tout n'est que retour éternel ou commencement + j'en ai marre d'éditer les messages précédents du topic de mon projet de recueil.

il y a un début et une fin

de la littérature au mieux, grivoise et un peu déplacée, dans une revue où l'on passe son temps à lire et poster sur ses jeux favoris dans une ambiance désinvolte et décontracte, loin des limites imposées par le rythme haletant du travail de bureau et autres soucis du voyageur imprudent.

le but, encore une fois, n'est autre que de faire le buzz avant une éventuelle publication papier qui devra être plus conséquente en terme de volume
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"Ah, bravo, toutes les portes de l'étage esquintées ! "
"Mais reconnais qu'il n'y a pas de courant d'air..."
"Ah zut, elle est jalouse..."
"Rhaaaah !!!"
"Sois pas de mauvaise foi, cette porte est fermée oui ou non ?"

~ Ne doit rien être laissé au hasard de plus à subsister. : de la modélisation du personnage en train d'écrire au futur imposé : au rapport de l'intrigue que souffle de la passion empruntée à la conscience d'un nouvel élément : de ces nouvelles plus belles de taille à balayer la marque du faux-semblant dans les propriétés de l'énoncé : que toute figure de style s'éprenne du cas qui laisse au lecteur la possibilité de faire appel à son imagination propre. Ne doit rien au change de la précision horaire de l'instrument : net et point de latitude stridente et maniérée dans la démarche moyennant ce gage d'exemplarité : depuis lors chaque extrait de fragment en céranéique se révèle au fait des parties en éclaireur : c'est l'époque qui veut cela et le style doit apparaître au premier coup d'œil avisé.

Une histoire filante à la manière d'une étoile hésite (le plus souvent) entre le rendu incandescent de certaines luminosités et le souffle éclair des effets de transparence, et le prochain sonnet rapporté du léger cru ne serait-il pas prononcé à comparaître, au-dedans quelque chose de nouveau ou de différent et qui nous ferait dodeliner de la tête devant le fait que l'on ne serait plus très loin du genre y ou z. Peut-être en devait-on d'avoir été laissé pour compte durant la réception du menuet remuant de nouvelles en pagaille et d'après le suivant exemple et sous-genre de la pseudo-prose récitée : nul besoin de se soumettre à la pointe du nouveau roman, celui d'un retour à l'enfance qui persiste, de son insouciance présumée, de son degré d'impétuosité la plus sérieuse (avant de matérialiser l'idée d'appartenance à un ensemble solidaire)... ...l'esprit des éléments... ...et ce qu'il en vient (ou non) de s'accorder outre-mesure du ralliement envers la noble cause d'un idéal ? Probablement que [oui] [non] (rayer mention inutile à la fin du livre).

Nouvelle dépêches.

Grain du café à l'étude de la boisson qui incorpore.

Cœur ajusté et ciblage conséquent.

Roue libre d'attention et non dédaigneuse de (re)trouver les gens.

À travers l'effet de la dialectique on n'est pas exempt des manières ni du faux-semblant et peut-être que cela fait partie du concept qui consiste à désigner une ligne de dépréciation chimique et de se conformer au bref trauma pas trop mal cadencé, lequel ne devrait rien ajouter à la célébration des symboles – pas plus à l'esprit de condensation que bien d'autres parasitages coup de crayon – et c'est le comble absolument calfeutré du privilège que de s'adonner à certaines dimensions instruites de la connaissance réduite en soi à celle du réseau social.

Une autre conversation à la lettre.

Le dernier accessoire qui fait taire les préjugés.

Le sens du goût et de l'échange.

L'esprit commun de notre spécialité.

L'art de tout loisir.

La sérigraphie de sa connaissance.

Il ne devait pas être loin de minuit quand ils obliquèrent à travers les rues montantes de la ville sans détours. Une partie du groupe s'était dispersée après maintes promesses distinguées, lesquelles ne lassaient pas de divertir au son d'une certaine clameur dissipée ceux d'entre eux qui désiraient prolonger la nuit en petit comité. Analyser, échanger et soustraire, quand il ne s'agit plus de diviser pour mieux régner à travers le prisme d'une intellection extatique, l'énergie produite par l'action de la matière autour de notre noyau solaire au microscope.

