L'ayant trouvé en solde pour 20€, j'ai chopé le jeu.

Je viens de faire une petite session de 2h.

L'intro est très belle et très cinématographique, on sent que ça pas être la joie pendant tout le jeu.

Techniquement, c'est ultra-beau, c'est apocalyptique tout en restant bien coloré (le Soleil est encore là quoi), et ça reste assez fluide.

Par contre, pour le moment, je ne suis pas fan du gameplay, je trouve que c'est à la fois un peu rigide et pas super intuitif. J'ai le souvenir d'avoir ressenti la même chose lorsque j'avais essayé Uncharted, donc voilà, il va peut-être falloir un peu de temps pour que je choppe le truc, mais dès qu'il y a des phases d'action, je m'emmêle un peu les pinceaux.

Et pour le moment, je trouve le jeu vachement scripté. On verra par la suite.
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Comme je l'ai récemment évoqué, j'ai refait The Last of Us pile un an après l'énorme sensation qu'il constitua dans ma vie de joueur, bénéficiant des mêmes conditions idéales qu'à l'époque — à savoir seul chez moi, disposant de quatre jours d'affilée entièrement libres pour ne faire qu'y jouer. L'objectif était cette fois de faire le titre en mode Survivant, essayant de collecter éventuellement davantage d'artefacts et d'upgrader encore mieux mon équipement, mais clairement pas encore de m'adonner délibérément à la quête des 100%, que je comptais réserver à ma troisième partie, en mode "New Game +".

Même si je m'étais très régulièrement réécouté la bande son d'exception de Gustavo Santaollala et avais deux ou trois fois ressorti le jeu le temps de sélectionner un chapitre précis pour en faire une petite démo rapide à des amis, je n'y avais clairement pas rejoué, et appréhendais un tout petit peu de le relancer. Allais-je voir mon enthousiasme démesuré retomber et faire baisser ce titre dans mon estime, me rendant compte qu'il n'était pas si exceptionnel et à part au final? Ou bien allais-je retrouver les sensations d'il y a un an, et confirmer que non, je n'avais pas exagéré mon ressenti de l'époque? Pas la peine de tergiverser: je crois que je l'aime encore davantage. Je maintiens absolument tout ce que je pensais de positif sur ce titre à l'époque, et ayant joué en Survivant, j'ai pu appréhender un degré de difficulté supplémentaire, sans mode écoute, avec des possibilités de craft encore plus limitées, et une IA plus agressive même si toujours intellectuellement limitée, ce qui à mon goût demeurera la seule réelle fausse note de cette partition d'exception que Naughty Dog a récitée.

The Last of Us est vraiment un titre unique dans l'histoire de cette génération, et peut-être même bien du jeu vidéo, tant il a réussi à synthétiser avec perfection ce que si peu sont parvenus à faire déjà "juste bien" : le plaisir de jouer à un titre aux éléments de gameplay intuitifs et d'une variété raisonnable, lié à cet aspect purement immersif, émotif, que confère une partie cinématographique réussie. Entre mes deux parties, j'ai vu 28 Days Later et sa suite, ainsi que la première saison de The Walking Dead, que j'ai adorés. J'ai pu davantage appréhender ces influences évidentes sans pourtant ressentir de plagiat, en tout cas pas autant qu'un Heavy Rain avait pu se le permettre vis-à-vis d'œuvres telles que SAW ou Se7en. Visuellement, c'est vraiment le jeu le plus détaillé et sans doute le plus beau jamais vu dans ce style. L'atmosphère est encore plus soignée que partout ailleurs et le jeu sait offrir un dépaysement incroyable en permanence. L'écriture de chaque personnage, principal ou secondaire, n'a pas vraiment d'égal, et clairement pas chez les "concurrents" se prenant trop au sérieux — et ce même si j'ai quand même, à titre purement personnel, été conquis par Jodie Holmes dans Beyond: Two Souls. La montée en puissance de la tension narrative demeure incroyable même quand on connaît déjà l'histoire, et je me suis surpris à terminer les toutes dernières minutes du titre en tremblant, tant l'expérience était devenue oppressante à la perfection. Et j'ai bien failli en arriver aux larmes sur la séquence finale, qui laissera quoi qu'on en dise une boule incroyable dans la gorge, et ce même lorsqu'on la vit pour la seconde fois.

