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Auteur Le retour du Top 10
petitevieille
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Joue à Crazy Taxi, Sega Rally

Inscrit : Mar 08, 2002
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Posté le: 2020-11-17 12:36
Patience.
(mais pas en faisant caca, c'est interdit)

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JiPé
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Joue à STREETS OF RAGE 4 !!!

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De : valence passion

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Posté le: 2020-11-17 12:58
Citation :
Le 2020-11-17 11:49, RainMakeR a écrit :

Je m'insurge, personne n'a cité Tetris jusque maintenant.

Ne me dites pas que je suis le seul qui a tordu le jeu dans tous les sens pendant les pauses caca


Hé ! C'est un top 10 pas un top 20 ou 50
(j'avais écrit PuyoTetris en 9ème place mais il a été remplacé par des souvenirs plus forts qui remontaient lentement)
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."


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french snake
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Joue à Lost Judgement

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De : Aix en Provence

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Posté le: 2020-11-17 13:03
C'est bien pour ça qu'un TOP 10 c'est impossible à mon sens.
_________________

Ce genre de feu, il est très difficile de l’éteindre. Les tendres rameaux de l’innocence brûlent les premiers. Puis le vent se lève, et toute bonté est alors en péril

Ratatata: Nikeleos vous êtes vraiment étrange dans vos réactions


FredK
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Joue à Morrowind

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Posté le: 2020-11-17 13:33
Comme je disais, libre à vous de dresser un top 100 dans votre tête et de ne citer ici que les 10 premiers du classements. Ce n'est pas parce que l'exercice est compliqué qu'il n'est pas intéressant

Concernant Tetris, j'avoue y avoir beaucoup joué mais je n'ai jamais été subjugué par le jeu. PacMan ou Galaga idem, j'y ai joué des heures et y jouent encore aujourd'hui sur la borne Arcade de salon avec des potes pour se marrer mais de là à dire que ces titres m'ont subjugué et ont été déclencheur chez moi d'une émotion sans limite, ben non... Mais ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, ce sont de grands jeux, des jeux importants, des titres à mettre au panthéon d'une gloire passée qui reste chère dans le coeur des rétrogameurs. Mais au même titre que je trouve jolie une Ferrari qui passe dans la rue, ce n'est pas pour ça que j'en achèterais une si j'avais les moyens...

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On ne peut pas faire raitournelle tant qu'il y a encore des artichauts dans la banque.


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JiPé
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Joue à STREETS OF RAGE 4 !!!

Inscrit : Apr 26, 2008
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De : valence passion

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Posté le: 2020-11-17 14:32
Citation :
Le 2020-11-17 13:03, french snake a écrit :

C'est bien pour ça qu'un TOP 10 c'est impossible à mon sens.


Perso' je trouve qu'un top 3 (voir un top 1) est plus simple qu'un top 10-20... 100.
C'est répondre à la question : le bateau coule, quel jeu* tu sauves pour passer le temps sur une île déserte ?





*"The chosen one"
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Kollembole
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Joue à Eiyuden Chronicles : 100 Heroes

Inscrit : Feb 05, 2014
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Posté le: 2020-11-17 15:08   [ Edité le: 2020-11-17 23:14 ]
Citation :
Le 2020-11-17 14:32, JiPé a écrit :

Perso' je trouve qu'un top 3 (voir un top 1) est plus simple qu'un top 10-20... 100.
C'est répondre à la question : le bateau coule, quel jeu* tu sauves pour passer le temps sur une île déserte ?





*"The chosen one"


Ah, ah... A cette question, il n'y en aurait qu'un seul qui survivrait sur ma (trop) longue liste :

[Edit] 1 -

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Batiscaphe ( Casio )

- Peut-être ma toute première expérience vidéoludique ? En tout cas, la première pièce de ma collection.
Et ce fût aussi pendant longtemps mon seul jeu, faute d'intérêt général pour une console en famille.

Surement pas le Meilleur jeu du Monde, loin de là ...Mais parce que c'est bien le seul jeu électronique qui pourrait effectivement fonctionner sur une île déserte sans lâcher en peu de temps, faute d'alim' locale. ( Et oui, ça fonctionne au Solaire. )


( En tout cas, merci. Ma nouvelle liste se précise peut-être un peu plus. )


FredK
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Joue à Morrowind

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Posté le: 2020-11-17 15:30
J'avais jamais vu ce jeu. Belle découverte. Et belle pièce de collection.



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JiPé
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Joue à STREETS OF RAGE 4 !!!

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De : valence passion

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Posté le: 2020-11-17 18:20   [ Edité le: 2020-11-17 18:23 ]
Ah ouais, les jeux électroniques... J'ai commencé avec DK et Peau de banane chez mon oncle, puis j'ai eu Snoopy Tennis, Squish et Zelda. Que j'ai poncés en attendant la Sainte Game Gear.

Mais je ne les mettrai pas dans mon top, sur une île déserte il n'y a pas besoin de réveil matin.

...

