La scierie constitue d'ailleurs l'exemple typique de ce que vous expliquez, tous.
D'un côté, l'avancée dans la scierie avec les zombies mous du genou n'est absolument pas amusante. J'en ai fait la moitié en retenant mon souffle (merci les stabilisateurs !) et l'autre moitié en leur tapant dessus au tuyau, objet droppable à l'infini juste devant la salle de sauvegarde en tuant les zombies qui respawnent sans cesse. Une mécanique certes pratique, mais qui flingue l'immersion tant on dirait une grosse repompe d'un Megaman.
En plus, c'est plat et d'un convenu...

D'un autre côté, les interventions de l'individu à l'imper sont géniales, très bien emmenées et très stressantes ! J'avais le palpitant qui battait à 100 à l'heure dans la salle de sauvegarde où il cherche York avant de balancer sa hache de rage...et cette idée de diviser la caméra en deux est vraiment bien trouvée, bien que très déstabilisante (et parfois un peu brouillonne) ! Il aurait presque fallu intégrer des scènes d'action rien que pour son beau minois tant ses apparitions sont remarquées.

Sim, je vais lire ton article pour voir si on a eu les mêmes impressions sur le film
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

Attend de finir d'avoir vu la série, je prends une vue d'ensemble et ça peut te gâcher des aspects de la série.

Sinon je suis totalement d'accord avec toi sur les "combats".
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Je suis quasi sur d'avoir essayé de le butter dans le prologue après l'accident de voiture
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Non, je t'assure que non. Je peux me tromper, mais on n'utilise jamais son arme contre lui dans ces phases, et je crois qu'il n'apparaît même pas dans le prologue (vérifié rapidos sur un FAQ).
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Si il apparait, mais c'est juste un QTE ou on évite sa hache avant qu'il s'enfuit sans qu'on ai fait quoi que ce soit. De tout le jeu, la seule fois ou le héros sort son flingue face à lui c'est même pas pour lui tirer dessus mais sur l’interrupteur de l'ascenseur.
Ce coté "aucune attaque contre le mec à l'imper" ça vient clairement des base du développement ou le héros n'avait aucune arme.

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Bon je me tate beaucoup là, pour ne pas dire que je suis à 95% sûr de le prendre.
On nous promet un nouveau scenar, faut voir si c'est vrai ou pas, si c'est le cas, je fonce
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A mon avis ce sera plutôt une nouvelle quête annexe, ou une nouvelle fin, je vois mal Swery réécrire tout le scénar.

C'est vraiment cool qu'il ressorte pour ceux qui n'ont qu'une PS3, mais ça m'étonnerait que ce soit la peine de le racheter si on a la version 360.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Il me semblait qu'il etait sorti en jap sur ps3.

Une quete annexe ca peut etre sympa, c'est dommage qu'ils fassent pas un DLC sur 360, parce que ce que la fin dit, c'est que y'en aura(it) sur PS3.
Je sens bien un flashback avec Zack/York jouable en plus moi.

Par contre la HD je sais pas, j'ai vu des images de la HD de GOD HAND et ca fait peur je comprend pourquoi ils proposent pas de démo.

Mais bon refaire deadly ca me branche bien moi ^^ S'ils pouvaient refaire les succès aussi. C'est chiant de refaire 3 fois le jeu pour les avoir tous...
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Oui, il est sorti au Japon sur PS3, je pensais aux joueurs occidentaux.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

C'est marrant que ce topic soit remonté parce que j'ai fini le jeu il y a quelques jours. J'ai eu vent de ce jeu par le forum comme souvent, et vous lire m'a aussi aidé à me motiver pour avancer dans le jeu au moins au début (il m'a fallu plusieurs semaines, à coup de petites sessions sans enthousiasme, pour passer les premiers chapitres).

Certes, j'étais prévenu… mais qu'un jeu ait pu être commercialisé dans cet état, il faut le voir pour le croire. Je vais éviter de faire trop de redite, mais le jeu est vraiment pitoyablement réalisé à peu près à tous points de vue, c'est spectaculaire. Il est à mon avis approximatif de dire que c'est en gros du niveau d'un jeu PS2 moyen, car ce n'est pas qu'une question de technologie. Des beaux jeux, il y en a sur toutes les générations de machines, et ce jeu me paraît moche dans l'absolu, de façon parfaitement intemporelle.