D'une, la ballade se rapproche, doucement, sûrement d'une forme de péril imminent, impressionne les plaques sensibles du rejeton cette peur panique et subite qui réclamait du couvre-feu. À propos de certaines considérations qui auraient droit de cité. Du principe de gouvernance et de conduire la marche loin de la civilisation. Il devait être l'heure d'entamer la piste qui remontait à perte dans le ciel étendu, on pouvait aussi voir briller quelques escarbilles et le bourdonnement atonal des avions militaires depuis la voûte répondait aux pérégrinations du jeune biotope par-delà certaines régions encore inexplorées de la macro-sphère. Du temps de s'extraire du cliché nébuleux des premiers pas devant sa mère en pleine expectative sous les rayons cristalliques de la moiteur hivernale (où figure celui qu'il devait relâcher son bras pour mieux contempler l'étendue d'eau qui entourait le bas-côté des sentiers artificiels). L'air ne reposait pas tant sur l'attrait de la magie blanche, mais, bien plutôt, sur la volonté de se défaire de la ritournelle à l'origine de la mélodie. Il ne devait pas encore éprouver la nécessité de citer le grain séraphique du sirop d'érable, parce que l'imagination dont faisait preuve sa nouvelle amie ne manquait pas de laisser libre-cours aux effets comiques : taille du coffre et variété des étoffes et des accessoires rigolos allant de la plus petite ombrelle à une paire de lunettes de soleil en forme d'étoile en passant par l'inévitable perruque fluorée et la baguette magique qui vont de pair avec la robe de perles. À l'image de celui qui cherche à renouer avec le fil de la pensée, avant qu'il ne bascule dans le profond sommeil, il devait braver une espèce d'intelligence résolue à remonter les feux séquentiels de la prime enfance, dans leur ordre d'apparition (et de la conscience). Rien et pas autrement que les différents degrés de vanité qui caractérisent l'esprit humain et de ce qui fait le sel d'un beau matin ensoleillé encore digne d'éclairer notre rapport spontané avec le mouvement cyclique des planètes.

On [ne] peut se regarder dedans et les enfants en raffolent en toute saison.

Les propriétés parfumées de ces adjuvants sucrés que les publicités encensent à l'heure d'été.

Un lion anthropomorphe et aventurier.

On dirait le personnage d'un dessin animé.

Une fratrie de colorants sans conservateurs et une revue d’ensemble de presque toutes les saveurs.

Service inclus la chouette idée d'un petit surfeur.

Mots qui déblatèrent en sautillant.

Sentiment libre des convenances dissident.

Théâtre des opérations sous ordonnance.

Tout-venant structure de l'apparence.

À seule fin de prêter main forte à l'assistance.

Et si le simple fait de déterminer le rayon d'action qu'on lui prêtait en sa présence comprenait de quoi évaluer la distance qui les séparait en temps réel. Du verbe s'inspire de la verve d'un stoïcien en première intention et la teneur de la prose respire l'évidence de principes auto-formulés avec une rigueur contenue faussement sémillante et parfaitement ingénue, sous tout rapport de l'image éclairée du petit frère de lui souffler les propositions d'une ombre légère, évanescente. Sous réserve de la limite étendue par le syndrome du quatrième mur ne devait pas seulement emprunter la forme circonvulaire des anciennes passions d'après l'exemple de sa propre mansuétude, il incorporait le concours d'esprits faux-fuyants ou chargés d'interpréter les éléments du feu sacré et on disposait de maintes compétences en vue de rétablir la solution des contours : que la résolution puisse se focaliser sur la vitesse de calcul et l'affichage de la réussite et des probabilités par a + id – 1 = i². Avec appréhension du contexte qui consiste à dépeindre le trouble consenti de la sphère étendue dans sa globalité. Sans éprouver la nécessité de contribuer à la somme de notre univers personnel : saisir l'occasion de faire valoir notre droit de réserve perméable car notre père se tient debout dans le petit salon et échange avec son grand-frère. On se fait alors de mettre en garde le jeune garçon, lequel vient positivement de régir leur discursive avec une main devant la bouche : pantalon bien serré + t-shirt rentré + cheveu bien peigné ramené sur le coté = parent proche d'étrenner le parti du gamin en guise de ce qu'il était sur le point de se faire dérouillé comme jamais (rire et désarroi de l'oncle qui refuse d'en venir aux mains et une raison pour laquelle on aurait fini de conclure la formation d'un cercle d'amis imaginaire). C'est du moins ainsi que le Yakumo apparut sur la même fréquence de la longueur d'onde des réflexions que de ce petit frère que l'on rêvait d'avoir + le refrain qu'il s'était mis en tête : une essence de construction lyrique auto-personnelle ainsi que d'une partie incantatoire fondue dans les limites cerclées de l'imagination (donner le change aux créations induites par l'intellect jusque dans le fait d'imaginer l'ensemble des éléments constitutifs de sa personnalité). Et tout cela depuis la seule création du manuel d'instruction. C'est bien la première fois qu'e l'on se présentait avec suffisamment de répartie pour décrire l'opacité du système et des catégories.

