires de jeu sont relativement larges et te permettent pas mal de variété dans les approches. Après oui c'est scripté et le déroulement est linéaire mais encore une fois, c'est les codes du genre, c'est pas un open world, ni un RPG.

Je considère que TLOU est l'un des meilleurs jeux, si ce n'est le meilleur, dans son genre: scripté, extrêmement drivé narrativement, drivé aussi dans le level design, et cela c'est moins bien (Ex: la séquence du sniper où lorsque tu es sur le côté, non seulement tu ne peux le buter, car il joue une scène scriptée juste après, mais son fusil tire des balles à 90°).

Je n'ai pas été arnaqué, puisque je connais les jeux de ND depuis belle lurette.
Donc oui, il reste dans la lignée des précédents de cette génération, en mieux.

Une fois de plus, je sais que beaucoup de joueurs ont adoré ce jeu et je ne veux surtout pas cracher sur leur expérience.

Mais comme ce jeu a reçu un accueil critique dithyrambique, je me permets de dire que je ne l'ai pas aimé au bout du compte (et que ce que j'ai préféré, ce sont les phases de gameplay, et pas les séquences supposées me procurer de l'émotion).

ah oui le passage du sniper est extremement chiant.

Je deteste qu'on m'impose une facon de jouer bon sang j'avais des balles, un snipe mais le mec n'existe pas. On te tire dessus par un mec invisible

Bon sinon je suis en train de le refaire en survivant +, c'est vrai que y'a moins de trucs à ramasser, mais bon ayant beaucoup joué en ligne je suis plus à l'aise pour le headshot ^^
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Je viens de le commencer, première partie de 4H, ça doit vouloir dire que j'accroche bien . J'aime la recette de Naughty dog qui mélange narration et phases de gameplay variés avec une entrée en matière progressive, même si l'introduction est ici particulièrement directe.

C'est beau, l'ambiance est terrible, je met juste un petit bémol sur la fluidité parfois limite (l'oeil du PCiste) et le 720p mais j'ai fini par m'y faire sur PS3. La partie sonore m'impressionne, au casque c'est juste Wow! .
J'en parlerai plus une fois plus avancé.

Non mais je comprends qu'on aime pas The Last Of Us, je voulais simplement dire qu'il est fidèle aux codes de ce type de jeux qui visent à te procurer une expérience globale qui mélange narration et gameplay.

Après, perso, j'aime beaucoup la manière donc Naughty Dog gère ce type de jeux essentiellement grâce à leur griffe artistique et visuelle (j'aime surtout le fait qu'ils ne font pas jeux grisouille/maronnasse), mais moi aussi ce n'est pas mon genre préféré (qui reste le RPG occidental & japonais). Et j'avoue que dans le genre très narratif, je préfère la série MGS pour le côté foufou, les scénarios barrés et mine de rien la très grosse liberté d'approche lorsque tu as la main sur le jeu.
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Je l'ai fini, en normal (j'aurai pu tout aussi bien le faire en difficile d'entrée vu le matos embarqué dont 50% de m'a pas servi) mais avec quelques bonnes suées quand même, notamment la partie dans les sous-sols de l'hotel et la phase du sniper bien reloud.

Sinon j'ai adoré comme beaucoup, c'est un ensemble de choses (ambiance, narration, personnages etc...), beaucoup d'autres ont bien argumentés donc je m'appesantirai pas des lignes et des lignes dessus, difficile en effet d'intellectualiser un jeu qui repose beaucoup sur l'affect et les émotions.

