Celui-ci devrait faire couler plus de sang, heu d'encre.
Et je rappelle encore et toujours que ouiiii ça peut déborder sur plusieurs genres mais ce n'est pas grave, partagez vos souvenirs !!

1 ) Shoot'em Up EN COURS
2 ) Beat'em All EN COURS
3 ) Réflexion/Puzzle EN COURS
4 ) Stratégie/RTS EN COURS
5 ) Arcade Action EN COURS
6 ) Action-Aventure EN COURS
7 ) RPG-Aventure EN COURS
8 ) Point & Click EN COURS
9 ) FPS EN COURS
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10) Voiture-Arcade (Outrun...)
11) Simulateur (GT, Flight Simu...)
12) Sport (Fifa...)
13) Combat VS (Mortal Kombat, SF2...)
14) Plates-formes/Plateau (SMB, New Zealand Story...)
15) Les inclassables (Stanley Parable, Musique,...)
16) Les adaptations marquantes
17) Tactical RPG


Bon alors ici je pense que je vais être le moins original et le plus conventionnel de tous mais ce sont vraiment mes trois préférés donc je ne vais pas me mentir


03) Half Life

Dire qu'on aime Half Life, c'est aussi original que de dire qu'on aime Matrix. Ben voilà, j'aime Half Life. En tout cas le premier et même ses add ons réchauffés. Autant j'ai trouvé spectaculaire le moteur dynamique révolutionnaire du 2, autant je ne peux pas dire que le jeu m'ait enchanté, et j'ai également fait tous les add ons de ce dernier.
Donc oui HL premier du nom, que des souvenirs, quelle ambiance, quelle nouveauté. Du FPS scénarisé, ouah, le bonheur. Je pense que ce que j'ai moins aimé dans le 2 c'est ce besoin de mettre des véhicules partout. Je DETESTE les véhicules dans les FPS.



02) Unreal

Là aussi, Unreal premier du nom. FPS également scénarisé avec un scénario aux petits oignons, une bande son à se fracasser la tête sur un cactus tellement c'est beau et une ambiance graphique juste magistrale.
D'ailleurs à noter que j'avais détesté le 2 car c'était juste un ensemble de petites quêtes qui s'enchaînent jusqu'à ce que je le termine et comprenne la profondeur du truc. Mais le 1 reste le 1.



01) Doom 2 : Final Doom / Plutonia

Alors des Doom y en a eu à la pelle. Des officiels et des non officiels. Je vais rester sur les officiels sinon on y passe la nuit. J'ai dû me faire violence pour savoir si Plutonia était meilleur que Doom 64 pour au final me souvenir que oui. Je pense que Plutonia est LE Doom ultime que tout le monde doit avoir fait. C'est violent et punitif mais immersif, délirant, prenant à souhait et vachement défoulant. C'est pour moi ce que le FPS a fait de mieux et je ne retrouve plus ça de nos jours. Doom 3 était une farce car trop linéaire. Doom 4 et Doom Eternal sympas mais c'était plus vraiment ça.


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On ne peut pas faire raitournelle tant qu'il y a encore des artichauts dans la banque.

Oulà, ça va être dur ! Bien plus dur que je ne le pensais !

3: Shadow Warrior (2013)
Le reboot des tribulations de Wang en Massacrie (pays dont la capitale est Build Engine). J’en ai parlé un peu partout mais ce nouveau Shadow Warrior m’a réconcilié avec les FPS dont je saturai gravement depuis que tout était passé à la mode CoD. Le seul que je tolérais là dedans c’était les HALO parce qu’au moins c’était futuriste et ça me paraissait plus crédible d’avoir une barre de vie qui se régènère et permet de se relever même après s’être pris une décharge de fusil dans le derrière.

Ça et le fait que les FPS se soient enlisés dans une ère de conflits modernes avec comme excuse « Oh ça va, c’est pas si mal, et puis les noirs et arabes qu’on bute, c’est juste des pixels, y’a aucun message politique dans ces jeux hein ! C’est pas notre genre ! », m’ont prodigieusement gonflé.

Puis est arrivé le sauveur. Non, pas Puke Nukem Fornever. Shadow Warrior m’a réconcilié. Lui ou Wolfenstein The New Order ; j’ai un peu de mal à me rappeler lequel des deux j’ai fait en premier mais ce qui est certain c’est que je les ai fait d’affilé. Quel plaisir de retrouver ce feeling si particulier des FPS d’antan, de ne plus avoir à se cacher derrière un mur / porte / carton pour se protéger sans arrêt et voir sa vie remonter sans la moindre logique (si seulement les soldats US avaient amené avec eux des portes en bois de scénarium pendant le débarquement en 44…).