Rire eux brouillés à l'instant rincé de la théine

Aîné de la fratrie présent + son frère de passage : le cadet en train de piquer des bonbons dans la boîte prévue à cet effet et tandis que l'autre accoudé à cette même table où de boire un café et la conversation embraye sur le petit neveu, le temps de l'innocence révolu : on pouvait n'être pas tout à fait sur la même longueur d'onde. On avait décidé de réunir les parties concernées chez lui car il venait de mettre en œuvre la possibilité de faire basculer son ingénuité devant la puissance des forces qui s'invectivait avec fracas devant lui (celles qui représentaient en même temps toute l'assistance). On dit que l'été sommant devait être assez proche des retrouvailles en petit comité lorsqu'elles se résorbèrent juste avant le souper. Après un énième silence, la parente en lieu et place de continuer et de partager les éclats de sourires irrésolus et les coupent à l'envie de partir au moment que l'on s'était dit. Tant et si bien que le cercle établi autour de la petite en observance, momentanément éreinté par la tournure des événements attendait un dénouement heureux comme si tout ce qui venait de se produire était le fruit d'un hasard quelconque et inexpliqué en train de questionner le neveu. Alors on met fin au dialogue et lui demande d'épeler le prénom de son ami imaginaire (mais prenant soin au préalable de le présenter comme un mot qui n'existe pas). À trop vouloir s'inspirer des descriptions du neveu, afin de comprendre ses aspirations, on craint maintenant que le trauma dont ils viennent d'être témoins ne finisse par absorber l'éventuel triangle amoureux dans un silence tempérant sous l'emprise de substances. Pourtant son père ne voulait rien entendre. Il se dispute sans cesse avec son frère aîné pour savoir qui était en possession du Yakumo. Pour le premier, c'est l'autre et pour ce dernier, c'était le contraire.

Réponse éclair symbiotique temporaire.

Des portraits imagés de notre jeunesse édulcorée.

Sur les bas-reliefs de notre mémoire imprimés.

Là où les taxes comprises font le tour de la promotion.

Transcendance les autres avide optique.

Stature affabule qui impose.

Qui édifie d'après l'apparence imperceptible.

Des généralités reformulées d'après les circonstances.

Des répétitions théoriques et des injonctions routinières.

De la sourde et lente confusion qui émane du contexte exclusif d'un tel arrière-plan.

Du portrait gondolé en feu souvenir.

De l'inspiration liant nonobstant cette image assimilée au concept de la transparence et de la métamorphose.

L'entrée en matière se déroulait à l'abri des circonstances équivoques d'avoir s su briser les impressions échaudées depuis l'entrée au collège. Une seconde possibilité renforçant le détail du signifié était cette silhouette de fiston issu de bonne famille, comme son accoutrement policé d'élève modèle laissait entendre qu'il avait une année d'avance. Avec le concours des invectives et jusque dans le pré-carré de son champ lexical. À l'affût du prochain mouvement métronome auquel se rattacher avec une droiture nonchalante.

Toute tentative d'échange connexe avec une bande de collègues devait rapidement infirmer qu'au sein des troupes, il puisse encore être ordonné au rang des meilleurs. Aux yeux de certains, il ne cesse d'incarner une tête de premier de classe. Mais, parmi ceux qui s'en trouvèrent pour délibérer plus longuement, une poignée de fatalisme contre-indiqué devait se déclarer en faveur de la charte professorale, au moment de faire un tour de table.

Le groupement des étudiants s'établit au moment de déterminer les rangs, en tenant compte des notes acquises durant les années qui précèdent. Les enfants se mêlant des revues d'effectif si tôt qu'ils cherchent à lier connaissance, il suffit de laisser entendre que l'organisation des classes s'articule autour du mérite et un débat s'exécute parmi nos chères petites têtes blondes en vue de désigner quelle classe pourrait prétendre au titre honorifique de la plus instruite.