Comme prévu, j'en ai chié de chez chié en Survivant. J'ai dû apprendre à encore davantage contourner le combat à plein de reprises, et perdu de longues (dizaines de) minutes sur certaines phases contre les chasseurs et/ou les infectés, mais étrangement pas toujours celles que j'appréhendais le plus après ma première partie. Cette seconde expérience m'a également grandement enseigné l'usage de certains types d'objets à confectionner, comme ces bombes de fumée que j'ai (à mon sens) eu l'intelligence de conserver à partir d'un certain moment pour m'assurer une certaine couverture lors d'un passage bien spécifique du titre. L'expérience me donna raison. Plus que jamais, The Last of Us est un monument du jeu d'action orienté survie, mais un monument du jeu vidéo tout court. C'est évidemment un de mes trois titres favoris de la génération, et je pense qu'il a sa place à l'aise dans un top 10 toutes époques confondues, même si cela n'a jamais trop eu de sens pour moi — raison de plus pour que mon top 3 "all-time" soit constitué de trois titres SNES, en fait. Et je ne l'ai toujours pas fini à 100%, ni testé son mode multijoueur.

Venons-en justement aux perspectives d'avenir. Je prévois très prochainement de me lancer dans un "New Game +" qui aura pour but de compléter les améliorations de capacités et d'armement de Joel, mais aussi de partir à la quête de tous les collectibles et ce très probablement assisté du guide officiel du jeu... afin que celui-ci, étonnamment rare en français, et de ce fait déjà très (sur?)coté, ne me serve pas que d'article de collection. Puis je tâterai de ce online qui ne m'attire pas plus que ça, en souhaitant le même niveau de révélation. Après tout, The Last of Us était un jeu sur lequel je n'avais pas prévu de me précipiter, que je pensais "juste bon", avant d'en lire les premiers tests. Mais surtout, en attendant, j'ai profité d'une jolie promo en soldes pour me prendre un season pass neuf à 5 €, récupérer de fait tous les DLC multijoueur... et Left Behind, que j'avais prévu de me faire peu importe comment je me le procurerais.



J'avais réussi à me garder de tout spoil concernant ce DLC solo dont je ne savais du coup absolument pas quoi attendre. En fait, je savais juste qu'il s'attarderait sur Ellie et son amie Riley, détail m'étant revenu à l'esprit lors de ma seconde expérience lors du passage spécifique où Ellie l'évoque. J'ai eu la surprise de constater que ce DLC mêle en réalité deux périodes de l'existence d'Ellie, dont une faisant le lien entre deux chapitres de The Last of Us. Pour être tout à fait honnête, j'aurais trouvé cette dualité temporelle tout à fait dispensable si, une fois de plus, les transitions et les liens évidents entre les deux lignes scénaristiques n'étaient pas habilement écrites. Il en résultera principalement un degré d'attachement supplémentaire au personnage d'Ellie, qui est définitivement un des personnages de jeux vidéo les mieux écrits et interprétés de tous les temps, qu'on est content de diriger et d'utiliser comme seul et unique personnage jouable dans ce DLC. Mais la découverte de Riley et de la camaraderie unissant les deux adolescentes est un véritable bonheur tant la partie qui en traite offre une nouvelle dimension à cet univers d'horreur et de désolation qu'est Boston quasi abandonnée et envahie d'infectés. Accompagner ces deux amies au travers de dialogues empreints de légèreté et d'humour donne une toute autre saveur à l'atmosphère d'apocalypse et ce sans jamais donner l'impression de trahir le concept initial. Niveau écriture, une fois de plus, c'est un succès retentissant.