Citation :
Le 2020-11-17 15:08, Kollembole a écrit :

Batiscaphe ( Casio )



Sur ma calculette graphique casio, j'avais un RPG textuel de dealer de drogue et un autre de pari hippique... on s'amusait comme on pouvait.



edit : j'ai relancé SoR2 GG sur émulateur (mon jeu n°10) et dieu qu'il est impitoyable. Plus injuste que la version MD
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petitevieille
Grossier personnage

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Joue à Crazy Taxi, Sega Rally

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Posté le: 2020-11-17 19:19
Exercice toujours difficile, et photographie d'un ressenti à un moment donné… si ça se trouve dans 6 mois je dirai autre chose. Image

Les recalés de peu : SNK vs Capcom The Match of the Millenium sur Neo Geo Pocket Color, et Parodius Da! sur PC Engine / Super Famicom / Saturn, qui mériteraient un top 12. Et puis Alex Kidd, California Games, Shinobi, Sonic, tous ces piliers de la Master System, ma chouchoute. Et Winds of Thunder, ce chef d'œuvre nerveux et intense. Mais il faut choisir.

Enfonçages de portes ouvertes à prévoir.



10- Ikaruga - Dreamcast

J'aurais bien fait un duo avec Radiant Silvergun, mais Ikaruga épure le principe et touche au sublime, alors je le prends tout seul. J'ai déjà parlé 258 fois du jeu, il est pour moi symbolique de la fin d'un monde, et de la perfection absolue du game design d'un genre arrivé à son sommet, avant de disparaître : l'arcade au sens noble du terme. Le plaisir de jouer et rejouer éternellement à la même chose avec l'objectif de s'améliorer, les progrès étant sanctionnés par le score pour donner un repère, avec une profondeur insoupçonnée lors des premières parties. Merde, je crois que je vais répéter ça pour pas mal d'autres jeux ensuite. Image
Ikaruga transcende le genre du choutedémeupe : il l'utilise pour faire autre chose. Certains esprits grincheux vendus à Satan l'ont vu comme un puzzle game, et ils avaient partiellement mais parfaitement raison. L'Art en matière de jeux vidéo, ce n'est pas (uniquement) une mise en scène imitant le cinéma, ou des visuels digne d'une œuvre plastique pure, ou une Narration soignée, c'est aussi (surtout ?) ce que fait Ikaruga : concevoir un système de jeu finement ciselé, élégant, une œuvre ludique en soi, accessoirement réhaussée par la direction artistique et la réalisation technique.

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9- OutRun 2 - Xbox

Le jeu dont on tombe amoureux dès la première partie, et qui parvient à durer, plus de 15 ans après. C'était le Plus Beau Jeu du Monde™ en 2003, c'est toujours le cas en 2020, même en 480pets, même si la technique est dépassée. Il parvient à reprendre l'esprit du monument qu'est le premier OutRun, en affinant la conduite, sublimant la réalisation, et lui aussi offre le bonheur de l'arcade : le plaisir immédiat, et sa reproduction infinie. Le plaisir de jouer et rejouer éternellement à la même chose avec l'objectif de s'am… eh merde. Image
Découvert sur Xbox, très peu touché en arcade, c'est mon dernier jeu aimé d'amour avant de crépusculer. Après lui plus rien n'était pareil, et plus rien n'avait besoin d'être pareil. On avait tout eu.

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8- Rez - Dreamcast

Cette mutation du grand Panzer Dragoon en expérience synesthésique recyclant visuels de Tron (nan pas Georges), musique électronique énervée, thèmes vaguement cyber-quelque chose et allusions au 2001 de Kubrick, aurait pu être repoussante. Elle l'a été pour nombre de malcomprenants à l'époque. Un fan qui a eu son heure de gloire à la télé jadis avait pourtant conclu son test dithyrambique par l'expression « classique instantané », et c'est exactement ça. Visuellement intemporel, ludiquement blindé, et doté comme bon nombre de jeux SEGA d'une rejouabilité infinie, Rez est une fois de plus l'un de ces jeux éternels, incapable de vieillir. Un classique, une référence, et encore un exemple du génie incompris qui rayonnait chez SEGA à la fin des années 1990 / début des 2000. Ses rééditions sur des supports sataniques sont la preuve de la qualité du matériau de base.
La course au score est comme toujours infinie, et s'agrémente d'une sensation de dépaysement total quand on se plonge dans le jeu. Le plaisir de jouer et rejouer éternellement à la même chose avec l'objec… eh merde. Image

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7- Saturn Bomberman - Saturn

Après une solide pratique de la série sur PC Engine, il aurait été concevable d'accueillir cette version Saturn avec un intérêt poli mais distant, pourtant elle déborde de qualités, et représente l'aboutissement du concept. Le mode solo très classique est complété par un très sympathique mode score / contre la montre qui donne une excellente rejouabilité, même seul, et bien entendu le mode battle est le cœur du jeu, avec des arènes diversifiées, des personnages hauts en couleur, le mode haute résolution pour jouer à 10, le tout avec une deudé magnifique. Inutile de développer Bomberman, sa réputation le précède. Et celui-ci est juste parfait.
Le plaisir de jouer et rejouer éternellement à la même chose avec l'o… eh merde. Image

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6- Panzer Dragoon Zwei / Saga - Saturn