La limite des systèmes voit évoluer un troisième cercle élémentaire plus ou moins neutre et effacé, lequel ferait office de médiateur au moment de trancher en faveur d'une proposition. Aux yeux de certains, les querelles d'ambition se conjuguent au passé simple. Mais, pour une écrasante majorité, elles n'ont rien perdu de leur attrait, en cas de dilemme. Les grappes d'écoliers profitent au maximum de la flexibilité des horaires de pause, pour se prêter au jeu des quatre pouvoirs à l'intérieur de la cour.

Les lignes de démarcation du terrain auxiliaire sont jointes par un mur de fonte à partir duquel les pubères s’ingénient à pondre de la distance, relatant les dernières escarmouches entre électrons libres et gentils suiveurs. La décision qui justifie pareille ordination à la lettre émane du groupe dominant. Les autres se sont calqués sur ce précis de popularité. Ils s'ébaudissent en relevant, de-ci de-là, la patte d'une considération mondaine. Ils font preuve de dédain inter-personnel : une douce langueur fraîche, iconoclaste, qui leur sied à merveille.

Le garçon au nez coulant


Avec ses cheveux noirs en bataille et son corps chétif, il ne devait pas payer de mine au milieu de la foule. À ceci près qu'un visage élancé au nez fin et coulant, d'aspect livide, cachet d'aspirine, laissait entrevoir un sourire malingre et une ribambelle de dents blanches et épaisses. Le portrait-type d'une certaine candeur qui le rendait enfant plus que n'importe qui dans la classe. À cette remarque portée sur le design de son haut, avec l'image d'un animal fantastique imprimé dessus, le nouveau répondit par un authentique sourire approbateur, sans se douter que la créature devait rapidement doter l'intéressé d'un sobriquet éponyme. Le fruit de quelques éléments perturbateurs devait faire circuler l'info jusque dans les rangs inférieurs et supérieurs du collège (non pas que les élèves de cinquième). On ne le verrait plus porter ce vêtement.

Il ne semble pas être, ni jamais avoir été en possession du Yakumo. Alors, on va faire en sorte que ce dernier investisse jusqu'à sa manière de penser : depuis le tic-tac métronome et quasi-parfait de son mécanisme d'horlogerie interne – alors que l'on venait de pointer dans la salle de représentation des squelettes... Quelqu'un se mit à désigner la réplique de l'ossature d'un marsouin, comme s'il s'agissait d'une énième incarnation du garçonnet, tant et si bien que ce dernier put assister aux exclamations de la bande. Un établissement de ce style agrandit l'espace de la vénérable fosse aux serpents et son degré fortuit de population. L'élève prolixe cherche à segmenter les redoutables pythons des cobras véritables, les moindres couleuvres des petites vipères aux dents acérées. Cela devait se faire sans l'ombre d'un doute. Le nouveau n'aurait de cesse de se réincarner en serpentin de pacotille.

La mesure insouciante du nouveau venu devait continuer à faire l'affaire de quelques étudiants isolés, au fait de cette méchanceté gratuite dont il serait l'objet depuis sa condition de pièce rapportée. La gravité du rapport de force envers la domination du troupeau faisant feu dans les mêmes proportions que la passivité ruminante de la foule. Bien sûr, lui aussi savait ce que l'on pouvait ressentir ainsi que d'être montré du doigt : il avait passé une partie de l'année de la sixième dans la peau d'un mouton noir, à cause de son côté soupe-au-lait. Mais, maintenant, il faisait preuve de sa valeur à l'ancienneté. Quelqu'un devait subir les affres de moqueries au quotidien ? Cela lui évitait d'amasser ses propres quolibets en porte-à-faux. Le ravalement d'ordre psychanalytique à l'étude du grand nombre continuerait de l'emporter sur toute autre espèce de révélation qui nous aurait conduit à l'accepter à l'intérieur du groupe.

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"Ah, bravo, toutes les portes de l'étage esquintées ! "
"Mais reconnais qu'il n'y a pas de courant d'air..."
"Ah zut, elle est jalouse..."
"Rhaaaah !!!"
"Sois pas de mauvaise foi, cette porte est fermée oui ou non ?"

