J'ai fini par l'acheter en bundle, et quelques jours après je l'ai commencé ... pour le finir le lendemain !
C'est super coloré et fun (ça rappelle les dessins animé de l'époque...), speed mais pas trop, plein d'énergie à la limite de l'hystérie, et gavé de boss, au point que ça rappellerait certaines créations Treasure.
J'aime bien Sonic sans être spécialement fan pour autant, mais j'ai accroché de bout en bout.
Bref, je n'en attendais pas autant, une super surprise que ce Freedom Planet en ce qui me concerne.

Pour ceux que ça intéresse, Hardcore Gaming 101 a un article (enthousiaste !) sur le jeu : http://www.hardcoregaming101.net/freedomplanet/freedomplanet.htm

EDIT: ah et j'avais joué à The Plan aussi (après lecture du post d'Odysseus), merci de cette découverte !

Perso, idem, bundle-inside : mais bémol, c'est plus pour ses affinités avec les Rocket Knight que j'en attends du bon.



---Les comparaisons et allusions avec les cartoons made in DIC exploitant (de loin) la licence sonic font plutôt parties de mes craintes envers ce jeu (si vous avez vu mes com' passées à ce sujet, vous devez être fixés sur "tout l'amour" que je voue à cette adaptation massacre télévisuel -et visuel tout court - du sonic-verse vidéoludique initial -et pour le reste, c'est aussi de la rancoeur personnelle accumulée depuis cette époque... perso, pour moi, les sonic ont toujours été des jeux-vidéos avant d'être des dérivés en cartoons ou autres comics semi-officialisés à rallonge.
ça ne poserait pas vraiment de problème, si cette vision n'avait pas tendance à "s'imposer" comme plus qu'officielle par l'opinion du web. (et si on a un autre point de vue à partager, on fait comment ? -là ça risque de ressembler à certains débat entre fans de japanim' "pro vs anti club-do", comme récemment sur le forum de nolife. .)

-Bon excusez-moi, c'était juste ma minute "vieille-c..." du moment, vous n'êtes pas obligés d'y répondre ^^" (et même pas en mode-grumpy, là j'assume ). Désolée pour le dérangement, mais à chaque fois que ce fantôme pointe son nez, ça me hérisse ---



Plus concrétement, pour revenir au jeu en lui-même, et vidéoludiquement parlant, le seul truc "sérieux" qui m'interroge pour le moment sont surtout les passages de plateformes "à moto" verticaux qui m'avait paru un peu bizarre -sans vouloir être spoilé, c'est jouable, comme gameplay, à ce niveau ? .



Mais de rien.

Le perso de base est Lilac et elle n'a pas le permis moto
J'ai pas testé la motarde, ce sera pour une prochaine partie ^^

EDIT: j'ai testé Carol la motarde pour toi, la moto est assez manoeuvrable, c'est presque comme manier un perso, je ne pense pas qu'il y ait de soucis

Juste pour dire que le site Gamejolt, qui propose des jeux indépendants gratuits, a sorti un client en beta façon Steam et qu'il est bigrement efficace! Il est par ailleurs open source et dispo pour tous les OS possibles à cette adresse.
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"Il n'est pas de lutte plus violente et déterminée que celle d'un homme face à son envie d'aller aux toilettes" - Karate Boy

Vieux motard que jamais, j'ai joué à Analogue : A Hate Story pendant quelques heures.
J'ai été pas loin de lâcher au début, car le jeu prend un malin plaisir à faire crouler le joueur sous les multiples prénoms et noms de famille difficiles à tous retenir.
Du coup je n'ai pas été très loin, j'ai seulement testé la fin rapide où on télécharge les données via la commande download (que j'aurai en fait pu déclencher bien, bien plus tôt avant que Hyun-ae ne nous demande si on n'aurait sympathisé avec elle que pour ça. La séquence de fusion nucléaire m'a en fait un peu gavé car j'ai bêtement insisté croyant qu'on pouvait conserver les 2 IA, alors qu'en fait on ne peut pas, ou c'est en tout cas très loin d'être évident.
Le début laborieux + cette séquence ont eu raison de ma patience.
Je dois reconnaître que c'est plutôt bien écrit et efficace, mais je me suis un peu ennuyé, là où DTIPB introduit une dynamique via les multiples personnages, je me suis un peu ennuyé, même si l'introduction de Mute rend le jeu déjà nettement plus sympa. C'est d'ailleurs pour ça que j'étais un peu dégoûté de l'épreuve du réactor., qui retirait un des éléments du jeu pour lequel j'avais le + d'intêret.

