"Petit Cœur" c'était chouette comme traduction aussi je trouve, si vraiment il fallait franciser le nom... La plupart du temps les traductions de l'animé VF étaient honteuses, on est d'accord.

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Pour les amateurs de pixel porn, j'ai fait quelques captures du jeu sous RetroArch. À voir en taille réelle, bien sûr (clic droit > Visualiser l'image).

En "taille réelle" ça aurait plutôt été à la résolution d'origine, mais bon il aurait fallu sortir la loupe, c'est pas plus mal comme ça. Merci pour ces beaux pixels.

Et jouer avec le héros sans nez change le scénario ? des petits trucs alternatifs rigolos ?
Ou tu refais le story mode avec juste un héros avec un skin différent ? des coups propres ?

j'aime bien aussi mais bon ca se prend trop au serieux. DB y'avait vraiment ce ton leger qui dedramatisait et qui etait vraiment raffraichissant


Bah c'est pas maitre des tortues ?


je pense que c'est aussi pour dedramatiser


Ces coups propres il me semble oui, mais bon 90% sont les memes.
Il me semble que krilin est moins puissant et que du coup c'est un peu plus dur de finir avec lui.

Faudrait que je le relance tiens, il me semble avoir super galéré pour battre piccolo avec krilin parce qu'il manque un coup, ou un combo
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Je vais me faire taper mais les paroles du générique Japonais de DB Z... ça ne veut rien dire, si ?
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Bin, plutôt Piccolo = flûte (et c'est confirmé par Toriyama, qui à pris l'habitude de donner des noms d'objets ou de bouffe à ses persos, pour l'anecdote. ^^" ) - faut pas oublier que la horde de démon de Piccolo "senior" portaient tous des noms d'instruments de musique en vo.

Ouais, j'avais lue un article sur les doublages d'époques où ils avaient des consignes comme "éviter le plus possibles les mots étrangers", ça pourrait expliquer ceci et celà. Mais, je sais pas, un piccolo, ça se dit aussi en frenchie, quand même.

- Perso, ma théorie est simplement qu'ils ont du improviser un truc suite à une erreur de traduction - idem pour san gokû qui se fait appeler "cachalot" de son vrai nom saiyen, alors qu'il suffisait juste de traduire par "carotte" - oui je sais , ça parait tout aussi débile que "cachalot" vu comme ça, mais ça se justifie parce que les saiyens portent des noms de légumes plus où moins déguisés à l'origine .



Attends voir...

( ...évidemment, vu sous cet angle là .)

Mamie gateau qui t'aime mon p'tit bout

( ^^" Heu, en fait ils en fait pleins d'autres des comme ça, mais celui-ci est le moins vulgaire de la liste par rapport aux autres génériques "mal-soustitrés" visibles sur tutube (y'à aussi celui de saint seiya, en prime ).- enfin, y suffit de chercher (dragon ball) misheard lyrics, si vous voulez ^^"

Dans le mode story avec Krilin, les cut-scenes ont été supprimées, il ne reste donc que les phases jouables. Ses coups sont différents de Goku : il a notamment un double saut, un launcher, et toutes les anims sont différentes. C'est vraiment soigné.

Ermite de la Tortue. Mais il se fait aussi appeler Muten Roshi (c'est un titre, pas un nom), Krilin l'appelle toujours ainsi d'ailleurs.

A cause du probleme de changement de nom de Piccolo -> Satan Petit Coeur, je pense que c'est pour ca que Mister Satan est devenu Hercule en VF... (deux Satan ca faisait trop)
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Oui, du coup en VF ça aurait pu être pire, dans le genre... "Tortue l'Ermite, (de son vrai nom Bernard)" - Ah, Bravo... .



Je me suis fait la même remarque : "Ah c'est balot comme situation, ils pouvaient pas prévoir ça, évidemment, mais du coup ça tombe à plat... tout ça à cause d'un changement de nom arbitraire."

- ^^" Bon, ok je l'accorde là, "Hercule" pour ce genre d'énergumène, ça fait tout aussi loser et bateau comme nom de scène, mais du coup on perd le lien (diabolique) avec sa fille Videl. :/

Perso je l'aurai plutot appeller thierry
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Oui, aussi - (Bernard, ce serait plutôt à cause du crabe ...et de B.Minet)

Aucune différence sinon de gameplay mais quel gameplay ! Krilin est super vif, constamment en mouvement, ça tient à trois fois rien mais c'est incroyablement jouissif.
(La seule "grosse" différence entre les deux persos réside dans leur capacité à dévier/renvoyer-à-la gueule-de-l'ennemi les projectiles.)