Bricolage bucolique


Il lui arrive de parcourir l'endroit comme un désert seulement obscurci par les ténèbres jusqu'au petit matin. Mais, le plus souvent, il préfère se complaire à travers les sept lieues de la terre apprivoisée. À l'heure du crépuscule, en attendant la relève d'une époque régie par un petit corpuscule de maisons alentour de la propriété. Avant que le regroupement des lotissements ne soit en mesure d'établir la jonction avec la périphérie du village. Avant que de jolies petites baraques modernes ne viennent s'entasser dans des aires de terrain de plus en plus réduites. À la fois jonchées de chênes, de hêtres et de châtaigniers qui construisent par endroits, une voûte de verdure ondoyante qui n'est pas sans relayer l'image d'une cavité secrète à la lueur du jour, sous le haut ciel azuré. Il existe aussi une certaine compagnie – à moins que cela ne représente un énième atelier viticole – plus loin dans le renfoncement du hameau. Il se contente de redescendre le long d'une route étroite qui ouvre sur un nouveau chemin escarpé et ne se laisse pas arpenter sans laisser choir l'éclat d'un halo de poussière. On peut alors voir poindre les faisceaux apparents qui nous emmènent vers une autre route esseulée avec quelques nouvelles maisons isolées, en amont d'une colline éloignée du reste de la civilisation, aux abords d'un bosquet joyeux entouré de champs ocres et encore bien d'autres arbres époussetés de leur verdure.

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"Ah, bravo, toutes les portes de l'étage esquintées ! "
"Mais reconnais qu'il n'y a pas de courant d'air..."
"Ah zut, elle est jalouse..."
"Rhaaaah !!!"
"Sois pas de mauvaise foi, cette porte est fermée oui ou non ?"

Du vent tiède et la fraîcheur de l'automne : les passants de satisfaire aux routines employées depuis les têtes rondelettes qui s'épanchent depuis la quadrature de l'entendement (et les limites de la ville aussi prospère que quelconque). Il cheminait toutes voiles dehors de par notre imagination, sous un arbre probant de sa vénération proprement des racines et ce petit monde libre d'évoluer au hasard des rencontres fortuites et de potentialités résolues sous le signe de jeunesse à l'épreuve de son moyeu de culture oléagineux. Il a rencontré une fille au cours d'un après-midi et cette altération de son moi propre lui ayant fait le plus grand bien – oh, ne reprends pas maintenant, histoire incontinente et ostentatoire des damnés philosophes ! La barbe, Platon ! Il veut rejoindre le moment présent et le savourer pleinement, qu'un rayonnement en vienne à redorer le blason des dorures d'une magnificence intime. Oui ! Non ! Oh, arrêtes, veux-tu... Mais ne se sont pas quitté sans avoir fixé rendez-vous le week-end qui devait suivre. Elle a proposé de passer l'après-midi chez elle et tandis que la chaleur alanguie de l'automne flânait loin par-dessus sa tenue mirobolante au coin de rue quand elle termina d'apparaître. Il lui fit signe de la main et arrivant à son niveau, elle lui rendit son salut et autre joyeuseté. Le temps du croisement orbital et le vague finissant d'une brise légère. Il n'aurait pas eut l'envie d'y manquer. Elle esquisse un sourire mais un peu plus tard, sous la charge de ses pensées à l'état de veille, la divulgation de l'information devait lui faire l'effet d'une accalmie sur le retour, comme la foudre d'un apitoiement sans rémission. On ne dit pas tout le temps ce que l'on pense, quand bien même on dit quelque chose, et aucun stigmate hypocrite, mais, plutôt, une preuve d'effacement à la manière de, l'incongruité d'un principe contigu émis sous forme d'hypothèse, huh, voyez la trinité sainte maxime ou la devise martiale de jean l'évangile.

Au sein du raccord inter-personnel et des méandres de son tissu psycho-social revient le fait d'anticiper la possibilité de la promenade en vue de lier connaissance et de piquer une ballade à l'extérieur du collège : là et où le point de vue s'amoncelle encore sur les murs du bahut. D'avoir marqué un temps d'arrêt sous le soleil de plomb et de s'être posé à l'abri du regard des passants. A posé une question avant de lui répondre, une fois n'est pas coutume, par l'affirmative en rapport avec l'énoncé adopté par les commodités de la conversation.

