Ah moi j'ai essayé la démo. Tu sais à quel point j'ai été déçu par le premier, mais vu comme je vénère la version Amiga et que j'ai l'esprit scientifique... Et bien, ça a l'air exactement pareil avec quelques gadgets, comme les stations de tir qui changent l'angle de vue.

De toute façon avec une non visibilité pareille ils ne peuvent pas faire revenir le gameplay labyrinthe du premier. Enfin j'imagine que tu as joué à la démo aussi...
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Au fait personne n'a choppé Hydrophobia ? j'ai testé un peu la démo et je suis plutot mitigé. Ca part direct dans l'aventure sans explication.
Après je suis convaincu que la démo n'est pas representative du jeu, mais je suis pas trop chaud pour tenter l'aventure à ce prix là
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J'ai testé Hydrophobia rapidement. Je trouve ça sympa mais les contrôles répondent vraiment étrangement, sans parler de l'animation de l'héroïne.

Il y a comme une lourdeur quand elle commence à avancer et ses mouvements sont un peu hachés je trouve. Enfin, l'image est très floue (cette fois ci sur ma télé, pas sur mon 23" que je dois régler).

Rapidement, c'est un mélange entre Prince of Persia et Gears of War (Uncharted) mais avec une physique des fluides juste énorme.
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Pour toi forum de Grospixels, j'ai terminé Hydrophobia.

J'étais très attiré par le côté survival à l'ancienne avec l'accent mis sur la catastrophe aquatique. Côté old-school, le jeu ne met pas longtemps à se montrer à la hauteur de sa réputation, avec des dialogues dans la veine des premiers Resident Evil Les comédiens sont tous plus mauvais les uns que les autres mais je ne suis pas sûr que ce soit un "hommage", hélas.

En effet, le scénario essaie de se donner une consistance et un fond, avec ses multiples références à Malthus... sauf que finalement, ça n'apporte rien, on est juste en face d'un schéma classique de terroristes très très méchants qui parlent avec un accent. Et en plus c'est très mal raconté, avec abus de documents textuels éparpillés de façon saugrenue dans les décors.

Comble du mauvais goût, le jeu se termine sur un bon gros À SUIVRE... alors qu'il n'y a pas véritablement d'enjeux en suspend et que l'insupportable sidekick de l'héroïne peut bien se faire buter par les Malthusiens... par contre, dommage : on devine une intrigue par rapport à la phobie de l'héroïne, de très rares passages essaient d'utiliser ça et on aimerait en apprendre plus. Mais non.

Bref, pour ce qui est du jeu lui-même, je me suis souvent énervé à cause du manque d'indications sur la marche à suivre (la carte est horriblement mal foutue) ou sur des indications absolument pas claires... mais finalement, c'est un côté que j'aime bien, il faut pas mal expérimenter, se démerder... et quand on trouve enfin on est tout content. Ça m'a pas mal rappelé le Alone in the Dark de Eden dans ce sens là. Enervant sur le coup mais débouchant sur une expérience assez unique. D'ailleurs Alone avait aussi des séquences "catastrophes" (pas aquatiques mais bon) et des combats limite injouables ^^

Bref, c'est pas vraiment maîtrisé comme jeu, il y a de bonnes idées sous-exploitées, mais au moins ça tente un peu. Finalement, le flow est plus dans la veine d'un Tomb Raider en huis-clos que d'un survival (c'est assez Die & Retry, et on doit traverser des tunnels inondés avant de mourir noyé).
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Si loin une roue

C'est un des points périlleux des survivals, si on meurt trop souvent la peur de la mort s'estompe, le jeu perd énormément en puissance suggestive et son atmosphère pesante laisse la place à un challenge classique mais dénué de la tension qui fait la marque du genre, ou tout bêtement à de l'agacement si en plus le gameplay est mal foutu. Le mieux pour maintenir le joueur dans l'illusion est de le laisser penser que la mort puisse le surprendre n'importe quand mais que dans les faits celle-ci intervienne le moins souvent possible, pour ne pas briser le rythme et l'atmosphère. Mais après on se heurte aux critiques classiques: manque de durée de vie, trop facile etc... Un bon survival qui soit fort sur ces deux tableaux à priori contradictoires c'est pas facile à faire.