Il y a quelques bons éléments, comme les zombies, très réussis à la base (y compris les "rampants" qui semblent sortis de films comme Ju-On ou The Ring), mais qui deviennent vite terriblement génériques, car leur rencontre s'accompagne d'un dénuement total en matière de mise en scène ET de level-design. C'est le néant créatif à ce niveau-là.

Et comme l'a dit Shenron, tout ne s'explique pas par un manque de temps ou de budget. À peu près tout ce qui relève de l'interaction, dans ce jeu, relève d'une compréhension franchement douteuse de ce qui fait un (bon) jeu vidéo. C'est bien simple, il n'y a presque rien dans ce jeu qui ne soit pas pénible à faire, c'en est stupéfiant. Ça va des petits détails ergonomiques de l'interface (petits voire gros, comme la carte, qui est une mauvaise blague) jusqu'à moult aberrations confondantes… les séquences de planque et de fuite en QTE - et plusieurs fois encore ! La séquence avec le chien qui flaire la piste !! La PÊCHE AU DOSSIER !!! Mais comment on peut foutre des choses pareilles dans un jeu et croire que ça va intéresser le joueur, ou à la limite ne pas le consterner ?

Le développement du jeu a quand même dû être sacrément chaotique. Les derniers chapitres confirment pour de bon que ce jeu aurait pu ou dû être d'une autre envergure. On se retrouve avec une succession de combats de boss qui n'ont rien à voir avec et ce qui était proposé jusque là niveau gameplay, et s'ils ne sont pas inoubliables, on a plus ou moins (enfin) l'impression de jouer à un jeu vidéo. Et un truc m'a frappé, au moins techniquement : les deux premières transformations de Kaysen. J'étais vraiment surpris par leur qualité graphique, complètement en décalage avec les standards du jeu, on aurait dit que ça venait d'ailleurs.

Quel dommage aussi que le versant "réaliste" du jeu et ses composantes "surnaturelles" ne s'entremêlent pas davantage. Ça aurait donné tellement plus de corps à l'ensemble…

Et malgré tout ça, et le fait que ce jeu soit bien trop long pour ce qu'il a à offrir (27h de jeu en faisant peut-être la moitié des quêtes annexes !), je l'ai fini et j'ai plutôt passé un bon moment. Une fois passés quelques chapitres, on a envie de continuer malgré tout, on veut connaître la suite, tout simplement. York devient vite très attachant, et le pan du scénario qui le concerne, lui ainsi que ce mystérieux Zack, est vraiment excellent, ça vaut le coup d'aller au bout pour en connaître le fin mot. La fin d'une façon générale, avec ses multiples rebondissements (ok, pas tous très inspirés, cf la transformation du commissaire en espèce de Blanka radioactif) et ses surprenants moments d'émotion, est réussie.

Le jeu est sauvé uniquement, donc, par ses personnages, ses dialogues, son scénario (encore que même là, tout ne pas pas entièrement convaincu). Bref, ses éléments filmiques, et seulement ça. Si je pouvais revenir deux-trois mois en arrière, je m'abstiendrais, et je passerais plutôt cette trentaine d'heures à regarder la série Twin Peaks, que je n'ai encore jamais vue.

Vous êtes plusieurs à avoir apprécié ce jeu, je suis curieux de votre avis là-dessus en particulier : y a-t-il quoi que ce soit qui ait justifié pour vous d'avoir un pad entre les mains ? Ses similitudes avec Twin Peaks semblent être plutôt une source d'intérêt pour vous, mais qu'est-ce qui vous ne fait pas dire au contraire que ce jeu n'a, du coup, pas vraiment de raison d'être - s'il ne fait qu'apposer un mauvais gameplay à des idées piquées à une série, autant ne garder que la série ?
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"Et quand ils devenaient mécontents […] cela ne menait à rien, car sans idées générales, ils ne se focalisaient que sur des contrariétés insignifiantes. Les plus grands maux échappaient invariablement à leur attention." G. Orwell

Je l'ai vraiment pris comme un jeu d'aventure, comme un point'n click, un jeu d'aventure texte, certains éléments de "Majora's Mask", les vieux "Resident Evil", "Fatal Frame", etc.

Je pense que la liberté change tout, se dire "tiens, je vais aller voir untel", suivre telle voiture, aller à tel endroit... Et même dans les séquences méga scriptées le format du jeu change l'impact, par exemple le gag des clefs avec les porte-clefs d'écureuil n'aurait aucun intérêt/sens dans un format TV/ciné.