Ce que j'en retiens est que finalement les ennemis les plus dangereux et vicelards ne sont pas les infectés (assez rares au final sur l'ensemble du jeu) mais bien les humains dont 90% sont des pillards/psychopathes/tarés abusant de la faiblesse des autres.
Une image déplorable de l'humanité se dégage du jeu, la fin est donc assez compréhensible, le personnage de Joël est finalement des plus humains et ne se pose même pas la question de laisser Ellie mourir sur la table d'opération, il y va direct et tant pis si tout ce voyage aura finalement été inutile sur sa finalité, il ne veut pas la perdre car il a perdu sa fille au début de l'épidémie, déjà à cause d'humains en bonne santé.
Les infectés ne sont pour lui qu'une gêne auquel il s'est adapté, pas directement la cause de son malheur, pourquoi sauver cette humanité qui lui enlèverait pour la 2e fois sa raison de vivre ?
Surtout qu'il apparaît que cette solution de vaccin que les lucioles croient absolument lié à l'immunité d'Ellie n'est pas garantie. Si certains humains développent une résistance naturelle au cordiceps ne vaut-il pas mieux laisser l'évolution faire son oeuvre ? De plus les lucioles pourraient s'en servir comme moyen de pouvoir.
Bien sûr Joel ne pense pas à tout ça sur le coup, il n'est motivé que par le sauvetage d'Ellie et tant pis s'il lui cache la vérité.

Un jeu âpre et sec, comme le sont le film les fils de l'homme (le mouvement des lucioles renvoit directement à l'organisation"Fishes" et la perte de l'enfant au passif du personnage principal) et le roman la Route qui sont les 2 inspirations les plus évidentes. On anticipe même quelques éléments narratifs quand on connait ces 2 oeuvres mais il y a un sens du rythme et une façon de raconter l'histoire très équilibré, rien n'arrive comme un cheveu sur la soupe, tout s'imbrique dans un ensemble très cohérent où seul une ellipse de quelques semaines/centaines de kilomètres arrive vers le milieu de l'histoire (Quand on passe de l'Est des E-U au Wyoming après la mort des deux frères).
De plus c'est pas souvent que l'on peut jouer à un survival avec autant de couleurs chatoyantes, certes il y a nombres d'endroits bien glauques mais aussi pas mal de passages contemplatifs, rarement coucher de soleil fût aussi beau dans un jeu vidéo, l'éclairage et l'agencement des zones visitées donnent un cachet très particulier, il y a un boulot fantastique sur l'esthétique.
Le son n'est pas en reste et j'ai été rarement aussi immergé dans une ambiance tout en bruitages réalistes et musiques très discrètes, la plupart du temps en guitare sèche qui donne une aura tout particulière au jeu. Là dessus aussi le boulot abattu par ND est dantesque, la spatialisation est ce que j'ai entendu de mieux, surtout au casque. Souvent un mauvais pas peut trahir notre présence (une tasse qui roule en tapant dedans), préférez la discrétion au mode bourrin qui se traduira la plupart du temps en une durée de vie de 10-20s.

En partant du principe que je n'aurai pas la chance de faire le jeu avant plusieurs années je me suis enfilé un playthrough intégraaaaaaal sur Youtube. Ça ne remplacera jamais l'expérience vécue pad en main mais malgré tout une bonne partie de la tension reste palpable et pour le versant émotion je pense qu'il reste à 99% intact étant donné que le scénario n'a qu'une issue sans aucun embranchement. Mon plus gros souci aura été de voir le joueur rater autant de drops et d'items pourtant signalés par des icônes ("mais p$*%# t'as des yeux pour voir ou quoi? Files-moi la manette b#£*% que je ramasse tout ce que t'as oublié!" ).

Je vais vite évacuer les petits défauts parce qu'il faut bien en trouver, ceux-ci ont souvent une justification au niveau du gameplay mais en même ils ont tendance à entamer la cohérence:
- un nombre important d'ennemis pourtant armés ne dropent rien du tout
- les persos qui nous accompagnent sont invisibles pour l'IA lors des passages d'infiltration
- ces mêmes compagnons sont d'une aide très relative lors des combats
- l'IA semble avoir du mal à repérer la lampe torche du joueur même allumée plein tube dans le noir complet

Pour les trois premiers je comprends qu'il s'agit de faire que le jeu ne soit pas trop facile en donnant trop de munitions ou en ayant des pnj tellement efficaces que le joueur pourrait se contenter de rester en arrière et les laisser faire mais d'un autre côté il aurait été appréciable qu'ils se creusent un peu la tête pour rendre ça moins voyant. Et le coup des compagnons invisibles pour l'IA, là aussi je comprends qu'il s'agit d'éviter au joueur la frustration de voir ses efforts de discrétion réduits à néant à cause des pnjs mais les voir parfois se tenir en plein milieu du chemin d'un ennemi sans que rien ne se passe ce n'est pas idéal pour l'immersion. Par contre le coup de la lampe torche c'est un défaut sans réelle excuse.