Autre bleu sidéral qui semblait planer au-dessus des limites d'un nouveau jour de soleil éclatant. Elle est venue pour l'interroger sur le fait qu'ils ne se soient pas vus de la journée. Lui demande alors où elle était. Elle coupe un éclat de sourire, ajoute qu'il va sûrement lui plaire, avant de poursuivre son dolent babillage ergoté.

Il se prolonge une panacée de secondes chromatiques avant qu'il ne reprenne la discute au seuil de sa dernière parole.

Le libre assentiment qu'ils manifestent l'un et l'autre devait continuer par un effort de complémentarité rationnel, son visage étant juste en face de sa petite tête, au diapason ou prêt à fondre sur lui. Une partie des étudiants dans le rayon de l'esquisse s'imagine que le duo est établi. Les autres en train de se demander s'ils ne s'apprêtent pas à échanger leur premier baiser.

Derrière le petit muret entourant la cour, l'air de n'avoir rien manqué d'une scène passablement altérée – quelque part juste sous la bande-passante de la rétrospective de cette séance éplorée ou en train d'applaudir tel que l'on faisait face à une représentation. La pause qui fixait les deux dernières heures de l'après-midi touche à sa fin. De ces pointillés dans la foulée du clash répertorié laissent libre à chacun de se faire un avis ou de réviser sa copie.

« Il a fait semblant de chercher une raison, en vue de laquelle sa réponse à lui se révélerait négative – Elle venait de toucher un mot de l'éventualité où elle refuserait – Elle a cru prendre un vent à l'instant précis où il allait lui proposer de sortir avec elle – Il a laissé entendre que c'était bon et puis en fait il lui a dit non – Il lui a dit “ok“ et puis finalement, rien. »

Delta exponentiel e


Au milieu beau du rêve. Le vertige à l'épreuve du contre-vent. Néant proche de la transparence nébuleuse. Souterrain dédale. Il s'achemine vers un escalier sans fin. Alors, une passerelle parvient à s'extraire de la terreur obscure. Elle se détache de la nuit sépulcrale à la faveur d'un rayon de lune. Elle remonte en bordure de la sphère qui se dérobe à flot dans l'obscurité, à travers les rues de la ville courante. Les câbles qui permettent de suspendre l'armature métallique se tiennent d'un bout à l'autre de la métropole, à l'image des états-d'âme des riverains qui s'exécutent dans la froide pénombre de l'hiver. Avant que de violentes séries de bruits, tels des chants wagnériens étouffés par la haine, ne fassent leur apparition depuis le côté sombre de la rue. Autant de poussières d'étoiles recrachées par un vent de cryogénisation cybernétique. Tissant les yeux à l'unisson, les dernières émanations du sommeil avant l'aurore doivent mener à bon port la récurrence typée du songe par une de tes images subalterne. Après avoir égrené les rouages du réveil pontifical, le sommeil renvoie les dimensions de l'espace sidéral à la hauteur d'une atmosphère tellurique qui lui convienne.

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"Ah, bravo, toutes les portes de l'étage esquintées ! "
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"Ah zut, elle est jalouse..."
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"Sois pas de mauvaise foi, cette porte est fermée oui ou non ?"

Le parfum de la zone


Comme d'autres, ils avaient été jusqu'à se prononcer sur la question, laquelle faisait pencher de manière si déférente, que cela devait se tenir pour dit. Sur le fait qu'ils se verraient moins après les premières naissances – et encore seulement si – donc, dans super longtemps... Séance tenante irréfléchie ouvrant sur les propriétés de l'argument. À mettre à l'ordre de toute certitude en passe d'être éludée et non seulement par le fait d'en découdre avec une promiscuité plus méfiante et moins désœuvrée.

Le déconnage attendu grâce au progrès technique, même multiple, même étendu, enclin une génération de plus à confondre le véritable problème de l'apparence avec celui de la connaissance de soi. On se rabattu sur le fait de mettre à l'index, la liste des fantaisies édulcorées qui font baisser la moyenne générale. Mais, cela était à craindre et les autres en auraient été les premiers contrariés : les vieilles mondanités occipitales n'en retirèrent que les feux du privilège calfeutré de la jeunesse préconçue en tendance impartiale sous édulcorants.