La partie action/survie se ressentira davantage dans la fameuses ellipse narrative du scénario principal que l'on vit en compagnie d'une Ellie seule contre tous. Si cette séquence s'avère légèrement dispensable comme mentionné plus haut, elle a le mérite d'introduire des mécaniques de gameplay différentes sans pour autant apporter le moindre nouvel élément. En effet, c'est davantage dans l'appréciation des phases d'infiltration et de combat que les choses vont changer, car la faiblesse physique d'Ellie, l'absence d'un PNJ allié ainsi que la quantité famélique de munitions (je l'ai fait en Survivant direct) sont autant de contraintes qui vont rendre l'élimination d'un groupe entier d'ennemis impossible. Si l'éloignement de ces derniers de la sortie à atteindre demeure une solution, cela ne va pas marcher à tous les coups, et il faudra notamment attirer chasseurs et infectés dans la même zone pour déclencher une baston générale sous forme de diversion, et s'échapper rapidement à côté sans regarder derrière soi. Personnellement, en plus d'avoir trouvé génial que cela puisse se faire (j'ai une fois de plus sous-estimé l'intelligence du jeu...) cela donne envie de retourner illico au jeu principal pour voir si l'on peut y tenter les mêmes techniques pour "contourner" certains passages délicats.

Left Behind trouve évidemment le moyen de se conclure avec une émotion à son comble et une scène aussi surprenante que géniale — que je tairai — qui réussit à répondre à une interrogation qu'avaient pu se poser pas mal de joueurs. Il a hélas également la mauvaise idée d'apporter une ou deux questions de plus et ce n'est pas la légèreté des scènes vraiment fun entre Ellie et Riley qui nous fera oublier qu'il demeurera un élément laissé dans le vague. Cependant, cela reste de moindre importance, et The Last of Us avait entre autres construit son incroyable réussite narrative sur la forte portée de ses nombreux détails suggérés et/ou inexpliqués, à des années lumière de quelconques incohérences ou trous scénaristiques aussi insupportables qu'inexcusables auxquels nous avons bien trop été soumis sur cette génération. Au final, ce DLC se range dans la catégorie des rares contenus additionnels de qualité, prolongeant une expérience unique avec beaucoup de qualités, conservant l'esprit d'origine tout en apportant une nouvelle touche aussi inattendue que savoureuse. Naughty Dog a trouvé le moyen, en plus de concevoir un jeu d'exception, de le compléter d'une extension de très bonne facture, à laquelle on n'a même pas envie de reprocher de ne pas s'être trouvée incluse au titre principal dès le début tant ça n'aurait pas eu de sens. Toute la portée narrative de Left Behind réside en effet dans sa position d'add-on, qui n'aurait aucun intérêt pour quiconque n'ayant pas vécu l'aventure épique de Joel et d'Ellie avant. Et ça aussi, c'est très rare, et cela confirme le statut quasi unique de l'univers de The Last of Us.
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Je suis super d'accord avec toi.
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http://www.gaming-grid.net/

Merci, mais on l'est (très) souvent, non?
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Mario86 tu sais dire parfaitement ce que je ne peux exprimer à cause de mon inculture littéraire.

Par contre je ne vois pas à quelles questions en suspends tu fais allusions dans ta conclusion concernant LEFT BEHIND?


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Ce genre de feu, il est très difficile de l’éteindre. Les tendres rameaux de l’innocence brûlent les premiers. Puis le vent se lève, et toute bonté est alors en péril

Ratatata: Nikeleos vous êtes vraiment étrange dans vos réactions

Merci

C'est quand même triste de voir le nombre de fois où on me fait ce genre de commentaire super sympa, et me dire que je n'aurai jamais ma chance dans le milieu rédactionnel



On ne sait au final rien de comment s'est "finie" l'existence de Riley, ni à quel moment précis Ellie a compris qu'elle était immunisée. On peut essayer de le deviner, et je pense que c'est probablement voulu pour faire travailler l'imagination du joueur, mais c'est un poil frustrant. En outre, en refaisant le jeu après Left Behind j'ai trouvé une petite incohérence: lorsqu'Ellie rencontre David, ce dernier lui dit que tous ses hommes ont été massacrés "dans les environs" par un cinglé accompagné d'une petite fille. Il est évident qu'il ne fait pas référence au campus universitaire mais bel et bien au centre commercial, où Left Behind nous révèle que c'est Ellie qui les a tous tués, puisque Joel était enfermé agonisant derrière le rideau de fer d'un magasin.