Nan, dans ces deux jeux (et les deux suivants), l’immobilisme, c’est la mort. Bouger, c’est trancher, c’est éclater, c’est gicler de la cervelle. Bref, c’est la vie. Et puis aux chiottes la limitation d’armes, on est pas dans Call of Scopy ici.

Et par dessus tout ça, SW et W:TNO se permettent même d’avoir un scénario, des échanges entre personnages (bien plus limités dans SW vu qu’on fait 90% de l’aventure plus ou moins « seul »). Je trouve que c’est ce qui a donné une âme à ces deux jeux : les personnages. Les passages entre missions dans TNO permettent d’en apprendre plus sur les membres de la résistance, leur passé, leurs troubles (voire pire), leurs espoirs. C’est pas du BioWare mais ça fait plaisir à voir. C’est là, on le suit ou pas.

Bref, merci à ces deux bijoux de m’avoir remis dans les rails. Parce que bon, quand votre coeur fait doom…


2: DooM Eternal
DooM est éternel. Voilà, c’est tout ce que j’avais à dire.

Que dire de plus ? DooM 2016 a repris exactement tout ce que j’avais aimé dans W:TNO et SH 2013 donc je ne pouvais qu’être aux anges, mais en fait il l’a fait avec encore plus de brio. Encore plus de l’exploration. Encore plus de le giclage. Encore plus de la lessive. Avec le DooM Slayer, votre linge est plus rouge que jamais.

C’est assez marrant de constater que malgré mon enthousiasme ravivé après SW et W:TNO, j’avais quand même quelques craintes concernant le retour de DooM. Craintes qui se sont envolées dès le premier niveau : des secrets un peu partout, des trucs à débloquer, l’équipement qu’on peut améliorer, de l’humour (les petites mimiques avec les figurines du Doom Slayer ^^), les Glory-kills sont très rapides et ne ralentissent pas autant le jeu que je le pensais, ça ne fait pas non plus « Edgelord ».

Visuellement très agréable à l’oeil, nerveux, assez long, plutôt corsé… que demander de plus ? Garçon ? La même chose ! DooM Eternal, c’est « If ain’t broke, don’t fix it » appliqué à la lettre. id a repris tout ce qui a été apprécié et a « tout bêtement » filé quelques bonbons qui font rires au gameplay.

Déjà, l’arme de base c’est le fusil à pompe. Oui, c’est l’arme de base. Le grappin fait souvent des merveilles pour inciter à se déplacer, le double saut et le dash encore plus, les ennemis sont toujours plus redoutables (grr, le Maraudeur !) mais en plus, le studio s’est permis d’aller à l’encontre de Saint Carmack : ils ont mis un scénario. Et ils l’ont relié à toute la série, y compris DooM 64 -aussi un épisode que j’adore ; plus que les deux premiers jeux de la série- qui s’avère être le préquel de DooM 2016.

Bien entendu, il est parfaitement possible d’ignorer tout cela et de se concentrer sur la giclette de tripes.
 
Petite note : j’aime bien le fait que le Doom Slayer envoie paître le scénario dès la fin du niveau d’intro de DooM 2016 (ce qui a été signalé avec joie par la totalité de la planète) mais par contre à un moment donné dans le jeu on se coltine masse d’exposition sans pouvoir zapper ni faire autre chose que d’écouter ^^.


1: Perfect Dark’’ (N64 / XBLA)
J’ai bien conscience que Perfect Dark’’ est aujourd’hui complètement dépassé mais il reste un des derniers jeux (avec les TimeSplitters) à fonctionner avec un système de niveaux linéaires aux objectifs qui varient en fonction de la difficulté et dont l’équipement est défini à chaque niveau.


J’ai rarement eu de telles sensations en découvrant un jeu. Les rares autres jeux qui m’ont fait cet effet c’était Secret of Mana et Ocarina of Time. L’impression de jouer à quelque chose qui allait au delà de ce que je pensais faisable (bon Secret of Mana c’était plus parce que le jeu m’a enchanté dès le départ par son univers et sa musique) en matière de jeux vidéo console.

En termes de FPS, je sais que Duke Nukem 3D / 64 m’avait complètement ébloui par les innombrables interactivités avec les décors (et les gros mots que je ne comprenais pas toujours à l’époque) mais PDark’’ ? Oh la vache. Oui, la console était à genoux, oui le framerate ridicule, bien sur. Evidemment même.

