Question : je suis arrivée à la ferme, et ma petite sœur m'a offert la tronçonneuse qui peut lancer la tête de Nick, mais comment je dois faire ?
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Pour lancer la tête de nick, il me semble que de mémoir c'est uniquement avec la roulette, via un ticket. faut avoir la "chance" de tomber dessus.

Hum. J'ai bien un un message me disant que je peux lancer la tête de Nick en appuyant sur RT, mais quand je suis en mode Nick Toss elle ne fait que tournoyer. C'est peut-être avec RB, il faudra que j'essaie à nouveau.

Je m'éclate toujours autant au passage, j'adore les réflexions des élèves qu'on sauve, les dialogues entre Nick et Juliet, les bastons, tout, je kiffe ma race.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

La prochaine fois que tu utilises un Ticket Nick, regarde bien, je crois que tu as accès à un nouveau pouvoir qui te permettra de lancer la tête de Nick.
C'est un autre pouvoir que le Nick Toss justement.

Ah, OK, merci. Décidément le jeu manque vraiment d'un manuel !
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

The Walking Dead ayant aiguisé ma soif de zombis, je suis parti à la recherche d'un jeu reprenant la même thématique. J'ai envisagé un instant me lancer dans Dead Island, mais sa durée m'en a dissuadé - je recherche plutôt actuellement des jeux relativement courts mais intenses. J'ai alors repensé à Lollipop Chainsaw et aux commentaires élogieux du forum.

Quelques heures plus tard, je suis, comme beaucoup ici, conquis. Ce n'était pourtant pas gagné, le genre du beat them all ne m'attirant plus des masses (depuis grosso modo Devil May Cry et ses 36000 combinaisons de touches, j'ai divorcé du genre : trop de trucs à retenir). Le prologue de Lollipo n'a d'ailleurs rien fait pour me rassurer dans mon choix : c'est effroyablement laid (on se croirait en face d'un mauvais jeu XBox 1), c'est frustrant (rien n'est effectivement expliqué ; on cafouille pendant de longues minutes à la recherche de la combinaison de touches la plus efficace), et c'est dur (là c'est ma faute : j'ai directement opté pour le mode "hard", mais il faut dire que le jeu n'arrête pas d'en faire sa pub - seul ce mode contient en effet tout le bestiaire et les objets à collectionner... Comment ne pas craquer ?)

Bref, après une demi-heure d'énervement, je ne suis pas loin de raccrocher. Et puis arrive le premier niveau. Et là, le jeu change du tout au tout.

Déjà, le jeu devient plus joli. Pas très joli hein (globalement, on sent un vrai fossé technique entre ce jeu et bon nombre de titres 360 actuels), mais suffisamment beau pour que, dans certaines scènes, on en vienne à se demander si on n'a pas changé de disque par inadvertance. La mise en scène est inspirée, le character design fait mouche (mention spéciale aux boss, exceptionnels).

Le jeu devient aussi beaucoup, beaucoup plus drôle. Les situations sont débiles à souhait ; les répartis incongrues, innombrables et croustillantes ; la vulgarité et l'irrévérence, poussées à leur maximum. Je ne sais pas vous, mais j'ai rarement joué à un jeu parlant à ce point de vagins et d'enculés. Dit comme ça, le jeu peut repousser, mais dans le délire absolu de l'univers dépeint par les auteurs, ça passe comme dans du beurre - mieux : ça fait franchement rigoler.

Le jeu continue aussi d'être difficile, mais l'apprentissage des touches s'étant fait à la dure, on maîtrise davantage les situations auxquelles on est confronté. Du coup, on se trouve face à un challenge délicat mais qui sait rester accessible. J'ai terminé quelques combats d'anthologie avec une barre de vie à 1% - stressant mais, au final, fatalement mémorable.

