J'ai acquis Metro 2033 pour 5 € sur PC sur Amazon (foncez, il doit y en avoir d'autres !).

Avant toute chose : ce jeu met à genoux une GeForce 460 GTX (1 Go). Il tourne très bien sur mon PC mais voilà, si les décors sont bien moins denses que ceux de Crysis, ce qui est affiché à l'écran explose Crysis au niveau des effets et des textures. J'ai du me passer de DirectX 11 pour y jouer dans des conditions presques parfaites, là je sens surtout que mon manque de Ram est pour beaucoup dans les chutes de fps.

Ce jeu est une perle. Un jeu post apo ultra linéaire avec une écriture et une ambiance du tonnerre. Le jeu est en plusieurs langues, dont le Russe. Les voix françaises sont très bonnes mais... le doubleur officiel de Marcus Fénix de Gears of War semble avoir doublé la quasi totalité des personnages, on l'entend pour ainsi dire sans arrêt. Préférez donc soit les voix Russes, soit les voix anglaises, excellentes.

Je n'ai pas lu les livres dont est tiré le jeu (comme S.T.A.L.K.E.R.) mais l'histoire semble assez intéressante. A propos de l'histoire, sachez avant tout que :



Suite à un trailer polémique sur la version française, les "Noirs" sont devenus les "Sombres". Heureusement, le roman français lui, conserve le terme "Noirs". Ca me rappelle RE 5...

L'histoire se situe bien évidemment donc en 2033 dans le Métro Moscovite. Les humains se sont regroupés dans des stations, ces dernières étant devenu au fil des années des communautés à part entière. Chacune à ses règles, ses lois et... ses cinglés (il suffit de voir comment on est accueillit dans la Station des Communistes, juste avant d'aller dans une autre Station tout aussi amicale et chaleureuse : une Station tenue par les néo nazis).

L'ambiance est souvent glauque et déprimante, voir oppressante : les nombreux dialogues que l'ont peut écouter ça et là renforcent puissamment l'immersion et donne un cachet très crédible à cet univers. Les premières Stations visitées sont criantes de vie, même si le quotidien des habitants est dur, crade et sans espoir.

Vint alors le moment où l'on explore la surface, un masque à gaz sur la tête, sans arrêt en train de zyeuter la montre pour savoir quel niveau d'oxygène il reste... la première fois est impressionnante, mais se retrouver complètement seul dehors au milieu des monstres et avec pour seule compagnie la respiration saccadée d'Artyom, le personnage que l'on incarne, c'est vraiment quelque chose.

J'en suis actuellement au chapitre 5 après six heures de jeu, et j'A-DO-RE.

EDIT :
Le jeu est à priori sorti aussi sur Ps3 et Xbox 360. Par contre il y sera en DirectX 9 et donc largement moins beau, mais il y sera surement largement plus fluide !

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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

J'ai moi aussi particulièrement envie de regarder du côté de ce Metro 2033 mais j'ai peur qu'il ne soit qu'un bête FPS au niveau de son gameplay. C'est du shoot bête et méchant ou alors ca tend vers l'aventure à la Stalker ?

Contrairement à S.T.A.L.K.E.R., Metro 2033 est linéaire et il n'y a pas d'inventaire à gérer. Le héros peut transporter sept armes différentes (couteaux, couteaux de lancer, pistolet, fusil à pompe, fusil d'assaut, grenades et grenades spéciales). Cependant il y a de nombreux secrets dans chaque niveaux (même les stations) permettant de récolter munitions militaires (qui font office d'argent !) et munitions tout court, filtres pour le masque à gaz, parfois aussi des armes et autres medikit.

Lorsque l'on arrive dans une station, il y a des marchands et moyen de faire du change entre les munitions normales et les munitions militaires.

Metro 2033 est un "FPS bête et méchant" comme peut l'être un F.E.A.R., mais il a une ambiance certaine, j'irai même jusqu'à dire qu'il a une âme.

THQ a annoncé un Metro 2034, ce qui signifierai donc que le premier a bien marché.
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Il fait parti des rares jeux dont j'avais un peu suivi la sorti, je pense me le faire un de ces 4
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Attention en tout cas sur PC, (très) grosse config requise.
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Je ne joue plus sur pc depuis 10 ans
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Metro 2033 est dispo à vil prix un peu partout en combo avec Darksiders sur Xbox 360.

Et on aurait tort de s'en priver tant le jeu a l'air prometteur, au vu des quelques heures passées dessus pour l'instant. Metro 2033 est un FPS post apo se situant en 2033 dans un Moscou vitrifié par l'atome. L'action se déroule essentiellement dans les stations et couloirs du métro moscovite et aussi dans les rues de la ville.