Alors, certaines voix déclamées ou chuchotées (comme si ce n'était plus une surprise) et (peut-être) encore latentes naguère, éclatèrent en fracas toute redondance. Elles prenaient parti à l'écart de la démonstration. Le tressaillement des timbres finit par se dissiper. Autour de ceux restés debout, les autres, dans le cas où il y aurait eu effusion, se sont relevés avant de s'en retourner en expliquant que l'on faisait peut-être fi de certains détails et autres éléments concordants. Certains paramètres avaient pu leur échappé.

Pour l'heure, l'équation fait preuve d'une simplicité débordante : il y a cette opportunité, depuis le boulot, laquelle consiste à rejoindre la Nouvelle-Calédonie + copine là-bas. Éclaircissements disparates et clash révélateur : le vent du chaos claudiquant. Il y eut un bref répit de silence terminal, plusieurs moments de calme complet et ce fut un moment de silence terminal et réfléchi. Quelques bouts de phrases et menues considérations ne lassaient pas de tournoyer par hypnobeat aux encornures.

La mesure de la distance, le brouillage intellectuel et concomitant, lointain écho de l'union sacrée habituellement présumée. On se demande comment ce petit monde en arrive à le travailler, de manière aussi hiératique. En pratique, il était souvent là. En petit comité, il manifestait à leur encontre, tout ce qui devait lui poser question durant la conversation et c'était peut-être, en fin de compte, ce qui le faisait psychoter, de plus en plus sérieusement.

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"Ah, bravo, toutes les portes de l'étage esquintées ! "
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"Ah zut, elle est jalouse..."
"Rhaaaah !!!"
"Sois pas de mauvaise foi, cette porte est fermée oui ou non ?"

Une semaine – bientôt 6 jours – depuis la sortie requise en prérogative : sans blague, deux semaines en tout. C'est pas malin, choquant, vous avez l'air... et une semaine plus tard, recroisée, il l'a. Ce n'était pas prévu de reconnaître un esprit libre comme un apostolat devant l'imposture de la conscience en tant que cercle maudit. Avant que chaque raisonnement ne débouche sur des propos hors-contexte qui s'échelonnent depuis les degrés différents de la vanité. Moment propice d'en finir subséquemment. Comme s'il n'y avait personne et rien qu'eux. Autant rêver beaucoup entre mille et une autres choses futiles. Le précis de normalité témoigne d'une ivresse comparable à celle du rêve, de la propriété psycho-somatique qui repose sur l'objectivation de la pensée en tant que roue circulaire. Mais c'est en deux – l'espace d'un temps infini. Même pas mieux. C'est bien en deux temps, l'écriture aussi et elle est entre les deux. Le temps et l'espace. Pourvu qu'il se souvienne de la longueur d'une journée l'une après l'autre, tout ce qui ne saurait durer de la sourde et lente cacophonie alanguie des symptômes, après l'emballement des premières quinzaines prolongées dans l'aurore et la fine fleur salivaire de sa bouche suspendue au plus lointain connard des possibles. Au lieu d'être à son cou – de l'art en lieu et place de toutes les autres plates excuses et propre aux seuls égards de ce qui demeure dans un souvenir assez net, quoique pas trop contrasté plus tard. Avant d'en venir à coucher sur papier faute de coordonnées si chères en ordination d'un petit cerveau. Pour faire semblant d'être ou ne pas dire vraiment, le fait de revenir à soi mais en se consignant uniquement dans le bloc-mémoire de l'objectité.

Assemblage personnel d'écoute


Lui

je transmets discours apparu en tête du topic sur les troubles de la mémoire, avec un semblant de direction spontanée. D'où ceci écrit par chose, en old type de connaissance normo je crois qu'il est, sous ma dictée, mais, en bien lâche de l'attente et du temps (à perte) (repeat so devine quoi donc qui écrit) à partir de bribes de notes abc.

L'idée partait de décrire le thème sur lequel j'aurai improvisé pendant qu'il tapait, mais, oh sûr, avant (d') alors, j'ai vu chose pas crédible avant ou après (depuis avant).

alors j'ai dépouillé avant de taper sur feuille et quelque chose du genre de l'impromptu s'est imposé jusqu'à xtra élargir cette limite naturelle du temps qui passe (rapport à ce qu'on gagne et ce qu'on perd, mais, au final, ce n'était pas drôle tu peux te douter ou deviner en quoi cette perte subsidiaire de temps est amusante).