Les deux sont inséparables, je les prends comme un tout. Sous le charme d'une démo Sega Flash usée jusqu'au sillon laser, montrant le niveau de la forêt, l'un des plus grands moments vidéo-ludiques de cette génération, j'ai plongé dans Panzer Dragoon Zwei avant le premier. C'était peut-être mieux comme ça, je ne le saurai jamais. Zwei est la preuve qu'une direction artistique réussie traverse parfaitement les années, même si la technique évolue. La troidé minimaliste de l'époque est exploitée brillamment par le style de cet univers et son bestiaire unique, si bien que le jeu reste plaisant à voir bouger malgré son âge. Le style simple du shoot sur rails prend de l'ampleur grâce aux changements manuels de caméra, chaque niveau est un ride mélangeant claque visuelle, sonore, et ludique. Comme si cela ne suffisait pas, la Team Andromeda suera sang et eau pour approfondir l'univers avec Azel, Saga chez nous, un RPG au scénario accrocheur et plus profond qu'il n'y paraît au premier abord, aux combats dynamiques, aux paysages envoûtants, devenu une légende inaccessible au commun des mortels (c'est-à-dire les pauvres égarés qui n'avaient pas de Saturn en 1998… tant pis pour eux). Ceux qui l'ont connu ne l'oublieront jamais. Un peu comme Azel au sujet de Edge à la fin.






5- Bubble Bobble - Arcade / Master System

Dans ma jeunesse, tous les dimanches, on allait au bistrot. Ça fait glauque mais c'est comme ça. Et au bistrot, il y avait des bornes. Pas toujours des merveilles dans ces bornes, on prenait ce qui venait, et parfois, ce qui venait, c'était des monuments. Bubble Bobble est de ceux-là, et son existence sur Master System a été une révélation qui alluma plus d'étoiles dans mes yeux que tous les jeux modernes réunis. C'est donc un duo arcade / Master System que je retiens ici, mais c'est bien sûr la version Master System qui a le plus tourné et fait résonner son thème musical dans la maison, au risque de faire vriller les parents. Son portage sur Saturn a bien évidemment fait ma joie en 1996.
Icone de l'arcade, fondateur d'un genre, Bubble Bobble marie simplicité et complexité, avec juste ce qu'il faut de mystères pour compléter le gameplay simple et solide qui accroche les joueurs et ne les lâche plus tant qu'ils n'en ont pas vu le bout. La coopération indispensable achevait de faire du jeu un pilier personnel, le symbole de l'enfance et des parties interminables avec mon frère, qui a le même attachement pour le jeu. Au point que je m'en étais fait une borne dédiée quand j'en avais encore la possibilité. Je sais qu'elle a été mise en exploitation, quelque part… si vous la croisez, saluez-la pour moi.

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4- Link's Awakening - Game Boy

Ça commence comme une adaptation étriquée du grand A Link to the Past. Ça fait néanmoins plaisir en 1993 d'avoir ça dans les mains. Mais sans le percevoir, ça te plante dans le ventre une petite graine qui va s'installer et ne plus jamais te quitter. En tant que simple jeu, ce Zelda est déjà une putain de rouste dans la gueule, sur un tel support, et malgré ses défauts d'ergonomie dûs au nombre de boutons, Link's Awakening est de base un jeu historique grâce à ses qualités strictement ludiques. Ajoutons par-dessus ce qu'il parvient à faire, cet usage extraordinaire de son média pour le dépasser et, comme on dit pédantement, briser le quatrième mur pour parler au joueur, subtilement, sans gros sabots, et on obtient un conte moderne. Une allégorie de l'enfance perdue, dont la saveur mélancolique prend de plus en plus de force avec les années. Link's Awakening mûrit avec les joueurs, on l'adore en tant que simple jeu dans sa jeunesse, puis on en prend le propos en pleine gueule en vieillissant. Il faut quitter Cocolint. Il le faut… Mais non bordel, laissez-moi ! Laissez-moi manger ma banane tout nu sur la plage !

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3- Tetris - Game Boy

Oui, Tetris donc. Banal. Commun. Même ta mère connaît, et y a joué. Pourtant essentiel chez moi, parce que ma première console à moi, donc mon premier jeu à moi, et comme Bubble Bobble, une histoire familiale. En plus, ça tombe sur un jeu absolument inusable, parce qu'infini, pas besoin de vous l'expliquer. Aujourd'hui, et malgré tout mon attachement, je ne pourrais plus y jouer sur l'écran illisible du Game Boy et ses contrôles rigides, mais sa résurrection en Tetris 99 sur Souichte m'a comblé et m'a rendu un vieil ami, je pourrais passer des nuits dessus. Le plaisir de jouer et rejouer éternellement à la même chose av… eh merde. Image