Voilà pour les défaut qui me reviennent en tête. Sinon... quel jeu, quelle écriture et quelle direction artistique! Le monde fourmille de détails, on est certes sur des rails, un seul chemin possible, mais malgré tout on a quand même l'impression d'explorer l'environement, de fouiller chaque recoin pour dénicher du matos. Certes tout est détruit mais la nature a repris ses droits et vient apporter de la vie et de la couleur à ce monde en ruine. Que ce soit les paysages urbains ou la nature profonde (ce passage en hiver sous la neige!) les deux types d'environements sont très réussis et convaincants.

Je recommanderai de sauter le mode normal pour débuter directement dans une difficulté supérieure autrement la sensation de rationnement des ressources risque de pointer aux abonnées absente le jeu étant assez généreux par défaut. Donc pour profiter un maximum du mélange discrétion/combat/Mc Gyver il vaut mieux se mettre un peu en danger et laisser de côté le mode normal. D'autant que les "puzzles" sont loin d'être sorciers (ce n'est ni du RE oldschool ou du Silent Hill).

Le duo Joel/Ellie marche du tonnerre aussi bien au niveau du gameplay que de l'écriture. On a jamais l'impression de trainer un boulet derrière soi (même si le jeu triche un peu comme je l'ai dit plus haut lors des phases d'infiltration), Joel mets d'ailleurs probablement plus de temps que le joueur à reconnaitre l'utilité d'Ellie. Tout se met doucement en place entre eux, et c'est amené sans a coups ni incohérences. Leur psychologie est tout à fait crédible ce qui renforce d'autant tout l'impact émotionnel qui en découle. Joel est impeccable en vie baroudeur désabusé qui n'attend plus grand chose de la vie et Ellie est probablement l'un des persos adolescent les mieux écrit que j'ai pu croiser dans un JV (voir même séries, je la trouve beaucoup plus intéressante que Carl de Walking Dead par exemple), le dernier de ce niveau étant probablement Heather de Silent Hill 3. Le passage en automne-hiver est le grand tournant dans leur relation.

Cette fuite de l'université où Joel se vide de son sang et cette alternance de phases un peu plus tard où l'on contrôle à tour de rôle l'un et l'autre, où l'un sauve l'autre et inversement et re-inversement et re-re-inversement... On brouille totalement les pistes de qui sauve qui, ce qui construit petit à petit tout l'équilibre du couple sans pour autant occulter totalement que Joel est la personne d'expérience et qu'Ellie reste une enfant. Naughty Dog a évité la facilité et a su trouver autre chose pour mettre en avant les failles d'Ellie que d'en faire une petite chose fragile que le joueur prend en pitié.

J'ai trouvé la fin intéressante, ambigüe juste comme il faut d'autant qu'elle joue sur deux niveaux. En fait cette ambiguité se trouve, à mon sens, plus dans le mensonge de Joel que sur le fait d'avoir choisi de ne pas sacrifier Ellie. Personne ne peut affirmer qu'en lui ouvrant le crâne ils auraient effectivement trouvé un vaccin, de plus l'anarchie totale et la loi du plus fort qui règnent dans ce monde post apocalyptique font bien plus de morts que les infectés. Finalement il a choisi l'humanité dans sa forme concrète plutôt qu'un certain idéal de l'humanité. Que vaut un idéal si noble soit-il si en chemin on décide de sacrifier des vies en son nom? A la toute fin le gros mensonge de Joel vient comme un grain de sable dans cette relation profonde qui s'est établie entre lui et Ellie. Difficile de dire si elle y croit ou si elle a vu clair dans son jeu et accepte qu'il juge préférable qu'elle ne sache pas ce qui s'est passé.