Les plus du jeu : une ambiance foutrement géniale, une direction artistique de qualité, un univers riche et varié et plein de petites trouvailles extras (la gestion des masques à gaz, la carte des objectifs, pomper régulièrement les dynamos des lampes, les balles comme source de monnaie, etc)





Hormis tout ça, le FPS est plutôt classique, et surtout très dirigiste et ultra scripté. Si vous n'êtes pas allergique à ça, vous risquez de bien aimer.
En revanche si vous aimez bien avoir les miquettes, vous allez en avoir pour votre pognon. Et chose exceptionnelle : on se sent plus en sécurité dans les couloirs glauquissimes du metro qu'à "l'air libre" de la surface de la ville. J'ajoute également que jouer au casque est un plus indéniable tant l'ambiance sonore est remarquable.

Il faut également saluer la réalisation technique, plutôt au niveau des COD et autres FPS du genre sur 360.

Je ne sais pas où j'en suis en terme de finition du jeu (je viens d'arriver à la station maudite) mais j'ai plus qu'hâte de connaître la suite.

Je l'ai fait sur PC et c'était une superbe claque, la réal est largement au dessus des pauvres CoD qui se coltinent le même moteur depuis Modern Warfare 1, c'est même plus détaillé que Crysis 2, en tout cas sur PC.

Je n'ai pas grand chose à ajouter de plus, sinon que j'attends avec impatience la suite, Metro Last Light, en me demandant de quelle fin du premier opus elle débute. Ah et pour info, la suite sort aussi sur Wii U.
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J'ai commencé une partie de Metro 2033 il y a un mois environ, suite à son achat pour une poignée de kopecks, mais l'avais juste commencée en attendant de terminer Singularity. Puis, j'ai un peu oublié que j'avais ce jeu (et Pinball Arcade ainsi que Trials Evolution sont arrivés).
Là, je viens de m'y remettre. Pour l'instant, je rejoins ce que dit Volkor. En plus, possédant une version achetée à un Allemand, j'ai mis les voix en Russe (et les sous-titres en Anglais). J'adore le Russe.

Pour info, on peut aussi jouer en Russe avec le jeu Français. Et aussi en Allemand, anglais, italien et espagnol.
Jouer avec des voix russes, c'est pas tous les jours qu'on en a l'occasion.

Je l'avais commencé, je me suis perdu dans une zone souterraine et je n'ai pas réussi à en sortir. J'ai donc laissé tomber mais je pense que je m'y remettrai un jour. Attention : la gestion des munitions est très délicate, il n'y a pas beaucoup de balles... Des fois c'est pas facile de survivre !
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JPB,
tombé dans les jeux vidéo depuis TRON

Fini Metro Exodus récemment. C'était pas mal du tout ! En plus j'ai réussi à avoir la bonne fin du premier coup (probablement le seul opus où c'est atteignable sans avoir à suivre un guide).

Passé un bon moment sur cette trilogie, même si Exodus est bien plus facile que les précédents (et que l'IA a parfois des ratés). Au rang des regrets, José Luccioni (Marcus Fénix -Gears of War-, Victor Sullivan -Uncharted-, Al Pacino -des films-) est toujours aussi bon pour doubler des gros durs mais bon sang dans les trois jeux il a doublé un paquet de personnages différents, ça devient troublant !

Artyom a toujours le même doubleur très bon même si c'est terriblement frustrant qu'il ne parle que dans les chargements car à de nombreuses reprises des gens lui demandent son avis et s'étonnent qu'il ne répond rien. Par contre, la doubleuse d'Anna est... enfin, je... elle... ben c'est mauvais, très mauvais (visiblement ce n'est pas Stéphanie Lafforgue, de Metro Last Light). A tel point que j'ai failli passer le jeu en Russe. Heureusement le reste du casting est pas mal donc ça compense mais wow, Anna c'est... phiew, mauvais.

En dehors de ça, Exodus ça raconte quoi ? Après la mauvaise fin de 2033 et la bonne fin de Last Light (canoniques), Artyom tente de retrouver la trace du signal radio qu'il avait capté à la fin de 2033, preuve selon lui que la vie existe hors du métro et surtout, à la surface. Il se fait cependant constamment harceler par Melnik qui lui reproche de non seulement mettre en péril la vie d'Anna qui l'accompagne partout mais en plus d'attirer de potentiels ennemis. Sauf qu'Artyom est du genre têtu et fini par découvrir qu'il y a bel et bien de la vie hors de Moscou, mais ce faisant, il a dévoilé à toute la planète que Moscou vit encore car Melnik lui explique que la troisième guerre mondiale n'a jamais pris fin et que Moscou restait caché, espérant qu'un jour, le conflit se termine enfin.