Il y a aussi les contraintes de la TV et du ciné, justement, qui font que le jeu peut se permettre des choses différentes, plus prendre son temps, être moins prévisible...

Après tout, pourquoi toi tu as joué à "Resident Evil" au lieu de regarder un bon film d'horreur ? Parce que le gameplay de "Resident Evil", bon...
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Moi je l'ai pris pour ce qu'il est un jeu PS2 qui a du etre porte à l'arrache sur PS3 parce qu'elle venait de sortir.

Le debut est un peu lent à demarrer, et c'est vrai que j'ai toujours pas compris pourquoi l'uzi est en fait un lance-flamme, mais le scenar est tellement bon, york tellement attachant, la musique envoutante, et l'ambiance.
Bon sang à force d'y jouer je me suis vraiment pris au jeu, et la fin ca m'a remué comme rarement.
Après c'est sur qu'il faut etre retrogamer à fond pour faire fi de la réalisation et des quelques défauts de "jeunesse" mais perso c'est le genre de jeu qui laisse pas indifferent
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Simbabbad, je te rejoins sur l'ensemble de ton post. D'ailleurs j'ai dit plus ou moins la même chose après avoir essayé la démo de The Path, l'interaction même peu élaborée change beaucoup de choses, ce n'est pas pareil de simplement faire avancer un personnage vers un danger potentiel que de regarder la même chose lors d'une cinématique.

Mais l'interaction atteint un tel degré de pénibilité dans Deadly Premonition (et je suppose dans The Path aussi tiens, sur la durée du jeu) que j'étais curieux de recueillir des avis à ce niveau-là, de savoir comment les gens passent outre.

Bien vu pour les vieux Resident Evil, ça a d'ailleurs longtemps été une énigme pour moi, alors que je commençais à me forger des convictions sur ce qui fait un bon jeu, je me disais "ouais mais attends, comment ça se fait que tu aies pu apprécier ces jeux-là ?" Et puis j'ai fini par intégrer les éléments de réflexion qu'on vient d'évoquer ici. Mais de mon point de vue, tout de même, les vieux Resident Evil justifient davantage d'avoir un pad entre les mains que Deadly Premonition.

Plein de choses lient interaction et réalisation et font qu'on prend plaisir à jouer, par exemple contrairement à DP, dans RE on sait qu'un truc peut nous sauter à la tronche quand on s'approche d'un objet à examiner ou qu'on avance dans un couloir (c'est tout con mais ça implique déjà en tant que joueur), il y a une "satisfaction" à abattre les zombies dans RE qu'on ne retrouve pas dans DP… et le jeu étant bien plus court et rythmé, l'ensemble paraît plus digeste et le joueur est davantage maintenu en éveil. Bref, oui, le gameplay d'un vieux RE est rudimentaire, mais suffisant, adapté, et on ne retrouve pas cette pénibilité sur la durée de DP et tous ces moments où on perd le pad des mains en se disant "mais pourquoi ?"
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"Et quand ils devenaient mécontents […] cela ne menait à rien, car sans idées générales, ils ne se focalisaient que sur des contrariétés insignifiantes. Les plus grands maux échappaient invariablement à leur attention." G. Orwell

C'est parce que tu compares les phases de tir/gestion des munitions de "Resident Evil" (à peu près tout gameplay est là, parce que mettre des médaillons dans les trous en forme de médaillon, bon) et les effets de surprise occasionnels, avec les phases d'action de "Deadly Premonition". Or, les phases d'action de "Deadly Premonition" sont hors sujet, c'est un jeu d'aventure auquel on a imposé des phases d'action.

Pour moi "Deadly Premonition", c'est me dire "tiens, aujourd'hui, je vais aller voir untel pour le questionner parce que je ne l'ai pas vraiment fréquenté depuis le début de l'enquête", alors je prends ma bagnole, pendant que je conduis, tout en faisant attention à la route, York sort une anecdote hallucinante qui me donne la banane aux lèvres, puis tout d'un coup je croise quelqu'un en voiture qui n'est pas vraiment censé être là, alors je change d'avis et je le file. Arrivé à sa destination, je vois qu'il avait rendez-vous avec quelqu'un auquel je ne m'attendais pas, je m'incruste, des dialogue suivent, j'apprends des choses intéressantes voire obtiens de nouveaux fils d'intrigue avec objectifs secondaires... pendant que je suis là je jette un œil sur les environs, trouve divers objets à ramasser voire de petits puzzles d'exploration, puis je retourne à ma bagnole et vais vers ma destination originale alors que York ressort une anecdote marrante en conduisant.