Je suis complètement d'accord avec toi. Le but d'un survival, c'est d'entretenir la peur de la mort chez le joueur. Si l'on meurt 50 fois pendant la partie, on n'a plus peur de mourir, on n'a juste pas envie de se retaper le même parcours depuis le dernier checkpoint.

Certains jeux parviennent particulièrement bien à maintenir cette peur, même si le joueur ne meurt pas souvent voire jamais. Ils le font généralement à l'aide de l'ambiance (bruitages, décors) ou du manque de moyens disponibles (munitions, etc.). L'ambiance, c'est évidemment essentiel dans un survival, mais je trouve que le manque de moyens est encore plus important. Si l'on a trois balles de pistolet en poche, on a toujours peur de se retrouver devant une foule d'ennemis, même si ce cas de figure n'arrive jamais au fil du jeu. Un jeu comme Alan Wake est particulièrement bien étudié sur ce plan. Dans Alan Wake, il y a des moments où le joueur ne dispose d'aucun moyen de défense et part donc vers une mort certaine s'il ne trouve pas d'armes ou de lumière. Bref, on court comme un dératé pour trouver une arme même si l'on sait que l'on passe forcément à côté d'objets secondaires. C'est délicieux comme sensation.

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J'ai terminé il y a peu Hydrophobia sur ma 360, cette exclu XBLA qui avait tant fait parler d'elle, vu qu'elle était la vitrine technologique d'un moteur gérant les fluides, le Hydro Engine.

Alors vi, ce fameux Hydro Engine, il marche bien. L'eau dans Hydrophobia est clairement au coeur du jeu, et certaines mécaniques fonctionnent bien. Le jeu arrive du coup à avoir des moments de grace, avec certains passages bien oppressants (comme par exemple quand une vague arrive dans la salle où l'on se trouve, ou quand le niveau de l'eau monte et qu'on doit traverser des couloirs entiers submergés, en apnée)...

Mais à côté de ca, c'est la déception la plus totale. Le scénario est insipide et mal raconté, la réalisation du jeu alterne le très bon (la flotte, essentiellement) et le médiocre (les personnages, leurs animations, le jeu des comédiens, les IA...), et surtout le jeu n'est pas inspiré pour un sou. Hydrophobia répéte sans cesse les mêmes situations, avec les mêmes (maigres) éléments de gameplay, et on se trouve vite à tourner en rond après quelques instants... D'autant plus que le jeu multiplie les aller-retours dans des niveaux qui se ressemblent tous, le Level Design étant des plus paresseux... Fort heureusement, le jeu est très court et du coup, la lassitude n'a pas le temps de s'installer.

Bref, à tout petit prix (je l'ai eu à 400 pts), ca peut valoir le coup d'oeil, ne serait-ce que pour le setting du jeu (le bateau qui coule, avec l'attaque terroriste) tellement Z que Steven Seagal lui-même aurait pu l'écrire, et surtout pour le moteur Hydro Engine qui prouve que le concept aurait pu marcher. Mais à prix normal, vous pouvez l'éviter sans problème.

Dark Energy Digital, le studio à l'origine du jeu, devrait se contenter de vendre sa (bonne) technologie à un studio de développement de jeux vidéo... Il y aurait de fortes chances que le résultat final soit plus inspiré.

Fini le jeu, jeu gold donc gratos. A l'epoque j'avais vu quelques videos et il me faisait bien envie. J'adore les jeux qui se déroule sur la lune, mars, ou sous l'eau. POur ca aussi que j'adore bioschock.
Et bah là le jeu a été créé dans un but tres simple. Une librairie 3d d'animation d'eau est sortie du coup pour vendre tout ca on va sortir un jeu !
Hydrophobia est une sortie de demo technique, mais moi je me suis bien amusé. Bon après niveau scenar c'est plutot light, pour vous dire y'a pas de fin, juste un "chef je vous retrouve enfin". Et niveau baston c'est du tir au pigeon comme Control et tous les jeux du genre, mais ca fait le job. Une chouette balade dans et sous l'eau avec du gameplay qui va bien et un jeu pas trop long. J'ai bien aimé même si le fait de ne pas avoir de fin ca m'a un peu decu ;(




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