On peut, mais ça nécessite d'avoir déjà terminé le jeu une fois: un peut avant cette séquence, Mute te demande si tu n'as rien de plus à lui montrer qui puisse changer son opinion. Si tu as déjà fini le jeu avec Hyun-ae, il y a un document en particulier que tu découvres très tard (je ne peux pas te dire lequel sans spoiler mais ça te paraîtra assez évident parce qu'il est vraiment dégueulasse). Si tu as noté le numéro de référence de ce document et que tu le donnes à Mute, ça va beaucoup changer sa perspective.
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https://twitter.com/MaxNoelBass
https://www.youtube.com/c/TheTiberianSons

Je vois...
Et du coup, tu as poussé le truc jusqu'où (càd quel pourcentage de complétion), par curiosité ?
J'ai dû arrêter vers 30~40%.

Bon j'ai craqué et j'ai finalement continué le "path" de Hyun-ae jusqu'à son terme.
L'histoire est plus dégueulasse que je ne pensais, mais surtout c'est assez bien mené (vers la fin le rythme a tendance à s'accélérer un peu vu que Hyun-ae distribue les entrées de journal de façon assez groupée et séquentielle).
Ca reste toujours plus proche du jeu video que du livre, m'enfin ça change un peu. Soulignons la musique qui est pas mal et assez planante (j'avais lancé la BO par accident sur Steam et l'ai repassée plusieurs fois depuis pour le plaisir).

Par contre deux trucs que j'ai absolument pas compris :
- (léger spoil) - vers la fin Hyun-ae dit ne pas être une IA. C'est du bluff pour donner une impression de réalisme et de personnalité accrue, je suppose ? Ou alors elle a trouvé un moyen de survivre et interagit avec nous via un terminal ? (j'y crois pas trop...)
- (gros spoil) En fin de compte, qui est *Mute ? Est-ce l'autre face de la pièce, càd l'épouse muette (mute !) et docile qu'est devenue Hyun-ae malgré elle ?

edit : une inversion s'est glissée dans ce post, mais je vous laisse la trouver, c'est facile

Bonne nouvelle : après une longue attente (5 ans, sans compter le temps de développement avant ton post), le jeu est prévu pour cet été

Du shoot vertical 2D bien dur, 100% arcade, 100% 16 bits style: Bot Vice

Le style pixel art console 16 bits est parfaitement maitrisé, la bande son semble tout droit sortie d'un titre PCE-CD ou Mega CD. Le jeu est très difficile mais le gameplay est solide.

Le trailer Officiel:




Une petite vidéo de présentation/impressions en français de Choca/Akwartz:



Pour l'instant dispo pour 9€ sur Steam et compatible Windows, Mac et Linux.

Site officiel du jeu: http://dyagames.com/

Dans ma wishlist
C'a l'air super sympa à jouer et mignon comme tout !

Pour ceux à qui Limbo avait plu, Inside est sorti le mois dernier. C'est Limbo en bien plus joli et abouti au niveau visuel (camera, les effets de perspective sont plus poussés) et avec une scénarisation plus efficace. Ca se plie en 4h mais c'est étonnant, un peu glauque et curieux. Foncez !

Nouvelle vidéo de Celeste, le platformer des créateurs de Towerfall. Avec un design basé sur les dash de Towerfall, justement.



Si c'est aussi bien que Towerfall (le meilleur multi local de ces dernières années), je signe direct.

On dirait un mix entre 2 anciennes productions de Matt Thorson : FLaiL pour la mécanique à base de dash et Untitled Story pour le coté exploration et (j'espère) metroidvania.

C'est la version PICO-8 qu'on voit là ?? je pensais que ça serait plus rudimentaire. Graphiquement c'est splendide.

Non, là c'est la version PC en préparation. La version Pico-8 est moins détaillée.

Ah oui on risque pas de confondre les 2 versions.
Après visionnage plus attentif de la vidéo, le jeu introduit de nouvelles mécaniques progressivement mais pas par le biais de nouveaux pouvoirs. Autrement dit ce n'est pas un métroidvania. Zut.