En arrivant sur place, je me rends compte que la personne que je voulais voir n'est pas là, alors je fume une clope, fouine un peu, consulte mon agenda pour voir ce que je pourrais faire au cas où la personne ne se pointe pas, puis je reçoit un appel urgent d'Emily parce qu'il s'est passé quelque chose, alors je plante tout, je fonce vers ma bagnole, et me rend à l'endroit du dernier drame, sirène hurlante, York monologuant encore, et moi essayant mentalement de construire des déductions entre l'enquête, ce que j'ai appris des personnes que j'ai filé, et le dernier événement.

Voilà, c'est ça "Deadly Premonition", et pour moi sincèrement ça justifie plus son utilisation du pad que quelque chose comme "Resident Evil" auquel je rejouerai moins volontiers (je n'ai jamais fini le remake). Je veux dire, même un truc comme les clefs à écureuil, être pad en main et avoir cet adjoint du shérif efféminé t'expliquer que la troisième clef que tu viens de t'emmerder à trouver n'est toujours pas la bonne parce que ce n'est pas exactement la bonne race d'écureuil, c'est quelque chose que tu ne peux pas vivre autrement, ce côté "mais il se fout de ma gueule ou quoi/dans quel asile de fous je suis tombé, c'est quoi ce trip"?

Tout d'un coup, on se souvient que le jeu vidéo peut aussi faire ça, et on se demande pourquoi il ne le fait pas plus souvent. Franchement, un cartoon qui se substituerait à "Day of the Tentacle", ça serait d'un chiant, c'est trouver soi-même l'idée farfelue qui résoud les problèmes qui est drôle, pas qu'on nous donne le gag directement, et là c'est un peu pareil.

De plus, j'avoue ne pas avoir été gêné plus que ça par la technique ou les menus/l'interactivité, mais ça c'est quelque chose que mes années avec l'Amstrad et l'Amiga m'ont laissé.
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Mon expérience a été différente de celle de Simbabbad, puisque j'ai très peu flâné dans Greenvale, je passais tout mon temps à chasser les missions secondaires, ce qui est d'ailleurs indispensable pour rendre les séquences d'action gérables, puisqu'on y débloque les armes à munitions infinies.

Par contre j'ai apprécié le jeu pour les mêmes raisons, et idem vis-à-vis de Rainmaker : les persos sont parmi les plus vivants et attachants que j'ai pu croiser dans un jeu, les dialogues sont excellents, l'ambiance est vraiment particulière, et le scénario, s'il part en sucette sur la fin, est très prenant.

Et certes, le jeu est moche, mais ils ont pourtant réussi à modéliser suffisamment bien les persos pour qu'on ne doive pas assister à un ballet de poissons morts.

Quant aux défauts du gameplay, ils sont certes assez énormes, mais on peut assez facilement passer outre : au début du jeu, j'avançais systématiquement barre de fer à la main, prête à dessouder du monstre en un tournemain, et je ne passais à une arme à feu que quand j'étais sûre d'être safe. Le pompe ou le magnum à munitions infinies tuent tous les ennemis en un coup (sauf les rampantes), et permettent d'avancer rapidement dans les donjons. On trouve aussi rapidement de meilleures voitures, plus maniables, et la carte devient rapidement inutile car on apprend à connaître la ville.

Et puis la musique est inoubliable.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Le seul regret que j'ai en fait c'est de pas avoir le jeu en VF, par moment je devais lire les monologues, du coup pour conduire c'est pas top
Et puis les monologues qui s'arretent net dès que tu descends de voiture... Obligé de conduire vers nul part pour avoir la fin de la discussion

On en parle pas beaucoup mais le méchant en capuchon rouge il est super marquant. Il a impressionné ma fille par exemple ^^
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Pour moi c'est la même chose en fait, enquêter/flâner/faire les quêtes, en faire une mène à d'autres choses, vraiment exactement comme "Majora's Mask" (qui pouvait aussi être assez lourd ludiquement parlant).
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Dans majora vu le temps limité fallait plutot se cocentrer sur une unique quête à chaque fois, je me rapelle pas du tout avoir eu le temps de flaner
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Hmmm un trailer est dispo chez gk
http://www.gamekult.com/video/deadly-premonition-the-directors-cut-trailer-de-lancement-3050133007v.html

Je vois pas enormement de différences. Surtout niveau graphique...
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