De toute façon, Lollipop a le bon goût de ne pas noyer le joueur sous une pluie de combinaisons, celui-ci achetant les combos de façon très progressive. On a vite fait de comprendre ce qui marche le mieux et de s'accrocher à cette technique en attendant d'en acquérir, d'en tester et d'en adopter de nouvelles par la suite. La contrepartie négative, c'est que paradoxalement, plus j'avance dans le jeu, et plus je le trouve facile - la faute à une barre de vie qui ne cesse d'augmenter, de stats que je booste très (trop) rapidement, et de capacités limite craquées (la tronçonneuse qui se transforme en fusil = cadeau du ciel).

Mais au final, je m'amuse bien, et c'est bien là l'essentiel. La campagne est plutôt courte (j'arrive déjà au 4ème niveau sur 6), mais je suis certain de refaire le jeu une seconde fois, n'étant pas parvenu à sauver un certain nombre d’otages. Le principe de l'avatar qui ne cesse de gagner en puissance est une motivation supplémentaire.

Bref, si comme moi vous n'aimez pas les beat them all modernes, vous pouvez donner sa chance à Lollipop Chainsaw. Vous serez peut-être très agréablement surpris !

J'attend qu'il baisse à 15e pour ca

Bon sinon David faut vraiment que tu fasses God Hand aussi ^^
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Il est déjà à 15€ partout, Rain.

Je suis ravie que tu aimes le jeu David, moi-même, malgré quelques réserves, je suis globalement conquise.

Ce qui m'agace le plus, en fait, c'est le fait que même en mode défi, on doive se taper les cut-scenes (on peut en zapper certaines, mais ce n'est pas immédiat), les coups de fil, etc. Dans un mode de jeu axé sur le scoring, je trouve ça maladroit. Pour le reste, tout me va. Les loadings sont également bien trop fréquents, et trop longs.

Pour le reste, c'est du tout bon. Après un premier run en normal, je me le suis fait en Hard, ce qui n'est guère plus difficile, et là je vais glâner les succès qui me manquent. Effectivement le jeu n'est pas bien beau, un peu fainéant même (tous les camarades à sauver sont les mêmes), mais le système de combat fait le job, la BO tue tout, surtout le thème principal, et le jeu est à mourir de rire. Le coup de l'élève qui, lorsqu'on le sauve, nous dit qu'il se touchera en pensant à nous le soir, franchement j'en ris encore en l'écrivant. Lollipop Chainsaw est complètement con dans le bon sens du terme, et je trouve ça génial.
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CHAINSAW BLASTER!!!!!

(désolé)
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Pas sur les sites fr (j'y tiens)
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18€ sur Amazon, port gratuit, ça va, non ?
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encore un petit effort de leur part et ca sera bon ^^ je surveille les bacs à soldes aussi au cas où
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Ah ouais en fait dans le genre "à un euro près" t'es pire que moi comme mec. Je ne te félicite pas.
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C'est surtout que ca me laisse le temps de finir d'autres jeux en attendant ^^
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En fait je crois que c'est un jeu de mot tout bête avec le nom de George A. Romero qui a donné son nom au lycée du jeu... "Romero et Juliet"...

Sinon, donc, il ne me reste plus que six succès à gagner dans "Lollipop Chainsaw", succès que je vais remporter tranquillement en levant le pied après de longues heures intensives (et jeuxvideo.com qui nous a refait le coup de "Rez" en se plaignant de 5h de jeu et qui le qualifie de jetable)...

Le moins qu'on puisse dire, c'est que quand on sort de "Halo Anniversary", "Lollipop Chainsaw", ça réveille! Le jeu m'a filé une claque de même intensité que lors de ma découverte de "No More Heroes" (avec qui on peut lui trouver des points communs), mais autant "No More Heroes" avait un ton nihiliste désespéré limite glauque (tout en étant un jeu hilarant), autant "Lollipop Chainsaw" m'a filé la même pêche que "de Blob" à sa sortie, façon remonte-moral.

Le sujet est horrifique, il y a du gore, des vannes, etc. mais il y a une sorte de fraîcheur, de gaité, d'enthousiasme et même d'innocence qui s'en dégagent qui en font une vraie douche d'humeur, on en ressort tout frais.
Il a un gros, gros, gros côté John Waters, qui m'a énormément rappelé "Cry Baby": le lycée façon années 1950, le côté propret/naïf, mais en même temps l'irrévérence, le parler cru qui clashe avec le cadre en faisant des étincelles, sans parler de la façon de traiter les rapports entre les sexes.