Après, ça demeure très, très futile, fort heureusement.
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Je ne suis pas d'accord avec toi sur la nécessité de montrer le devenir de Riley, l'impact avec cette fin pudique est beaucoup plus fort ainsi et ne manque absolument pas, bien sur c'est subjectif

Et je ne suis pas d'accord non plus avec ton incohérence sur la phrase de David. Quand tu joues au jeu la première fois tu associes sa réplique à l'université et pour moi le DLC ne change pas ça, ils sont à la recherche d'un furieux et d'une gamine sauf qu'ils ne tombent que sur la gamine.
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Ce genre de feu, il est très difficile de l’éteindre. Les tendres rameaux de l’innocence brûlent les premiers. Puis le vent se lève, et toute bonté est alors en péril

Ratatata: Nikeleos vous êtes vraiment étrange dans vos réactions

Ouais, t'as sans doute raison sur les deux, je me pose trop de questions.
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Bonjour à toutes et à tous !

Je me suis pris une PS4 et vu qu'il n'y avait plus de pack inFamous, je me suis retrouvé avec un pack... The Last of Us Remastered (du coup, l'original sur PS3 est parti chez Madame Occasion).

Par rapport à l'original, il y a quelque chose qui choque immédiatement : le loading du lancement est vachement long. Genre deux / trois minutes. Je suis sur PS4 ou bien ?

Je me dis alors que le jeu doit surement installer quelque chose. Je regarde dans les paramètres de stockage : ah oui, effectivement, le dossier de The Last of Us fait 48... 4... 48 Go. Bon, passé cette énorme installation finalement très rapide compte tenu de la taille du jeu, je lance le jeu.

Je n'ai pas encore uploadé de vidéos sur Twitch et autres mais ça va surement arriver bientôt car je retrouve exactement les mêmes problèmes que sur PS3 (ça fait bizarre du coup) :

- Pendant la fuite du prologue, parfois, le frangin de Joel ne le suit pas à certains endroits et du coup, les scripts se déclenchent en retard et le décor ne s'affiche plus. Si on revient sur ses pas, ils se lancent n'importe comment (ce qui équivaut à une mort - oui on peut mourir dans le prologue).
- La scène de dialogue entre les hommes de main de Robert et Tess a toujours un retard vocal de trois secondes. D'autres dialogues du début sont concernés.

C'est quand même un peu dommage. Sinon, le portage est de toute beauté. Mon oeil habitué n'arrive plus à faire le distinguo entre cinématiques rendues avec le moteur du jeu et temps réel, en plus en 1080p/60 FPS. Une grosse partie des textures sont 4x plus détaillées, les "chargements" sont quasi inexistants tant la console envoie les données à la volée.

Je me refais le jeu en Difficile pour le moment et j'attaquerai ensuite Left Behind et peut être le multijoueurs. Quelqu'un y a joué d'ailleurs ? Ca donne quoi ?

Bonnes vacances à tous au fait !
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Un petit exemple de glitch dans The Last of Us :


Le Néant de l'Histoire Sans Fin est en Guest Star dans TLOU:R.


Et voilà ce qui se produit peu après.

Et le mode photo du dernier patch est très sympa :


Les Lucioles ? Sans espoir.


Bill a une passion pour les "Ours" (non, je ne citerai pas ce que dit Ellie à la fin de ce chapitre ! ^^).


Ainsi qu'un pays mal orthographié dans la liste des DLC du mode multi (les objets peuvent aussi être obtenus ingame) :


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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Je pense surtout que la caractère spécial qu'est le "ç" a été zappé lors de l'encodage des caractères, plutôt qu'une faute d'orthographe.
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Je me suis refait ce jeu magnifique dans le cadre d'une session quasi improvisée chez un pote qui a la PS4, la version Remastered et une excellente connexion.

Le but? Que mon tout premier contact avec une PS4 constitue un speedrun totalement improvisé sur un jeu que je connais certes bien, mais que j'allais pour le coup totalement redécouvrir sous l'angle d'un run. Et surtout, streamé, avec mes commentaires live et ceux de mes potes derrière, donnant lieu à un concours de blagues foireuses et de hors-sujet total, avec parfois de la musique complètement improbable derrière (on en est même venus à passer "Balance-toi" de Tony Parker à un moment, vous voyez le niveau... ).

J'ai fini le jeu, en mode facile certes, en tout juste 6 h 08, sachant que le finir dans les 5 heures et quelques n'aura rien d'un défi, et que je réessaierai sur PS3, pour la blague. Cela tue totalement le côté immersif mais ça a eu le mérite de me faire réfléchir en live à des stratégies d'approche m'ayant permis de totalement contourner certaines phases de gunfight avec brio.