Voilà ce sera tout, si vous avez une PS3 ce serait vraiment dommage de passer à côté. Je n'ai fait que regarder quelqu'un d'autre jouer et pourtant les sensations étaient là, je pense que ça en dit long sur les qualités de ce jeu.

Juste pour savoir: pourquoi? Si ce n'est pas indiscret.


Bien qu'adulant (réellement) ce titre terriblement marquant, je n'ai jamais réussi à comprendre comment on peut vivre ce genre de sensations en regardant un playthrough, et ce aussi bon que soit le jeu.

Contrairement à un film où on est spectateur et où la production a conscience que sa clientèle ne peut jouer aucun autre rôle, le jeu vidéo cherche à impliquer son consommateur dans l'histoire qu'il retranscrit, et dans un jeu comme The Last of Us, il y a (à mon sens) énormément de passages qu'on ne peut pas appréhender autrement qu'avec une Dual Shock dans les mains. J'ai du mal à imaginer qu'on ne passe pas totalement (ou tout du moins en grande partie) à côté de cette sensation si particulière que ce jeu peut offrir pad en mains.
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Déjà le jeu ne brille pas spécialement par un gameplay bouleversant les codes du genre.
Son intérêt réside surtout dans l'écriture (malgré sa linéarité) et de l'interprétation des acteurs.
Au pire, le simple spectateur perd le plaisir de visiter les ruines boisées ou de jouer à l'indien car le reste des actions restent du gunfight et cache-cache connus dans d'autres jeux.

C'est un jeu qui se regarde très bien ^^
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

Parce que la PS3 ne sera probablement pas mienne avant un moment.


Je n'étais pas aussi impliqué que si j'avais le pad en main mais le fait que l'auteur de la vidéo fasse des erreurs a paradoxalement des effets positifs et te replonge dans l’ambiance "jeu vidéo" et t'évite de t'installer dans un statut de spectateur de cinéma : "non mais tourne là, t'as pas vu qu'il est derrière?" "T'ain mais y'a un gros icône là pourquoi tu cherches ailleurs?".

Et j'ai opté pour un playthrough commenté parce que ça permet d'avoir une partie du feedback qui ne passe pas à l'image: les remarques sur la prise en main, le questions formulées à haute voix genre "bon je fais un cocktail molotov ou bien une trousse de soin?" aident à se faire une idée de ce qui se passe quand on a le contrôle et de comment le jeu se comporte. Mais j'en ai essayé plusieurs avant d'en choisir un parce que j'en voulais un discret (càd surtout pas un gars qui pousse des "oh my god" toutes les deux minutes, la séquence d'intro musclée permet de repérer très vite ce genre d'animal), quelqu'un qui intervient à bon escient et laisse respirer le jeu.

J'ai profité d'une promo amazon pour ce tout dernier jeu physique que j'achète sur cette génération de console.

J'ai beaucoup aimé les 2 dernier Uncharted, et les vidéos m'ont vachement fait envie.

Maintenant reste à trouver des moments où je suis seul devant la télé, parce que ayant les vu les vidéos le "-18" me semble entièrement justifié.
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Oui il y a des moments bien violents, qu'ils soient visuels ou psychologiques d'ailleurs.
J'aurai du mal à y jouer en cette saison, il me faut du jeu "blue sky" à cette époque de l'année.

Si tu as aimé les uncharted tu ne devrais pas être trop dépaysé sur certains aspects du gameplay, l'écriture est par contre d'un tout autre niveau même si la série d'action de ND ne prétend à rien d'autre qu'être de l'aventure pulp.

Avec Last of Us attention à l'ascenseur émotionnel.

J'ai fait l'intro du jeu.

C'est ultra triste
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l'intro après ca va mieux

Ma fille l'a vu l'intro, j'ai du lui expliquer que dans la vie y'a des gens qui sont mechants gratuitement...
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Oui enfin elle faisait quoi devant la télé pendant que papa joue à des jeux violents?

bah c'etait pas censé demarrer si violemment

Et pi bon elle veut absolument voir les jeux de zombis
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The Last of Us n'est pas un "jeu de zombies".
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+1
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