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2- Crazy Taxi - Dreamcast

Vous voulez vraiment que je me répète ? C'est le Meilleur Jeu du Monde™. Image
Bon pour changer et ne pas radoter, je vais raconter ma rencontre avec lui.
Au début, le croiriez-vous… je ne l'aimais pas. Il a dû me conquérir d'abord, notamment en raison du contexte.
Quand on annonçait la Katana, puis quand la Dreamcast a pris forme, j'étais en totale fusion avec ma Saturn, que j'aimais d'un amour vivant, et la claque que j'avais prise c'était elle, dans des yeux d'enfant, malgré l'échec désormais public, je m'y plongeai avec délices, comme un revenant. La Saturn ne méritait pas son sort, je n'étais pas du tout intéressé par une autre console, je voulais continuer sur Saturn. Comme on disait partout que SEGA allait tirer les leçons de cet échec, qu'on suggérait qu'ils avaient compris l'exemple de la Plaiestéchone, l'arrivée d'une console mise en avant pour sa troidé, avec un clone de Pocket Station™ en carte mémoire, une manette qui rompait avec la disposition de boutons Megadrive et Saturn, un accord avec Microsoft, une suite de jeu Namco au lancement, et une communication sur le thème « vous allez voir ce que vous allez voir », j'étais dépité. SEGA allait faire une Plaiestéchone bis en plus puissant ! Le drame.
Pas du tout emballé donc, au début. A priori.
Je voyais Crazy Taxi, avant d'y jouer, comme un symbole de cette plaistéchonisation rampante, avec ses marques publicitaires et son style kéké… Ce n'est même pas moi qui ai acheté le premier exemplaire ! Puis en jouant j'ai compris que c'était le plus beau concentré possible d'arcade au sens noble du terme. La Perfection. Le plaisir de jouer et rejouer éternellement à la même ch… eh merde. Image
[insérer ici la moitié de mes messages depuis 20 ans]
Anecdote symbolique : quand j'ai acheté ma borne, sans le savoir, j'ai récupéré celle qui avait été exposée à Paris en 2011… je ne l'ai compris que plus tard, en examinant mes photos de l'époque, par ses petits défauts, trous et fissures qui ne peuvent avoir été identiques sur d'autres exemplaires. Image

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1- Sega Rally Championship - Arcade / Saturn

Il n'a pas le titre officiel et pourtant c'est lui que je mets en numéro 1. Image
Il a tout pour lui. Après Virtua Racing et Daytona, on poussait encore plus loin la qualité des jeux de caisses chez SEGA, en gardant le même esprit : séduction immédiate, et profondeur de la rejouabilité qui fait qu'on peut encore jouer avec le même plaisir 25 ans après. Plus que sa pratique en arcade, nécessairement ponctuelle, c'est évidemment la Saturn qui m'a fait fusionner avec lui. Sega Rally c'est mon âme sœur, mon frère, mon double virtuel, je fais corps avec lui comme une mouche fait corps avec sa crotte (penser à trouver une autre image avant de publier, merci), je voudrais faire des easy right, baby jusqu'à plus soif.
Sega Rally Champion des chips réussit à intégrer un comportement physique des bagnoles similaire à la réalité dans un jeu d'arcade, avec l'accessibilité d'un jeu d'arcade, et utilise cette touche de "réalisme" à bon escient. La gestion de la masse des engins fait partie de cette sensation qu'offre le jeu, sans se vautrer dans la sinistre simulation chiante qui fera les délices d'un autre public après l'échec commercial de la Saturn… Un dosage unique et magique qui fait tout son charme. Là encore, on refait inlassablement les mêmes circuits, à la recherche de la petite prise de risque supplémentaire qui fera grapiller un dixième de seconde ici ou là, sur des circuits peaufinés pour ça, dans toutes les dimensions des pistes, la largeur, le relief, le revêtement… Quatre circuits, mais dont le moindre polygone est pensé pour le plaisir de jouer, valent plus que 200 parcours sans saveur. Le plaisir de jouer et rejouer étern… eh merde. Image

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C'est une synthèse qui bougera peu finalement. Comme a dit le grand penseur : « Après ça on peut mourir ! ». Image


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Rachto
Tout petit pixel



Joue à Fire Emblem Shadow Dragon (DS)

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Messages : 30

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Posté le: 2020-11-17 19:24   [ Edité le: 2020-11-23 08:19 ]
Sympa le topic, ça va m'aider à affiner ma présentation

Alors, les dix jeux les plus marquants... Pas facile d'en sélectionner si peu mais on va essayer.
En tout cas, ça me paraît plus facile que s'il fallait choisir ses dix jeux préférés.

Les jeux dont il est question ici sont, pour moi, ceux qui ont marqué mon expérience de joueur par les évolutions importantes qu'ils proposaient quand je les ai découverts, aussi bien dans la forme (la technique) que dans le fond (le game design). L'exercice va être d'autant plus intéressant que, la maturité et le recul aidant, je devrais être capable aujourd'hui de formuler quelque chose d'à peu près juste sur mon ressenti d'hier.

En réalité, devrait figurer tout en haut de la liste ce clone de Pong dont je ne me souviens plus du nom. Une machine on ne peut plus marquante puisque c'est avec elle que j'ai eu le premier contrôleur de jeu vidéo entre les mains. Hélas, comme beaucoup d'entre vous j'imagine, j'aurai bien du mal à vous décrire mes sensations de l'époque et à vous écrire un paragraphe intéressant au sujet de cette expérience. Je préfère m'abstenir.