Pour couronner le tout, en agissant de la sorte, Artyom et tout l'Ordre de Melnik sont considérés comme traitres et risquent la mort s'ils retournent dans le métro. Du coup, l'équipe embarque à bord d'un train fonctionnel pour aller à la rencontre des hauts responsables militaires Russes, afin de faire le point sur la situation. Et ce n'est que le début des emmerdes.


Comme pour Last Light et 2033, l'histoire est vue au travers des yeux d'Artyom et de son point de vue uniquement. Il y a cependant quelques nouveautés comme le fait que le destin des compagnons (en fonction de nos choix et des missions effectuées) sera pris en compte dans la narration entre les chapitres, on saisi un peu mieux l'état d'esprit d'Artyom, il y a un vrai sens de la camaraderie et on s'attache beaucoup aux personnages. La fin (la bonne en tout cas) est même plutôt touchante.

Mon seul regret c'est que les Noirs / Sombres ne sont qu'évoqués très brièvement, comme si Last Light n'avait pas eu lieu ou que leur implication n'avait été que minime (alors que bon, pas du tout). Malgré ça, il y a quelques easter eggs qui montrent qu'il y a au moins un Noir / Sombre qui continue de suivre Artyom, si on regarde bien à certains moments.

Bref, un très bon moment, surtout qu'Exodus a tout récemment été mis à jour sur consoles et PC et affiche désormais de la 4K à 60 FPS avec un système d'éclairage refait (et tout plein de joyeusetés) sur Series X & PS5.
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Turrican Maniac (©️ nicko).

T'avais posté un avis sur les 2 autres jeux ?
J'ai fait le 1er mais j'ai plus trop de souvenirs. Le 2e est dans mon backlog depuis un moment mais je me suis toujours pas motivé
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Alors 2033 et Last Light sont assez similaires dans leur déroulement et gameplay. Exodus lui, fait la part belle à plusieurs zones (au moins trois) d’exploration libre avec quelques quêtes secondaires (vitales pour avoir la bonne fin… sauf si on veut s’orienter vers la mauvaise fin en faisant l’inverse de ce qui est demandé genre tuer les esclaves au lieu de les sauver). Entre deux chapitres dédiés à l’exploration, Exodus retrouve le gameplay linéaire de ses prédécesseurs.

J’ai globalement beaucoup aimé la trilogie. Dernier point sur Exodus avant de revenir sur 2033 et Last Light : dans le troisième opus, il n’y a plus de monnaie liées aux munitions (après tout 95% du jeu se passe hors du métro moscovite) mais un système de craft, poussant à la recherche de ressources (deux seulement). Artyom peut accéder rapidement à un système de fabrication rapide via son sac à dos et trouvera aussi des établis pour améliorer son équipement grâce aux pièces récupérables sur les armes (lunettes, crosse, chargeur amélioré etc). C’est d’ailleurs un très bon point de pouvoir récupérer ces pièces d’équipement sans perdre l’arme qu’on a équipé, puisqu’un des membres de l’Ordre s’occupe de conserver toutes les armes que le joueur a découvert pour permettre de créer un peu ce qu’on veut aux établis.

Assez amusant de constater que 4A Games, le studio derrière les jeux, a été conçu par des anciens de GSC World, auteur de S.T.A.L.K.E.R. dont la suite semble lorgner du côté des Metro pour la narration et la mise en scène ^^.

Bref, 2033 et Last Light donc. Chacun des deux opus commence par une scène située très loin dans le scénario (genre à la fin) puis subit un « Quelques jours / heures avant… » que j’ai toujours trouvé agaçant. Le prémisse de découvrir la vie dans un métro moscovite en 2033 après une troisième guerre mondiale qui a laissé la surface invivable me semblait suffisamment intéressant pour ne pas avoir à tenir le joueur en haleine avec un flashback forcé dès le départ.

Prémisse intéressant donc car Artyom nous explique dès le début et à l’écran de chargement de chaque chapitre ce qu’il se passe, comment est la vie dans le métro, de son point de vue personnel. Et la vie dans le métro, c‘est une galère complète. Régulièrement, lorsqu’on se rend dans une station, il n’est pas rare d’entendre des lamentations, des enfants pleurer, des gens au bord du suicide et j’en passe. Et puis comme la vie avec les radiations n’était pas assez horrible, il y a les mutants qui attaquent régulièrement, mais aussi les autres factions comme les Communistes de la Ligne Rouge et les Néo Nazis du Quatrième Reich, qui sont aussi gerbantes l’une que l’autre.

Les habitants doivent donc faire avec tout ça, en plus des ressources terriblement limitées. Les STALKER sont les personnes qui vont jusqu’à la surface à la recherche de diverses denrées pour leur station et aussi s’informer de la situation ennemie.