Par contre, je n'ai pas trouvé le jeu "plus beau", ayant joué sur un écran HD 24" (voire 21"?) de PC, et il faudrait que je le teste sur une TV de résolution égale ou supérieure à la mienne (37") pour voir si vraiment, on a gagné à ce niveau. Et sinon, c'est fluide, super fluide, même. Seulement, le 60fps sur ce style de jeu me déplaît toujours autant, je préfère une animation un peu "saccadée" que ce trop-plein de fluidité que j'ai toujours détesté sur les jeux autres que des titres purement cartoon dans la direction artistique. Oui, je n'aime pas le combo photoréalisme + 60fps. Je n'aime pas non plus quand ça rame trop (style GTA IV par moments), mais les 30fps constants de la version PS3 me convenaient en fait davantage.
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J'ai fini Left Behind il y a peu et j'ai vraiment adoré.

J'adorerai voir ton speed run ! Tu as un compte Twitch ?
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Oui, j'en ai un, mais je l'ai fait sur la PS4 de mon pote.

Je n'utilise mon compte twitch que pour de la SNES (en l'occurrence pour des sessions de Time Trial sur SMK et un speedrun "any% single segment" sur Yoshi's Island).
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Naugthy dog a pensé à toi, il existe un mode 30fps dans la version PS4 pour ceux qui aime les rendus + "saccadé"
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- Quelle horrible nuit pour faire les courses !
S. Belmont

C'est sérieux?

On est donc suffisamment nombreux à ne pas pouvoir blairer le 60fps dans les jeux "réalistes" ?
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Longtemps après tout le monde, je m'attaque à Last of US et pour le moment (le jeu m'indique 56% de complétion pour une dizaine d'heures de jeu), le jeu me laisse de marbre. Non pas qu'il soit mauvais (on sent le boulot derrière) mais il n'est tout simplement pas pour moi.

Deux aspects qui ne passent pas :
- le rythme plombé par le besoin de fouiller partout pour trouver des ressources
- l'aspect die&retry des séquences contre les infectés. Je suis sans doute mauvais mais autant j'arrive à gérer les chasseurs autant je crêve contre les infectés jusqu'à trouver la bonne séquence de déplacement/kill d'infectés.

Quand je vois régulièrement des commentaires comme "un jeu que tout possesseur de PS3 doit avoir", je me dis qu'il y a du y avoir des déçus parce que c'est un titre très particulier. Je doute qu'on puisse le conseiller aussi simplement. Un Uncharted me semble beaucoup plus fédérateur.

Je vais le boucler parce que, malgré tout, je veux connaître la fin. Mais je doute de le reprendre plus tard pour le mode survivant et survivant en new game + pour le platine).

Je viens de finir Last of Us sur PS3. Je l'avais acheté il y a un an, j'ai laissé tomber à peu près au 1/3 pour diverses raisons (principalement manque de temps pour jouer sur PS3 vu qu'elle sert avant tout comme lecteur blu-ray) et je n'y ai plus vraiment repensé jusqu'à il y a quelques jours.
Donc en une semaine, avec bonus à la maison pendant 2 jours pour cause de gastro, j'ai pu finir les 2/3 restants et arriver à la fin.
Tout le monde sait qu'il est beau, je ne reviendrai pas dessus. Ce monde désolé est impeccablement retranscrit, mention spéciale au passage des girafes (ceux qui l'ont vu sauront de quoi je parle).
La fin est "pénible" dans le sens où elle peut être interprétée de plusieurs manières, au final chacun se fera son opinion. Personnellement, j'ai beaucoup aimé, et je peux dire sans spoiler que si ç'avait été une de mes filles à la place d'Ellie j'aurais fait exactement pareil. J'ai fureté sur le net pour trouver des explications et je comprends qu'on puisse être déçu, comme je l'ai lu plus tôt dans ce topic. Il n'en reste pas moins que la relation entre Joël et Ellie d'une part, et celle entre le duo et le monde autour d'eux d'autre part, sont fantastiques de justesse et d'émotion. C'est la grande force du jeu, je ne suis pas près de l'oublier.
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JPB,
tombé dans les jeux vidéo depuis TRON

J'avais laissé le jeu en plan, pour finalement le recommencer à partir de zéro il y a peu.