J'imagine déjà la moue réprobatrice de "Arrêt sur Image" s'ils posaient leurs pattes sur le jeu avec leur couplet habituel sur la femme-objet, mais en l'occurrence on voit en jouant que c'est l'homme qui n'est plus grand-chose de plus qu'un accessoire ou un animal familier, qui est là au maximum pour tenir compagnie le pauvre Nick se prend toutes les situations et les symboles dans la tronche, et je crois qu'on pourrait largement citer le jeu pour parler de la condition de l'homme dans le monde occidental moderne. Non mais à peu près toutes les répliques sont cultes et remplissent tout le jeu, le couple discutant pendant le gameplay et ne se contentant pas de parler pendant les cinématiques. Suda51 est un génie, je n'ai jamais vu un jeu aussi drôle (et pas beaucoup de films), il ose tout et c'est à ça qu'on le reconnaît .

En plus de ça il tourne bien (je le trouve très joli avec un style esthétique très réussi, et une mise en scène hyper dynamique sans aucun temps mort) et il assure plus que correctement point de vue gameplay, il a pile l'équilibre exigence/souplesse qu'il faut par rapport à ce qu'il a à dire. J'ai déjà fait l'équivalent d'au moins trois runs je crois sans beaucoup jouer à autre chose et sans me lasser, les succès étant particulièrement agréables à chasser.

Du coup je me demande si je ne vais pas donner sa chance à "Shadow of the Damned" bien qu'il gère apparemment moins bien sa rejouabilité, alors que de ce point de vue "Lollipop Chainsaw" est super bien foutu avec sa sélection de niveau/difficulté libre, ses trucs à débloquer, ses multiples niveaux de difficulté (le niveau extrême avec les zombies speed est hyper chaud), le fait qu'on garde toutes ses améliorations, etc.

Bref, je m'en veux d'avoir douté, ce jeu est un incontournable AMA.
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En plus y'a des nichons. *



* Rainmaker Seal of Quality. ™

Même pas. Je crois que le jeu n'en montre aucun On ne peut même pas regarder sous la jupe de Juliet (et ça donne un succès !).
En fait, il n'en a pas besoin, son propos sur l'objetisation des corps et la relation homme-femme est trop bien ficelé pour en arriver là. C'est tout le panache de Lollipop Chainsaw d'ailleurs.
Shadows of the Damned propose, dans mes souvenirs, une seule scène un poil contentieuse, et j'ai trouvé qu'elle s'ancrait parfaitement bien dans le jeu aussi.

Il faudrait que je le relance dans les modes de difficulté supérieurs, car même si il ne m'a pas autant touché que Shadows, Lollipop a de sacrés arguments à faire valoir, et je suis peut-être passé à côté de quelque chose avec les défis.

rhaaa j'attend toujours le mien. La fnac doit me l'envoyer 2e semaine d'aout.

Un petit bta pendant l'ete moi ca me dit bien
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Ah, voilà un post qui fait plaisir ! La "douche d'humeur", c'est tout à fait ça, on a vraiment l'impression de se prendre des arcs-en-ciel dans la tronche tout le long du jeu. Perso quand j'ai acheté ce jeu j'étais dans une période limite dépressive et ça m'a redonné une patate pas possible. Et après on dit que les JV sont dangereux, tsss...

Je te rejoins tout à fait sur ta comparaison avec John Waters (et sur le jeu de mot sur Romero ), encore une fois je pense que l'influence du scénariste américain James Gunn apporte cette dimension que n'avait pas forcément No More Heroes.

Et puis, quelle bande-son géniale, j'ai (re)découvert plein de groupes/artistes et ça colle toujours mais PILE à l'action.
Tiens, chez moi il pleut aujourd'hui, peut-être l'occasion de faire péter quelques arcs-en-ciel de la tête des zombies de San Romero
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Si loin une roue