A l’instar du roman Les Derniers Hommes de Pierre Bordage, l’humanité a beau être dans un nombre extrêmement réduit (30.000 âmes à tout casser à Moscou), cela n’arrête en rien les luttes pour la domination de l’autre, quitte à aller dans les extrêmes les plus répugnants.

Côté gameplay, on lornge assez souvent du côté du survival horror tant les munitions -qui servent aussi de monnaie !- sont rares et vu à quel point les mutants peuvent s’avérer très résistants et même difficile à viser. Les rencontres avec des humains sont, ironiquement des passages plus « relax » car on sait qu’on va pouvoir récupérer des munitions plus facilement et même vaincre en discrétion car les trois jeux jouent beaucoup là dessus (il y a même tout un niveau dans Exodus où la discrétion permet d’éviter de s’orienter vers la mauvaise fin et de changer de manière irrémédiable le destin d’un compagnon). On peut également choisir d’assommer (action positive et discrète) ou de tuer (action négative et bruyante) chaque ennemi qui ne nous a pas repéré une fois à proximité… ou même les ennemis qui décident et se rendent (là évidemment, tuer file un très mauvais score).

S’ajoute à cela des anomalies et hallucinations liées aux radiations qui fileraient pas mal les jetons aux STALKER du jeu du même nom et enfin, Les Noirs / Les Sombres.

Pourquoi cette séparation et ce double nom ? Et même, pourquoi « Les Noirs » ? En fait, dans le roman dont s’inspire la trilogie, une étrange entité à l’apparence humaine mais aux proportions étirées et au corps très noir semble attaquer les habitants du métro, les rendant le plus souvent complètement fous ou sinon morts, ajoutant une menace supplémentaire au foutoir ambiant. Ces créatures sont appelées « Les Noirs » et non, cela n’est pas à connotation raciste (contrairement à ce que le crétin que j’étais à l’époque pensait), juste qu’ils ont un corps entièrement noir (et difficile à observer en temps normal à cause des troubles psychiques qu’ils provoquent) et qu’ils représentent un mystère total. Dans le jeu, les Noirs ont été renommés les Sombres pour éviter tout problème potentiel.

Artyom se retrouve d’ailleurs confronté régulièrement aux Sombres dans le jeu et ce jusqu’à la toute fin où, en fonction des différentes actions positives / négatives effectuées tout au long (bon courage si vous n’avez pas suivi ce qu’il fallait faire), Artyom choisira de lui même l’action à faire, menant donc à la mauvaise fin (dans le cas où on a un karma suffisamment positif, on a le choix… sauf que canoniquement, la mauvaise fin est la « bonne » et ça joue beaucoup sur le moral d’Artyom dans Last Light).


Ce qui m’a vraiment plu dans ces trois jeux (mais plus dans 2033 et Last Light), c’est l’ambiance étouffante et oppressante du métro mais aussi les rares moments où on souffle, qu’on échange quelques rires avec des gens bien, qu’on a un peu de chaleur humaine. On fini vraiment par apprécier ces maigres instants de répit entre deux horreurs. L’univers est vraiment intéressant et la continuité avec Last Light très bonne aussi.

J’ai aussi adoré le fait de pouvoir interagir avec la quasi totalité des sources de lumières. En effet, le joueur peut éteindre les ampoules, lampes à huiles et autres lumières pour rester dans l’obscurité et ça joue énormément sur la discrétion mais aussi implique de rester sur ses gardes.
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Turrican Maniac (©️ nicko).

effectivement le coup de la scene de fin ca me parle, les noirs aussi.

Mais je ne me rappelle plus trop du 1. Je me rappelle d'une scene dans un metro avec une mitrailleuse fixée qui deconne au bout d'un moment (alors que y'a un succes) parce que je ne me rappelle pas d'un scenar super dveloppé. J'espere que le 2 explique plus de truc.

Merci de l'avis
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Fini Metro : Last Light : bon je me suis un peu forcé à le finir parce que c'etait le dernier jeu qui necessitait de rallumer ma 360 ^^
Il est dans la lignée du 1, un fps un peu mou et un peu amateur quand même.
Certains trucs sont pas finis, y'a quelques bugs qui trainent et ca manque de passages epiques.
Par contre l'histoire est pas super bien racontée. Il aurait fallaut faire un "precedemment dans", parce que je ne me rappelle pas du 1 et l'intro nous aide pas des masses.
Idem par moment j'ai l'impression qu'ils zappent des morceaux d'histoire parce qu'on part d'une histoire de fuite/vengeance à l'apprentissage du sombre... mwai soit j'ai fait un avc soit ils ont zappés des trucs.
Le jeu est sympatoche, pas un grand jeu, mais ca va ca passe
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