Je vais pas revenir sur les qualités techniques du jeu, il est vraiment magnifique, l'un des plus beaux de sa génération. La direction artistique est assez exceptionnelle, avec une très grande variété de décors, une musique qui colle parfaitement à l'ambiance désertique et post-apocalyptique de l'intrigue, et la modélisation des personnages est impressionnante de justesse. Rien que pour son statut de blockbuster ultime de la génération PS360, il mérite d'être joué.

Cependant, il y a pas mal de choses qui m'ont agacé, comme un gameplay pas tout le temps adapté. Les armes à feu sont vraiment horrible à utiliser à courte distance (surtout avec les humains surarmés qui sont difficile à maîtriser, le corps à corps ne marche pas bien, et le système de tir est hyper frustrant). Du coup, il y a pas mal de die and retry, mais c'est du die and retry qui tape sur les nerfs tant on maîtrise mal la visée parfois. Ça et le fait que quand on est dans une phase d'action, on a parfois l'impression que les ennemis peuvent débarquer de n'importe quelle direction, sans indication, donc on subit énormément le die and retry. Par contre, tout ce qui concerne les infectés et les claqueurs fonctionnent très bien, on sent la menace qu'il représente, et quand ça débarque en masse, la tension monte vite!
J'ai également trouvé le système de crafting mal utilisé, on ne ressent pas vraiment les bénéfices sur les armes augmentées (je suppose que ça fonctionne mieux en new game + avec un niveau de difficulté plus élevé, j'ai fait le jeu en mode normal), et surtout, il n'est pas du tout intégré dans le jeu, ça se résume à des items à ramasser qui sont placés un peu n'importe où, c'est une raison artificielle pour pousser à l'exploration des décors. C'est d'ailleurs la seule chose qui nous dévie de la linéarité du jeu, c'est maigre et facile pour augmenter artificiellement la durée de vie.

Je suis également un peu déçu par l'histoire. Enfin, déçu est peut-être un peu fort, mais je ne l'ai pas trouvé exceptionnelle, ni l'écriture des personnages. J'ai sans doute trop regardé de films de zombies ou de post-apo pour ne pas être surpris par les enjeux, ni la conclusion. En fait, je n'ai pas réussi à m'impliquer sur le sort des personnages, durant tout le jeu, j'avais la fâcheuse impression d'être spectateur de tout ça, le pire moment étant la séquence dans la salle d'opération, où le jeu nous propose tout simplement un non-choix, ça tombe complètement à plat, le dilemme moral est à peine posé et puis basta, c'est plié, c'est bien trop directif à mon goût.

J'en ressort avec un avis mitigé, le jeu est superbe et tient bien en haleine, mais j'ai vraiment du mal avec les jeux Naughty Dogs. Les Uncharted et Last of Us sont des excellents jeux, mais ils ne peuvent prétendre au summum parce que à chaque fois, j'ai le sentiment que leurs jeux sont plus des "films intéractifs", une histoire avec un décor et des personnages auxquelle on a essayé de poser des éléments de gameplay pour qu'on puisse la dérouler en jouant, mais la sauce ne prend pas parfaitement, tout est scripté, les sensations de jeu sont au second plan par rapport à la narration.

En fait, les jeux Naughty Dogs, c'est de très bons blocbusters casuals, c'est très agréable à suivre mais l'expérience de jeu en lui-même reste un peu trop bancal. Ce sont tous de très bons (voire très très bon) "jeux", mais que je ne pourrais pas les porter au rang de chef d'oeuvre vidéoludique à cause de leur mécanique de jeu.

Il me reste à faire Uncharted 3 pour finir les Naughty de la génération PS3.





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ça y est The last of us part 2 est annoncé et j'avoue que je suis mitigé. Ravi de retrouver ces personnages uniques, mais en même temps le premier opus se suffisait à lui même. J'attends de voir
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Ce genre de feu, il est très difficile de l’éteindre. Les tendres rameaux de l’innocence brûlent les premiers. Puis le vent se lève, et toute bonté est alors en péril

Ratatata: Nikeleos vous êtes vraiment étrange dans vos réactions