Les graphismes étaient à tomber, l’éclairage dynamique (toute source de lumière est destructible), le fait de pouvoir désarmer les ennemis pour s’emparer de leurs armes, toutes les armes (sauf celles -bonus- de Goldeneye) ont une fonction secondaire (le Laptop qui se transforme en tourelle qui s’agrripe à toute surface, le Far-Sight XR qui permet de traquer ses ennemis et de les tuer en un coup à travers les murs (rassurez-vous, les bots savent aussi s’en servir contre vous en multi).

Le multi était aussi phénoménal pour l’époque (et loin devant un bon paquet de jeux récents) : on prend Goldeneye, on ajoute juqsu’à 8 bots (en fonction de la map et du nombre de joueurs humains), on peut même les personnaliser de A à Z, que ce soit la difficulté, la personnalité, l’apparence, le type de musique qu’on veut écouter pendant ses parties, créer ses propres configurations (pour ne pas avoir à tout refaire à chaque fois qu’on allume la console).

Bref, ce jeu c’est limite l’excès le plus total de la bécane dans tous les domaines (peut-être que Dinosaur Planet l’aurai dépassé s’il était sorti).


Note 2: Hell on PC :
N’ayant pas accès facilement à mon PC perso pendant le télétravail, j’ai rédigé tout ça sur mon iPad donc je mettrais de jolies zimages pour illustrer tout ça après le boulot ^^
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Turrican Maniac (©️ nicko).

Aaaaaargh ca va etre très très chaud parce que j'en ai pas fait beaucoup mais le peu que j'ai fait j'ai du mal à les departager ^^


Bon je triche ^^

En multi
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1/ Duke nukem 3D, forcément ce jeu est une tuerie avec de l'humour, des gonzesses, le doubleur de duke est genial, et c'est une bonne boucherie

2/ et j'ai hesité à le mettre en 1 : unreal tournament.
Celui là à tourné tres longtemps quand on faisait des we jeux en reseau avec les potes. UN bon souvenir, tu passes 1/2 journée à essayer de voir les potes parce que l'ip est pas bonne, ou t'as pas les bons drivers. Le jeu n'a pas la bonne version etc..... bon sang qu'est ce qu'on se faisait chier à l'epoque alors que maintenant tout est simple et y'a plus besoin de se déplacer ....
Bon sang je me demande encore comment on faisait pour jouer à 8 dans un studio ou un t2 avec des machines qui pompaient à mort de jus ^^

3/ pareil j'hesite entre shadow warrior (le meme que Koren) et Doom 2...


Et je suis sur que j'en oublie mais c'est compliqué ....
Notamment les Aliens versus Predator qui ont été du bon fun en multi


En solo, enfin après c'est une vue FPS mais je les considère pas comme des FPS
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1/ bioshock 1 (et meme les 2 autres)
2/ Deus Ex : Human Revolution
3/ Duke Nukem Forever oui je l'ai adoré

Et je citerai bien aussi Prey & Dishonored 1
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Bien, un nouveau top très compliqué, mais cette fois je vais m’en tenir à 3.

1) Goldeneye 64 Nintendo 64: Le premier du top est le plus dépassé bien sûr, mais ce fut ma porte d’entrée dans ce genre, et quelle initiation !!! Un mode solo varié aux niveaux complexes, une jouabilité aux petits oignons pour la n64, surtout que je ne connaissais pas encore le combo pc clavier souris, donc je n’ai pas eu à m’adapter.
Et SURTOUT un mode multijoueur incroyable. Ce jeu a été celui qui est resté le plus longtemps dans ma n64, de très loin !!! Des centaines d’heures de duel avec mon frère.

Détail important c’est en juillet 97 avec ma n64 que j’ai eu la chance de passer sur une tv 55cm, au lieu de 36, d’ou une grande progression dans le confort de jeu en splitté !

2) Halo combat évoluée Xbox : Objectivement je devrais le mettre en première place, mais c’est pas mon premier FPS. Sinon reprenez le premier paragraphe et copiez collez. Rajoutez cependant un univers incroyable, avec un lore fantastique ! Et une OST monumentale... Tous les jeux sans exception suivront l’épisode original.