Ceci étant dit, c'est parti, je remonte le temps et j'essaie de comprendre pourquoi ces jeux-là m'ont spécialement marqué. Désolé d'avance mais je ne vais pas faire dans le très original.

Dans l'ordre chronologique :

Castle of Illusion Starring Mickey Mouse - (Megadrive)

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D'aussi loin que je me souvienne, c'est ce jeu qui m'a fait prendre conscience de ce qu'était la next gen. J'avais beau lorgner du côté de l'arcade et des micros 16 bits, je n'avais pas l'occasion de vraiment m'y essayer. Du coup, je suis passé de Castle of Illusion sur Master System (mon dernier jeu sur le support) au même jeu sur Megadrive (mon premier jeu sur le support). Mais pas tout à fait le même jeu non plus, parce que si j'avais adoré la version MS qui, par ailleurs, proposait une durée de vie plus importante et un level design probablement plus intéressant, j'ai été totalement enchanté par la version MD. Quand j'ai commencé l'émulation c'était d'abord pour ce titre, je voulais retrouver la douceur de ses visuels, de ses mélodies et de son challenge.
Ma madeleine de Proust ! Castle of Illusion est un vrai bon jeu pour les enfants (et pour les grands).


Super Mario World - (Super Nintendo)

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Je connaissais bien les épisodes précédents sur NES mais c'est avec celui-ci que j'ai pris la mesure de ce que représentait Mario pour le jeu vidéo et plus largement ce qui caractérisait le génie de Nintendo. Nombreux sont ceux à préférer son prédécesseur - qui mérite tout autant de louanges - mais je préfère la manière dont est structuré Super Mario World. Je le trouve plus cohérent dans son ensemble, plus souple et plus patient envers le joueur.
À sa sortie j'y voyais l'aboutissement de la formule Mario 2D ; pour la première fois j'avais l'impression d'être devant un jeu parfaitement équilibré, aussi bien d'un point de vue technique et artistique que conceptuel.
Je suis resté longtemps avec ce seul jeu sur SNES (acquis dans le pack avec la console) et ce n'était pas un problème parce que sa grande force était de se suffire à lui-même.


Zelda III A Link to the Past - (Super Nintendo)

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Si j'ai commencé à jouer sur un CPC 6128 et ses disquettes bourrées de jeux appartenant à des genres différents, le platformer restait jusque là mon genre de prédilection, comme en témoignent les deux titres cités précédemment dans cette sélection. Et comme Super Mario World avait été un summum, il fallait bien ce Zelda pour relancer mon intérêt pour les jeux vidéo. J'ai été plus que comblé ; aussi riche et parfait que SMW, Zelda III A Link to the Past m'offrait une opportunité inouïe de pénétrer un nouveau genre : l'action-aventure. On ne dira jamais assez à quel point ce jeu est important dans l'histoire du médium. L'intelligence de son design et la multiplicité d'expériences proposée par son gameplay ont défini des codes encore en vigueur aujourd'hui tant ils sont efficaces.
Sa "suite" sur Game Boy est tout aussi marquante et je la considère comme son complément. D'ailleurs, si Link's Awakening était sorti sur Super Nintendo et s'il était officiellement reconnu comme sa suite, je l'aurais adjoint à cette présentation.


Tomb Raider - (PlayStation)

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Encore hanté par le spectre des deux derniers Zelda, A Link to the Past + Link's Awakening, et sous le charme du genre action-aventure, je poursuivais ma quête de titres capables de me surprendre aussi durablement. Et au-delà des excellents moments passés à jouer durant cette période, il aura fallu la démocratisation de la 3D et la sortie de Tomb Raider pour qu'à nouveau je sois émerveillé.
La majesté des environnements et la bande son planante suffisaient à faire oublier une maniabilité laborieuse et une technique balbutiante. Oui, le jeu était largement imparfait, mais il distillait une ambiance sans pareille. Je n'avais jamais connu aussi immersif que ce Tomb Raider.
Des années plus tard, j'ai redécouvert le jeu avec beaucoup de plaisir à travers son remake, même si je n'y ai pas retrouvé la magie des premiers temps.


Resident Evil - (PlayStation + GameCube)

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L'immersion à son paroxysme. En situant l'aventure presque exclusivement dans un même lieu, iconique, Resident Evil m'a terriblement marqué par sa capacité à insuffler une âme (diabolique) au manoir qui donne son titre au jeu. Comme aucun autre jusqu'alors, le jeu poussait mon esprit à se fondre dans le décor. Je me souviens encore très bien de ces fins de soirée, dans mon lit, après de grosses sessions à jouer, où je planifiais mentalement des parcours dans les couloirs de la bâtisse maudite afin d'y tracer les itinéraires optimaux.
En outre, la succession de plans fixes, judicieusement choisis, formait une sorte d'album photos qui accompagnait admirablement notre progression.
La personnalité des fameux donjons de Zelda m'avait envoûté ; le manoir, en tant que protagoniste principal de Resident Evil, m'aura ensorcelé. Le remake GameCube est extraordinaire et a réussi la prouesse de me marquer tout autant, se hissant au rang des titres intemporels.