Mais j'en rajoute une couche : ce jeu est une merveille !! Répétitif à souhait et pourtant on en redemande.

J'ai fait quelques captures du mode Story avec Krilin, en particulier les coups qui lui sont propres.

- Double saut / super saut :



- Le launcher :



- Une super attaque :



Evidemment, elle éblouit les ennemis pendant un petit moment.

Le mécanisme du kaméhaméha est inchangé.

Petite anecdote, dans les niveaux aériens avec Krilin, il chevauche un nuage mauve au lieu de jaune :



J'ai vu aussi qu'il y a un coup permettant de ralentir sa chute en aspirant de l'air, mais pas moyen de trouver la manip...

Y'avait pas d'autres persos à debloquer quand on refini le jeu ?

Ou alors c'etait un cheat pour jouer avec certains persos.
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Y a plein d'autres persos à débloquer, mais pour le mode Versus ou Extra. À ma connaissance, le mode Story n'est jouable qu'avec Goku et Krilin, en tout cas officiellement.

Après le départ à la retraite de mon Xperia Play, j'ai enfin retrouvé une portable dédiée à l'émulation. Je peux donc me remettre au rétro, et alimenter ce Groblog au fur et à mesure que je finis les jeux.

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Zelda II: The Adventure of Link - FDS / NES - 1987

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J'ai ce jeu en cartouche depuis sa sortie, mais je ne l'ai jamais fini sans save states. Je l'adore quand même, malgré sa difficulté titanesque.

Dès le début, la série Zelda a commencé à développer son univers, en créant des liens scénaristiques entre ses épisodes. Comme le premier, Zelda II introduit son histoire à l'aide d'un texte qui défile à l'écran titre, après quelques secondes. Néanmoins, le contexte est beaucoup plus détaillé dans le manuel, où plusieurs pages lui sont consacrées, illustrées par des dessins.



La notice entière.

En gros :

À la fin du premier épisode, Link est parvenu à reconstituer la Triforce de la Sagesse, éclatée en huit morceaux par Zelda, et à récupérer celle de la Force, volée par Ganon.

Zelda II se déroule quelques années plus tard. Link est maintenant âgé de 16 ans. Un beau jour, il découvre une marque sur sa main gauche, qui ressemble au symbole d'Hyrule. Impa utilise cette marque pour ouvrir la porte magique du Château du Nord, dans lequel une jeune fille est endormie depuis très longtemps. Il s'agit de la princesse Zelda, mais pas la même que celle du premier épisode : c'est la première princesse Zelda, qui est à l'origine de la légende.

Son frère voulait absolument connaître l'emplacement de la Triforce du Courage, le dernier des trois triangles, mais Zelda refuse de lui révéler le secret. Un magicien ami du prince jette alors un sort de sommeil très puissant à la princesse. Le sorcier ne survit pas à cette magie. Plus tard, le prince rongé par les remords, décrète que chaque fille de la famille royale soit baptisée Zelda en hommage à sa sœur. D'où la légende.

Impa explique à Link que la marque sur sa main signifie qu'il est l'élu. Il doit placer chacun des six cristaux dans sa statue respective, afin d'ouvrir le Grand Palais, contenant la Triforce du Courage. Seul un souhait exaucé par la Triforce enfin réunie, pourra réveiller la princesse. Évidemment, chaque statue est au bout d'un palais, et l'armée de Ganon fait tout ce qu'elle peut pour tuer Link, et ainsi ressusciter leur chef grâce à son sang.

Aussi, il est intéressant de noter que la carte de Zelda I est incluse dans celle de Zelda II, en version simplifiée :



Le gardien du Grand Palais est appelé Thunderbird.



Après l'avoir vaincu, il est temps de s'emparer de la Triforce du Courage. Mais pas si vite.
Avant de remettre au joueur le triangle divin, le sage fait apparaître le double maléfique de Link. C'est d'ailleurs la première apparition de Dark Link.



Le fragment du Courage est à nous !



Les trois parties de la Triforce enfin réunies, Link peut alors souhaiter le réveil de la princesse.
Zelda embrasse ensuite Link derrière le rideau, ce qui est sûrement la seule fois où ça arrive dans la série.



La musique de fin :



Bonus :

Un speedrun du jeu issu de l'AGDQ 2015. Le mec ne prend pas la bougie, et se tape donc toutes les grottes du jeu dans le noir, y compris celle de la Death Mountain 0_0.

Dis moi que t'as fait expres pour me narguer ?
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Même pas, c'est une coïncidence. Mais j'ai dû abuser des save states pour le finir, donc ça compte pas.
Si tu veux vraiment être dégoûté, regarde plutôt le speedrun que j'ai posté plus haut.