3) Medal of Honor débarquement allié PC : J’ai hésité avec Half Life, mais ce FPS symbolise ma,préférence sur PC pour les FPS à ambiance réaliste, dont l’ensemble des medal et des call of historiques mais aussi les tactiques rainbow 6 et Swat, les très simulations opération flash point puis arma, et quelques autres comme par exemple les vietcong 1 et 2, à la jungle oppressante pour l’epoque. MOH qu’est le premier, et m’a fait vivre une campagne épique, l’impression de vivre le Soldat Ryan... Le top à la réalisation hallucinante.
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Le jeu vidéo, comme tout loisir, doit rester un plaisir... Non aux gueguerres (sauf pour troller !)

Ok... je base mon classement par périphérique de jeu. Dans ce genre là, c'est essentiel.

3- The Conduit. Meilleur FPS man..., alternatif.
C'est répétitif, pas très varié niveau décor mais la wiimote fonctionne tellement bien qu'on tient là la meilleure alternative au clavier/souris. C'est Metroid prime 3 en moins beau mais aux combats plus nerveux.

2- Halo... Reach. Meilleurs FPS manette.
C'est le 1 en plus épique, sans avoir défiguré la précision du gameplay. Une réussite en tout point et quel plaisir d'avoir pu jouer une spartane

1- Quake 3 Arena. Meilleur FPS clavier/souris.
La formule la plus épurée du genre, des mécaniques de jeu précises et qui fonctionnent à grande vitesse.
C'est le FPS où si l'on est à l'aise, on sera à l'aise sur tous les autres.
(Ne l'ayant pas fait, si des spécialistes soutiennent que c'est le 2 je veux bien les croire et suivre leur jugement)


edit : j'en aurai bien un autre mais je le classerai dans un "top open-world".
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

Les FPS, moi je dis encore doom-like ou queke-like, voire simulateur de meures pour reprendre la terminologie de nofrag. Je suis plutot un joueur de campagne solo

3/ S.T.A.L.K.E.R. Shadow of Chernobyl PC
Le jeu a sans doute pris un sacré coup de vieux et était un peu pété à son époque, mais quel grand jeu ! Une ballade survivaliste horrifique dans la Zone de Tchernobyl, basé sur la mythologie IRL et la SF russe de Pique Nique au Bord du Chemin et du film Stalker. Un jeu avec un cadre original et jamais vu à l'époque. Des mécanismes de jeu un peu disctuable voire contestable, mais un mix sympa entre mini RPG et FPS qui se démarquait du lot. Il a longtemps été une arlésienne du JV, il vendait du rêve, toutes les promesses n'étaient pas là, mais l'ambiance unique si. Deux suites sont sortis et un épisode numéroté 2 doit arriver.

2 S.W.A.T. 4 PC
Dans la ligné des Rainbow Six, Operation Flashpoint et Hidden and Dangerous, ce SWAT est un FPS tactique qui se veut réaliste. Même si cela reste un jeu de tir, il est de une super immersif et prenant, de deux, il propose un système d'ordre dynamique à la souris inédit pour son époque, de trois, et c'est tout le sel du jeu, avant de tirer, il faut respecter une procédure et le tir létale doit idéalement etre la dernière option de légitime défense. Vous êtes un chef d'un groupe du SWAT et vous devez résoudre des situations de crise, de l'arrestation d'un suspect chez lui, au braquage qui tourne mal en passant par la prise d'otage, mais le jeu note votre performance et vous devez si possible arrêter plutôt que tuer, l'utilisation du feu doit se faire après sommations d'usage. Cela donne une adrénaline et ces quelques secondes de flottement où tout peut basculer quand vous entrer dans une salle avec les flashbang, les ordres de sommations et vous guettez la réaction de suspects pour voir s'ils vont jeter ou non leurs armes ou vous tirer dessus sans hésiter... et vous aussi... sachant qu'arrêter reste mieux que "bêtement" tuer. Le propos du jeu n'est pas une réflexion sur ce que sont les jeux de tir, mais en laissant la possibilité au joueur de jouer sans tuer via des armes neutralisantes, il porte en lui de manière non-intentionnelle aussi une réflexion sur la violence des armes et les choix laissés au joueur. Enfin rétrospectivement, je le vis ainsi. J'aimerai rédiger un article pour GrosPixels dessus, mais faut que je rachete le jeu et surtout me refasse ses 18 missions (jeu et add on).

Doom, Doom 2, Final Doom Pc, super nintendo, PS1, Xbox360 et Ps4
Presque 30 ans après, j'y rejoue toujours de temps à autre. jeu riche, jouissif et tellement varié au final dans sa manière de jouer. J'aime bien y revenir après l'avoir un peu oublié et perdu du skill.