Heroes of Might and Magic II - (PC)

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C'est avec ce titre que j'ai compris ce que pouvait être l'addiction aux jeux vidéo. On était une petite équipe à se rejoindre régulièrement chez un pote pour y jouer sur son PC et j'y ai passé mes premières nuits blanches vidéoludiques. Pourtant, la première invitation de ce dernier n'avait pas soulevé les foules, le jeu sur ordi c'était pas notre truc. Quand on a commencé notre première partie, rien ne nous avait préparé à ça. On jouait les uns contre les autres à quatre en moyenne et je ne vous raconte pas l'impatience qui gagnait chacun de nous quand on finissait un tour. C'est que le jeu sait y faire pour activer ce vicieux levier consistant à faire de nous des créatures avides de puissance et de richesses. Sur les plus grandes maps, les parties pouvaient être interminables (recroquevillés dans nos châteaux à amasser ressources et à gonfler nos armées) et, de fait, on ne les finissait jamais.
Quand j'ai acheté mon premier PC, Heroes of Might and Magic a été mon premier jeu, l'épisode 3, qui demeure encore inégalé à ce jour.


Super Mario 64 - (Nintendo 64)

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La nouvelle vague de jeux apparue sur les consoles 32 bits m'avait marqué par les perspectives d'immersion qu'elles promettaient. Certes, ce premier contact avait été fascinant, mais quand surgit Super Mario 64, je ne pus m'empêcher de penser que la plupart de ces titres 3D initiateurs avaient mis la charrue avant les bœufs.
Passée la surprise de la troisième dimension, force était de constater que ces jeux n'étaient pas bien agréables à prendre en main. C'est en considérant cela que SM64 a été un choc : jamais je n'avais ressenti à un tel point l'identification avec l'avatar virtuel.
Après Resident Evil, dans lequel j'avais été amené à ne faire plus qu'un avec l'environnement, le titre de lancement de la N64 offrait ni plus ni moins de ne faire plus qu'un avec Mario. Cette sensation était décuplée par le fait que le personnage incarné jouissait d'une mobilité et d'une panoplie de mouvements inédites. Mario n'avait jamais aussi bien interprété son rôle de Jumpman et moi, totalement grisé, mon rôle de joueur. En plus, SM64 glissait vers le genre action-aventure, ce qui n'était pas pour me déplaire.


Zelda Ocarina of Time + Majora's Mask - (Nintendo 64)

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Vous aurez raison en disant que je contourne un peu les règles en associant les deux Zelda de la Nintendo 64. Mais permettez-moi ce petit écart. Oui, les deux titres ne s'apprécient pas tout à fait de la même manière et, par exemple, on peut très bien adorer l'un et détester l'autre. Toutefois, bien que chacun m'ait marqué pour des raisons différentes, je n'arrive pas à les penser séparément.

Ocarina of Time a mis une claque monumentale à nombre d'entre nous, moi y compris. J'y retrouvais toute la saveur Zelda, transposée dans un "open world" en 3D ; un coup d'essai et une quasi perfection déjà atteinte, une aventure épique au sens le plus noble du terme. Depuis A Link to the Past, la mécanique Zelda est si bien réglée que l'on s'approprie naturellement son monde, en douceur, pour au final, en devenir le maître, OoT ne fait pas exception. Si le souvenir que je garde de ce jeu est un ravissement de tous les instants, je le dois beaucoup aux innombrables flâneries qui ont jalonné mon périple, guidé par une délicieuse insouciance. L'approche proposée dans sa suite directe n'en sera que plus brutale, surtout si l'on fait ce deuxième jeu dans la foulée.

Majora's Mask a beau introduire une idée de design géniale, la limite de temps imposée pour progresser est une contrainte forte à laquelle Nintendo ne nous avait pas habitué. En amenant le joueur à sortir de sa zone de confort, cet épisode réclame un effort presque contre-nature de notre part. Comme si le jeu voulait que l'on participe à l'effort auquel Link allait devoir se soumettre. Parce que le héros sans peur et sans reproche d'Ocarina of Time montre ici des signes de faiblesse. Parce qu'il doute. En faisant face à un monde sinistre et inquiétant, Link, en réalité, fait face à ses propres ténèbres. C'est un mal nécessaire, un rite de passage à l'âge adulte. Dans OoT cette métamorphose n'a pas eu lieu ; Link, en retirant la Master Sword de son socle, demeurait un enfant, dans un corps d'adulte. Quand débute l'histoire de MM, il porte les stigmates d'un manque essentiel.

Majora's Mask est une anomalie dans la ludographie de Nintendo et aujourd'hui seulement, peut-être, je pourrais parvenir à mettre des mots sur mon expérience, à comprendre ce qu'il essaie de nous dire et à savoir pourquoi il m'a autant marqué. Pour moi, les deux Zelda N64 sont les deux faces d'une même pièce, la dimension consciente et inconsciente de Link (un rapprochement similaire est possible entre les opus SNES et GB).
Secrètement, je rêve qu'un jour soient réalisés mes fantasmes et que ces deux merveilles soient réunis en une seule œuvre totale, que soit actualisé ce mythe universel que certains d'entre nous avons cru déceler en eux.