Christine Love remet le couvert, avec un visuel novel cette fois érotique : Ladykiller in a Bind (sûrement un jeu de mot : le "bind" de "bondage", mais "in a bind" signifie "dans le pétrin").
On n'est plus dans la même gamme de prix, puisque de $10 (pour Hate Plus et Analogue), on passe à $30, mais le travail semble plus conséquent, à commencer par la quantité de personnages (le soin appliqué aux dessins).
C'est encore Isaac Schankler aux commandes côté musique (le résultat semble plutôt cool, certaines pistes sont dispo à l'écoute : https://isaacschankler.bandcamp.com/album/ladykiller-in-a-bnd-ost)
Bon, j'en sais pas beaucoup plus sur le jeu, sinon que ça semble mettre l'accent sur le travestisme (c'est une des caractéristiques des persos, c'est dire).

Bizarrement, le jeu n'est pas distribué sur Steam. Il l'est sur Humble Store (et DRM-free svp).
edit : après réflexion, pas bizarre du tout, ça pourrait être dû à politique anti "jeux avec du sesque" de Steam.

Finalement le jeu aura eu encore un peu de retard : il est sorti aujourd'hui même.
Les critiques sont plutôt bonnes, à commencer par un 10/10 chez Destructoid (ceci dit, plus ça va, plus je prends leurs notes avec un gros grain de sel, chez Destructoid). Choca (enfin Akwartz quoi) y est également allé de sa présentation, il est très positif malgré quelques critiques ici et là https://www.youtube.com/watch?v=VCxhj0Y6NKI
Une chose est sûre pour qui n'y a pas encore joué : c'est mega beau.

Je pense que ce topic est très bien pour évoquer l'article de la semaine qui réfléchit à la définition et à la nature du jeu indépendant :

La Guerre d'Indépendance

J’ai lu avec intérêt cet article. J’avoue avoir eu un peu de mal à accrocher au style dont les tournures de phrase m’ont parfois perdu, mais j’étais peut-être juste fatigué.

En tout cas le propos est intéressant et je partage cette vision des créateurs indépendants dans les années 80/90 même lorsque les jeux étaient publiés par des éditeurs établis. Après, l’exemple des Bitmap Brothers est assez spécial et pas forcément pertinent si on s’en tient à la description faite dans l’article qui évoque juste leur affiliation à Mirrorsoft. Car justement chez Mirrorsoft, ils étaient soumis à la pression de l’éditeur (qui était une très grosse machine à l’époque), et pas du tout libres de créer ce qu’ils voulaient comme ils le voulaient. C’est en tout cas ce qu’ils ont déclaré dans les interviews au moment ou ils ont monté leur propre société d’édition (Renegade) pour justement être « indépendants ».

Et en effet, dans le cas des créateurs qui faisaient leur jeu dans leur coin AVANT de démarcher les éditeurs, je pense aussi qu’on peut parler de jeu indé. Pour moi, on peut d’ailleurs ajouter un critère économique pour caractériser le jeu indé : ce dernier n’est pas produit par des salariés. Pour en revenir aux années 80, on peut ainsi mettre en parallèle la production de sociétés comme Ere Informatique et Infogrames. Si je ne dis pas de bêtises, les premiers éditaient les jeux d’auteurs indépendants, soit en leur payant cash leur jeu, soit en les rémunérant sur les ventes (ou les deux), tandis que les seconds payaient un salaire mensuel à des employés qui produisaient des jeux au sein de l’entreprise. Et si on s’amuse à comparer la production des deux sociétés à la même époque, c’est sur que Captain Blood coté Ere fait preuve d’une créativité et d’une originalité qui respirent le jeu indé, alors que la même année chez Infogrames c’est la machine commerciale Bob Morane.

Je pense qu'il y a quand même un point clé qui différencie le jeu video de la musique ou la BD, mentionné dans l'article (à plusieurs reprises mais sans plus d'insistance), c'est la somme de travail grandissante pour programmer et "habiller" les jeux AAA, et le fait que de nombreux joueurs (pas tous) attendent d'un jeu qu'il en mette plein la vue, ce qui veut généralement dire que sa réalisation est très coûteuse.
Je ne crois pas qu'on retrouve la même chose dans la musique (la qualité de réalisation et de mixage, à la limite ?), peut-être de façon plus évidente dans le cinema, où le budget des gros films reste plus faible que celui des gros jeux, mais quand même conséquent.

Il y aurait encore beaucoup à dire (sur le rôle d'un éditeur par exemple, et pas son seul poids dans la balance indépendant / pas indépendant). Les plateformes de financement participatif, par exemple, ont je pense un peu modifié la donne - c'est un sujet sans fin