Les autres : le portage PS1 de Quake 2, RavenShield, Operation Flashpoint et Arma, Quake3, Red Faction, Riddick escape from butcher bay, Deus Ex Human revolution, Battlefield 1

C'est vrai que SWAT 4 (et même 3 en fait) étaient excellents. Et restent excellents d'ailleurs. L'IA est vraiment correcte et le mode multijoueurs jouissif.


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On ne peut pas faire raitournelle tant qu'il y a encore des artichauts dans la banque.

1 - Doom

Le modèle du genre. J'y ai joué sérieusement très très tard (circa 2012 je crois). Et pourtant, quelle claque magistrale. Un level design hyper soigné, bien que les épisodes 2 et 3 donnent la nausée (mais c'est peut-être le but, on est en Enfer, bordel). Malgré le côté notoirement répétitif, je me suis surpris à ne jamais me lasser des situations, des monstres, des bruitages, du shotgun, bref de tout ce qui fait le sel de l'expérience.
Ca reste moderne de façon surprenante si l'on met de côté l'aspect rétro : c'est hyper rapide, toujours fluide et il y a un réel travail sur l'ambiance et l'éclairage.
On pourrait limite parler de survival horror, tant le côté dérangeant des personnages est omniprésent, de même que le pitch et la volonté de proposer des jump scare. Et la scénarisation est parfaite : la fin de l'épisode 1 est un modèle du genre.

J'aurais pu mettre Serious Sam, qui poursuit dans la même veine, avec ses hordes d'ennemis gentiment repoussant et les secrets à foison.
Ou DooM, et ses putains de glory kill même si les rares phases d'exploration me gonflent (ce pont tout pourri là).

2 - Call Of Duty : Black Ops 2
J'ai longtemps résisté à cette vague de fps, jusqu'à m'y essayer un peu avec MW 1 et 2 (quel solo celui-là ) puis de tomber dedans jusqu'au cou. J'étais réticent pour le jeu à la manette, je le suis encore un peu (combien de fois ai-je ragé en me disant "à la souris, je l'aurais aligné pépère ce gars").
Mode solo inintéressant (de toutes façon, rien n'atteindra le sommet que constitue MW2 pour moi dans la série avec ses 10000 situations différentes, ses lieux etc...).
Mode multi simplement parfait. Un hommage officieux à Doom : on a un skin de Doom guy et certaines combinaisons d'atouts et d'équipement permettent de retrouver un gameplay frontal comme chez ID Software : du rush sans avoir besoin d'épauler. Tout ce que j'aime. J'y ai englouti des centaines d'heures, en écran splitté avec mon ex sur le mode Elimination confirmée. Les maps étaient hyper chouettes, mais je regrette de ne jamais avoir téléchargé le pack avec Summit.
Le dernier Cold War est excellent dans le genre, mais je l'ai lâché de façon inexplicable depuis quelques semaines.
Ce qui est dommage, par contre, c'est qu'on ne retrouvera plus jamais pour un jeu donné de cette série l'ambiance. Les joueurs abandonnant une version pour se consacrer à l'autres, on ne retrouve plus la variété qu'il y avait l'année concernée dans les lobbies. Il était amusant de voir comment des joueurs envisageaient leur plan de jeu de façon totalement surprenante par exemple.

3 - Unreal Tournament
Le jeu qui m'a fait basculer dans le fps pour de vrai. Claque visuelle monstrueuse avec ma modeste Matrox G200 (puis ma Kyro I), des modes de jeu innovants (Assaut !!!), des armes chouettes. L'ambiance est hyper classieuse, avec ses univers, son background et ses musiques Assez peu joué en réseau, mais ça m'a donné le virus du multi.
J'ai fais UT2003 par la suite, dans la même veine.

4- Quake 3 Arena
Rapide, brutal. Le cyber café pendant les pauses au lycée. La direction artistique à la ramasse mais des maps de qualité. Le rail-gun. Le retour sonore chaque fois qu'on touche. Le Rocket launcher. J'étais bidon mais ça m'a pas empêcher d'y consacrer des heures interminables. Ca tournait à fond sur n'importe quel config moyenne, et ça c'était bon, loué soit ID pour ça, John Carmack est notre maître.


5 - Goldeneye 64
Parce que tout était nouveau et hyper bien réalisé. La discrétion obligatoire, les petits objectifs facultatifs qui rendent les niveaux crédibles, les briefings, le multijoueur qui part dans tous les délires possibles, les gadgets. C'est devenu daté, mais surtout à l'instar de HL et de Doom ça a posé des conventions pour le genre qui auront été suivies par tout le monde après.
Au passage, la gâchette Z de la 64 est juste la meilleure invention de l'univers pour les fps à la manette.