Final Fantasy X - (PlayStation 2)

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Ma première incursion dans le RPG japonais s'est faite sur le tard, avec le premier Pokémon sorti en France. J'avais acheté ce jeu pour mes petites sœurs (si si, je vous jure) qui ne l'avaient pas apprécié, précisément parce qu'il s'agissait d'un RPG. Le jeu en lui-même ne m'a pas marqué plus que ça - trop archaïque et répétitif - mais j'ai bien accroché au genre. En réalité, c'est bien plus tard que je tombais dans la marmite du J-RPG, avec ce Final Fantasy donc.
Et j'ai entièrement été happé par son système de combat et d'évolution (le sphérier, hypnotique), son univers et sa formidable bande-son, au point de le terminer intégralement, quêtes annexes et boss ultime compris. Ayant peu de temps pour jouer, cette performance m'avait pris une bonne année et je ne sais plus combien d'heures à l'époque.

Alors, j'entends bien que sa structure très linéaire, en comparaison des opus précédents, ait pu en décevoir plus d'un, mais découvrir le J-RPG et la série Final Fantasy avec ce titre a finalement été une chance. Car, non seulement sa progression en forme de couloir constituait une porte d'entrée privilégiée dans le genre pour les néophytes mais, de plus, ce choix de design venait soutenir pleinement la narration, par laquelle on comprend, dès le début de l'aventure, que nos héros ne pourront pas faire marche arrière et qu'ils filent littéralement sur le chemin d'une destinée inexorable.
Au moment de sa parution, en se présentant en épisode idéal pour les nouveaux venus tout en signant l'arrêt de mort des FF à l'ancienne, Final Fantasy X pouvait être considéré comme l'alpha et l'oméga de la série.


Resident Evil 4 - (GameCube)

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Bien différent des précédents jeux de la licence, Resident Evil 4 réussissait l'exploit d'être aussi instantanément culte que l'épisode initial. Au moment où j'attaque ce monument du jeu d'action, je suis un joueur (déjà) blasé. Les consoles next gen (PS360, Wii) viennent de sortir et elles ne me font pas le moindre effet. Il y a bien longtemps que je n'ai point été vraiment marqué par un jeu en particulier et il n'y a bien que sur mon PC, au travers de l'émulation (et du passé donc), que j'arrive à prendre du plaisir. Je découvre plein de "vieux" jeux très sympa, très marquants même, mais il manque toujours ce petit truc qui fait que l'on est subjugué par une expérience. Peut-être ce manque est-il dû au fait que mes expériences ne collent plus avec l'actualité ?

Ce n'est pas Resident Evil 4 qui répondra négativement à cette question. Quand je le découvre c'est un titre encore très récent et, comme on dit, il me fait l'effet d'une bombe. Ma première session de jeu fut déraisonnable, je ne pouvais plus m'arrêter de jouer. J'étais dans un train lancé à toute allure duquel on ne peut plus descendre, duquel on ne veut plus descendre. RE4 c'est ça, un train fantôme où les monstres ne sont là que pour satisfaire notre désir furieux de les éliminer. Le jeu sait varier les situations à merveille pour que, jamais, la lassitude ne s'installe. D'ailleurs, une fois arrivé au bout du manège, j'ai immédiatement relancé un tour. RE4 est synonyme de véritable plaisir coupable.


Pour finir et parce que je ne pouvais décemment pas en rester à seulement dix jeux marquants - (Toujours dans l'ordre chronologique)

Archon (CPC 6128) : pour la belle originalité de son concept ; Megaman 2 (NES) : pour sa non linéarité et sa pêche d'enfer ; Sonic the Hedgehog (Megadrive) : pour sa maîtrise technique et son fun ; Super Castlevania 4 (Super Nintendo) : pour son ambiance et ses musiques fabuleuses ; Street Fighter 2 (Super Nintendo) : pour sa perfection digne d'un jeu venu du futur ; Les Chevaliers de Baphomet (PlayStation) : pour m'avoir exquisément initié au point'n'click ; GTA San Andreas (PlayStation 2) : pour sa démesure et sa folie ; Ico (PlayStation 2) : pour sa narration subtile et délicate ; Might and Magic - Clash of Heroes (PC) : pour son concept diablement addictif ; Super Metroid (Super Nintendo) : pour le génie de son game design ; Phoenix Wright - Ace Attorney (Nintendo DS) : pour son concept passionnant à mi-chemin entre plusieurs genres ; Inside (PC) : pour son propos et la froide majesté de ses décors.


Et j'en oublie sûrement plein !



RainMakeR
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Posté le: 2020-11-17 20:20
Citation :
Le 2020-11-17 14:32, JiPé a écrit :
C'est répondre à la question : le bateau coule, quel jeu* tu sauves pour passer le temps sur une île déserte ?


Facile comme question je sauve ma ps2 car j'ai plus de 100 jeux sur mon hdd dont facile la moitié de mon top100


La vioque, j'ai failli demander ton ban. Je voyais ta liste s'etendre et toujours pas de crazy taxi
Remarque si, si un modo me lit qu'on banne la vioque une journée. Soit disant son meilleur jeu du monde qui n'arrive que 2e ....