Rien à ajouter, je crois que tous, bcp le savent, à propos des conneries k'on écrit pour, peut-être... aller mieux et voir du monde. C'est juste que... j'aime me concentrer et triper à fond sur l'art et me suis toujours dit que d'autres, quelque part, pensent et tripent pareil (dans 1 moindre façon).

Une précision d'aujourd'hui qui a son importance en rapport avec quelque chose du dualisme, de l'opposition et une ambiguïté.

C'est vrai, je suis un narrow-minded cultural assumptions et/ou par défaut d'avoir été cultural assumption... et toi tu n'es pas une hippie fashion chick n'est-ce pas ?

Le minimum syndical de la conscience suffisante et en complète auto-gérance pour peu que l'on ait assimilé.

Elle

bon sang bon dieu de bonsoir ! tu imagines ce que ça fait pour le commun des mortels de recevoir un message pareil ? Par chance, j'ai un bac L, mes capacités d'analyse restant vives, ok, champ lexical..., donc oui oui tentons.

"ça parle de chose hmmm oui..... d'une écriture sous dictée.... (ça oui, or tôt faux niste, alors oui ça me parle ça)... dérivation langagière nocturne et pas que, de délayage existentialiste, et de tristesse....ossi oui"

mais quand même, c'est pas fassil. Tu pourrais répéter encore une fois? Comme si tu t'adressais à une hippie fashion chick n'est ce pas.

Le post sur son mur indique la verve du doux mélodrame en fermentation.

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"Ah, bravo, toutes les portes de l'étage esquintées ! "
"Mais reconnais qu'il n'y a pas de courant d'air..."
"Ah zut, elle est jalouse..."
"Rhaaaah !!!"
"Sois pas de mauvaise foi, cette porte est fermée oui ou non ?"

Il suffit du peu de se remémorer le jazz remisant à l'ordre du jour une approche relative au clan, à une tribu constituée d'un regroupement des familles. Tout cela pour étancher la moiteur du ciel carabiné. À l'heure de la pop synthétique, éminente et produite dans sa chambre, en train de marcher sur la plage en plein hiver. Avec le vent conjoncturel, fonction de la toute puissance des éléments. Alors, la petite brise d'un été ensoleillé aurait fini de renvoyer l'image bucolique d'un petit jardin pavillonnaire laissé à l'abandon et que le naturel factice d'un amas de verdure qui se dresse alentour des chemins de traverse en vienne à nourrir le parfum des tropiques. Tandis que l'étoile se défile sous la pression de l'atmosphère, la morosité ambiante impressionne à travers la luminosité ternie des coloris, l'image d'un labyrinthe de type géométrique, à ciel ouvert – idéal pour laisser choir le plus de satisfaire un besoin de distraction. Synergie lucide et/ou injonction syllabique – pour le profit d'effacement d'une appli visant à faire des émules dans toutes les terminaisons du système neurologique. Toute autre tentative de définition ajoutée au tableau d'ensemble en vue de correspondre avec la modalité des transes prêtes à l'emploi et autres partielles en cours d'utilisation garantissent la condition du groupe à l'étude, capable de se joindre aux différents modèles d'intégration du diagnostic, mais bon... faits et cause entendus, d'après la bonne marche des éléments qui servent encore, 'tain – en vague et nombre donné par l'ensemble et l'observation d'un etc.

Nég : (A) + + Le sujet dépourvu du cadre initial doit prévaloir sur l'ensemble des considérations octroyant d'expliquer comment faire preuve et talent de la plus haute teneur des événements, à l'épreuve de la science et de la fiction > < (swallow shuffle)

On ne se charge que de compenser les limites cerclées de l'imagination. Au son prétendu des idées sur les héros de fiction.

La petite prose récitée depuis l'unique exemplaire de la page manuscrite aurait été en mesure d'éprouver la sensibilité de l'organe exécutif.

Tout de rétablir le rayon de la conscience en milieu protégé.

Il ne rendait pas compte de la linéarité du programme en tant que perspective du tableau d'ensemble ou en fonction des phrases établies depuis la mécanique du roulement à bille détourné en tournure de frappe.

L'aspect clinique un peu terne et cérébral du rendu esthétique de la prose se révélait tout à fait propre et compatible avec une expérience de lecture inédite et parfaitement imagée, toujours plus immersive.