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id PSN : mode7_13

De bien belles sélections.

Je rejoins l’avis sur SWAT, et ses frères d’armes rainbow 6 , spec ops. Je les cite dans mon propre top même si à mon avis ils sont un genre à part.
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Le jeu vidéo, comme tout loisir, doit rester un plaisir... Non aux gueguerres (sauf pour troller !)

Je vais mettre à jour mon post par contre pour me conformer aux règles ^^. Rien n’empêche de citer les deux dans mon explication mais je sais lequel des deux premiers je préfère .
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Turrican Maniac (©️ nicko).

Ben voilà... c'est celui-là que je mettrais dans un "top" sur les open-world ^^
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

tu le vois comme un Open-World ? le terme existait pas vraiment à l'époque. Surtout que la liberté de déplacement reste super conditionné à son équipement dedans ou à l'avancement dans le scénario. Bien sur le jeu marque plus par la balade e tla découverte de ces terres désolées qu'il propose que par son gameplay FPS.

3) Prendre l'air
2) un sac à vomi
1) la cuvette des toilettes

Pas facile facile de s'intéresser aux FPS quand on est victime de motion sickness

(et pourtant j'ai adoré Time Splitters 2, mais je n'ai physiquement pas pu terminer le niveau de la démo)
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"[...] non ! cet ours est mon guide sprituel !"

Même sur Doom de 1993 dans lequel tu ne leve pas la tete, ni la baisse ?

Oui car j'adorais m'y perdre, passer du temps avec les PNJ qui jouait de la gratte et explorer entre les buissons ^^
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

Je me suis toujours demandé sans jamais cherché s'il existait un mods qui enlevé les combats/ennemis afin de se concentrer sur l'exploration.
Oui les groupes de stalker au coin du feu avec une vodka, une guitare et parfois des loups qui rodent au loin.
Ne pas oublier le lancé de boulons.

Ah flûte, c'est vraiment gênant ça.
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id PSN : mode7_13

Pas mon genre préféré, mais j'ai quand même de quoi faire un top 3 ^^ Je mets de côté Half-Life, déjà présent dans mon top 10... ainsi que la version PS1 de Rainbow Six, présente, elle dans mon flop 5

3 / Doom : découvert sur SNIN, alors que le jeu était au sommet de sa popularité. Toutefois, passées quelques heures dessus, je l'ai mis de côté pour ne plus y toucher. Quelques années plus tard, pensant que le downgrade technique de la SNIN était pour quelque chose dans cette désaffection express, je me suis essayé à la version PC d'origine... et en fait, non, ce n'était pas la technique qui était en cause, juste le fait que je n'étais tout simplement pas fan de Doom et ne le serais probablement jamais.

2 / Medal of Honor : vrai coup de coeur que celui-là, avec une réalisation somptueuse (actualités d'époque, 3D fignolée, musique symphonique et tout...), l'importance du contexte de la Seconde Guerre Mondiale, ainsi que des adversaires qui commençaient à ressembler à quelque chose du point de vue IA. La Playstation marque le pas à plusieurs reprises, sur le plan technique, mais cela n'empêche pas Medal of Honor de rester un très bon jeu et un excellent souvenir.

1 / Call of Duty : quand Medal of Honor passe à la vitesse supérieure, le joueur peut vraiment se prendre pour un GI dans Saving Private Ryan ou Band of Brothers. Très, très impressionnant sur tous les plans. Plus fort encore, le jeu donne lieu, pour la première fois, à une véritable mise en abyme des mécanismes du genre, avec le siège de Stalingrad. Lors de ce passage, marquant pour tous ceux qui s'y sont frottés, les développeurs nous font bien ressentir que survivre à cette boucherie XXL relevait plus du hasard que de quelconques capacités de combattant, même virtuel. Démarche peut-être pas très ludique, mais ô combien salutaire par la réflexion qu'elle entraîne.
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Salut à toi. Tu es manifestement un homme de goût. Et je sens que tu es aussi un homme d'honneur qui a compris que la place d'un terroriste est davantage en prison qu'étendu sur le sol d'une ambassade le corps criblé de calibre 12. Je suis moi-même un gros fan de ce jeu. Et je l'ai encore. Si tu me jures solennellement que tu feras un article dessus, je t'en fais don.