Pour ta borne bobble c'est une vraie ou y'a un emu dedans ? tu l'as vendue ????


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petitevieille
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Posté le: 2020-11-17 20:35
La borne Bubble Bobble c'était une Arcade Electronics au départ, redécorée faite maison, et dont le tube avait été remplacé par une télé. Mais toujours JAMMA, avec une PCB bootleg aux eproms refaites pour intégrer le vrai jeu, sans aucun des bugs des bootlegs. Évidemment sticks et boutons neufs.
Rien que de résumer tout ça je pleure son absence.

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Posté le: 2020-11-17 21:27
As tu des photos petitevieille? Où cela risque de te faire plus de mal qu'autre chose, car je sais curieux de la voir
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Ce genre de feu, il est très difficile de l’éteindre. Les tendres rameaux de l’innocence brûlent les premiers. Puis le vent se lève, et toute bonté est alors en péril

Ratatata: Nikeleos vous êtes vraiment étrange dans vos réactions


petitevieille
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Posté le: 2020-11-17 21:32   [ Edité le: 2020-11-17 21:48 ]
Celle de mon message est la bonne. C'était celle-ci ma borne.

https://mamot.fr/@petitevieille/102763974883369672



Edith de Poste :

ELLE EST LÀ !

https://www.canoenature.fr/salle-de-jeux/

0:13 sur la vidéo.


https://www.facebook.com/gameover028/photos/a.118179533348996/118176826682600/?type=3&comment_id=118181433348806


Au moins elle tourne.

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RainMakeR
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Posté le: 2020-11-17 23:34
Trou pommé mais pas trop loin de paris quand même.

T'as jamais envisagé de la récupérer ?
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FredK
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Posté le: 2020-11-18 08:52
Y a encore du lourd qui a été cité je vois ! Bubble Bobble (des centaines d'heures à deux sur ce jeu), Tomb Raider (certainement dans mon top 20 également pour l'immersion qu'il m'a proposée à l'époque). Etc.

On a parlé aussi plus haut de Final Fantasy 6 qui est effectivement magistral, j'ai dû me faire violence pour mettre le 7 devant, d'autant que le pixel art du 6 et son interface le rendent plus digeste aujourd'hui. On a parlé de Final Fantasy X, j'ai personnellement toujours eu du mal avec ce volet. Pourtant le jeu est bon, musiques superbes, graphismes excellents, interface super bien pensée. Mais je ne pouvais juste pas supporter le héros avec sa dégaine de skater version Meg Ryan. J'ai décroché à contre coeur juste à cause du manque de charisme du héros, c'est triste.

Heroes 2, effectivement. Je pense y avoir autant joué qu'au 3 mais ce dernier était son grand frère en plus abouti. J'avais poussé le vice à ajouter les musiques du 2 à celles du 3, ce qui rendait l'expérience encore plus prenante.

Que de bons souvenirs tout ça.

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On ne peut pas faire raitournelle tant qu'il y a encore des artichauts dans la banque.


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Posté le: 2020-11-18 11:29
J'en profite pour poser une question à propos de Sega Rally.
Je l'ai aussi pratiqué sur Saturn à l'époque, et j'avais pris le 2 avec ma Dreamcast. Ma mémoire est floue et je ne saurais plus vraiment dire pourquoi je n'y ai quasiment pas joué, mais je crois que le pilotage était vraiment différent et beaucoup moins fun. Du coup, ça vaut quoi les suites de Sega Rally ? J'en ai un sur Xbox 360 que je n'ai même pas essayé (appelé simplement Sega Rally, ou Sega Rally Revo, je suis plus sur). C'est bien ?

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Joue à Disgaea (PSP)

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Posté le: 2020-11-18 11:32
Double post, désolé.

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Posté le: 2020-11-18 11:54
Le Sega Rally de 2007 dit Revo a été pensé comme un hommage modernisé au Champion des chips de 1994, mais la conduite reste différente, plus conforme aux jeux de son époque.

On a un long topic ici :

https://www.grospixels.com/phpBB/viewtopic.php?topic=12052&forum=1&start=0

Je l'ai trouvé très bien, notamment un circuit situé sous les tropiques qui m'amenait souvent à invoquer avec enthousiasme le respectable métier de péripatéticienne.

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Posté le: 2020-11-18 20:48
Citation :
Le 2020-11-18 11:29, Sebinjapan a écrit :
je crois que le pilotage était vraiment différent et beaucoup moins fun

tout pareil. En fait je crois que le jeu se jouait comment les mauvais joueur de daytona. Tu freines pas avec derap et tout, faut tourner en changeant les vitesses et en les remontant
Enfin tous les gars que j'ai vu joué en arcade jouaient comme ca. Moi qui jouait à la daytona en driftant ca marchait pas

Faudrait qu'ils sortent enfin une compil avec tous les jeux de caisses sega, j'attend ça depuis des années. Ou qu'ils le sortent sur switch (me rappelle pas l'avoir vu)
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